cimetiére narzull

Chaine avais de la pitier pour Xan il devait avoir froid meme tres froid

il le remit par-terre et l'envelopa dans ses fourure et le mit dans ses bras et marchait vers l'auberge


tes mieux de pas mourir dans mes fourure.......

* Xanatas n'avait plus aucun signe vital ou presque, il commençait déja à se raidir et il était aussi froid que la glace. Il semblait mort d'on ne pouvait savoir quoi, lorsqu'on le brassait, on voyait bien que rien ne fonctionnait plus. Il ressemblait à un cadavre d'une heure déja et il ne s'éait senti mal que quelques secondes au paravant... *

Losqu'ils furent rendus à l'auberge, Zolena se retourna vers Chaine qui tenait toujours Xanatas. Il était plus pâle que jamais.

-Est-il toujours en vie?

Elle n'y croyait plus. Déja son teint devenait crayeux. Non, il était mort.

-Chaine, va le mettre dans la forêt. Il est mort. On s'en va. Mais laisse moi vérifier une dernière fois.

Elle se pencha sur Xan, toujours dans les bras de Chaine, et tira de sa poche un papier. Elle le déplia à l'abri de la pluie et vérifia qu'il s'agissait bien de son testament. Puis elle fit signe à Chaine qu'il pouvait s'exécuter au fouillage s'il le voulait.

-Les objets magiques, si tu en trouves, sont à moi. Le reste, prend le.

Chaine visiblement heureux de sa decision le fit sur le champs


Il allait le porter dans la forêt enleva les fourure et le maudissant avec une baffe d'être mort dedans il s'éxecuta a la fouille







(h.j je ses vrm si jai le droit de fouiller alors dsl si se n'etait pas permi)

Draken alla voir zolena

-vous l’avez tuer

* Xanatas eu un dernier spasme si fort que il tomba de Chaine et, avant même qu'il eut touché terre, il embrassait déja Zolena. Il ne mit aucun temps à se retourner et partir à pied vers là où ils étaient avant la pluie, il avait agi assez rapidement, sans rien dire sauf un minuscule chuchotement à Zolena (MP) *

Chaine sidéré par se qui vient de voir...

non pas un mort s'etait relevé dans ses bras....

mes il avait belle et bien jeté ses fourure dans la boue!!!

il reprit ses fourure en le maudissant,et se diriga ver zolena


MERDE ta vu sa........il a jeté mes fourure par-terre et ses meme pas excuser.....il regretras

Chaine regarda zolena d'un air comique

Il vous a embrasser...quelle honte vous aller le lesser s'en sortir comme sa

draken regardait avec de grand yeux il ne comprenait toujours pas se qui venait de se passer

Une larme silencieuse coula sur sa joue, mais personne ne put le remarquer son visage étant déja ruissellant à cause de la pluie. Elle ne comprenait pas plus que Draken ce qui venait de se passer.

Devait-elle suivre Xanatas ou non?

-Vous voyez, Draken, je ne l'ai pas tué. Restez ici.

Puis, sur ces mots, elle s'élanca à la poursuite de Xanatas.

* Bien qu'il eut entendu les bruits de pas derrière lui, il ne s'était aucunement arrêté. Il se doutait assez de qui est-ce qui le suivait mais il s'en fichait, ce n'était pas l'endroit pour parler, sous la pluie et sans rien sur le dos, ou presque. Il se tenait droit et marchait vite, le corps secoué par le très, extrèmement fort vent et avait la peau d'une teinte bleutée du a la très fraiche température, doublée par la pluie. Il marchait, tête droite les bras battant la cadence de ses pas. Malgré le sol mou et les roches glissantes, il marchait d'un pas aussi assuré que celui d'un rôdeur dans sa forêt natale. *

* Peu avant là où ils étaient montés la première fois, il piqua par le bois, directement vers nulle part, le point le plus haut qu'il voyait... Il ne jeta qu'un regard à côté de lui, l'admirant rapidement et timidement puis continua à monter sans un regard ni parole. Il montait sans fait beaucouo de bruit, il semblait être à l'aise de monter à-pic comme il le fesait... mais ce n'était pas moins éprouvant pour autant. Après vingt longues minutes de montée, il s'assit sur un énorme cap rocheux, plus haut et plus magestueux que les précédents qu'ils avaient franchis. Il lui dit alors: *

Vous me suivez en quel honneur?

* Du sarcasme perçait dans sa voix. *

Zolena le vit s'asseoir sur la roche, mais resta debout. Elle leva la tête vers lui et attendit avant de répondre: elle reprenait son souffle en silence. La montée l'avait épuisée, mais elle ne le laissait pas parraître. Alors, elle dit:

- À votre avis? Je veux savoir ce qui vien de se passer. Expliquez-moi.

* Il parut quelque peu amusé. *

Alors venez vous assoir, je vous expliquerai...

* Il tendit sa main, la roche était très haute et il avait eu un mal fou à y sauter... par chance qu'il s'entrainait malgré lui! *

* Il passa un bras autour de ses épaules, l'attira contre lui et se mit à lui parler d'une voix qui se voulait douce mais franche, forte mais inaudible pour quiquonque pouvait espionner. (MP) *

Elle réfléchi un instant...

-Donc, vous vous êtes joué de moi, encore, en me faisant croire à votre mort et vous avez tenté de me faire inculper de meurtre... Pourquoi?

* Il lui fit une grimace. *

Parce que je parles et pas vous! J'ai presque l'impression de monologuer... comme dans un pièce de théatre où seul le personnage principal parle seul devant la femme de ses rêves alors qu'il devrait être aveugle de sa beauté... Voila pourquoi!

Elle prit un air un peu offusqué.

-Cela vous pose un si grand problème que je n'aime pas parler de moi? De toute façon, je ne crois pas que vous m'ayez poser une question. Au fond, c'est moi qui vous oblige à monologuer, comme vous dites, étant donné que je suis la seule à en poser, des questions.

Après avoir dit cela, elle lui fit un sourire taquin.

* Continuant sur le même ton qu'elle. *

Vous voulez dire que vous avez le contrôle sur moi? Il faut dire que cela n'est pas très désagréable ni répréhensible... même un homme marié ne vous refuserait information... mais trêve de beaux bavardages, parlez moi de vous, de VOS problèmes, j'ai déja fait plus que ma part...

Elle eu un regard songeur. Pouvait-elle lui faire confiance? Après tous les coups pendables qu'il lui avait fait, elle en doutait. Zolena s'exprima sur un ton qui se voulait des plus sérieux:

- Je n'aime pas parler de moi... Mais quoi dire... je n'ai rien de vraiment spécial. J'ai un frère du nom de Natas. Je connais Draken à cause des nombreux coups que l'on a fait ensemble. Petit vol par ci, petit vol par là en sa compagnie. Au dernier que l'on a fait , il a fuit et m'a laisser juste avant que la garde n'arrive. Ah et je suis encore recherchée pour 2 meurtres... Vous voyez, rien de très interressant.

* Il eut un air très intéressé, il avait l'air presque, resque réjoui. Il lui répondit, ne laissant une seconde de répit: *

Rien qui ne puisse nous encombrer quoi! J'ai déja été recherché comme si j'avais assassiné le roi lui même. Je suis sur d'être en mesure de vous aider avec cela, avec joie même. J'ai effectué assez de vol pour que mes alliés mêmes doutent de mon honnêteté. J'ai la réputation d'avoir une belle collection d'objets magiques et vous n'avez pas à douter que l'argent que je vous ai avancé n'appartiens pas à moi depuis longtemps et que celui qui l'avait n'a pas eu a souffrir longtemps avant de me donner...

Elle eut un sourire.

-Moi qui vous prenait pour un honnête homme... Donc nous formons une belle paire de personnes ayant une passé des plus propre... Alors racontez moi comment vous faites pour vous en sortir à chaque fois? Comment se fait-il que vous n'ayez pas encore été assassiné à votre tour?

* Il sourit grandement et lui répondit: *

Il faut dire que j'ai un art des mots assez élaboré et que je suis capable, sans difficulté de me sortir de plusieures, sinon toutes, les impasses. J'ai déja eu, et j'ai encore, des assassins ou bien des guerriers sur mon dos mais ils ne m'ont jamais mis la main dessus, jamais comme il faut. J'ai aussi des jambes entrainées pour m'éviter bien des tracas... un trait que je tiens de mon père. Les assassins ne me sont que trop familiers... mais je tue dans la parfaite inpugnité, alors les assassins que je mets en déroute me semblent si peu habiles... On m'a souvent vu tuer, mais mes actes sont tabous, donc je suis bien placé... quiquonque essaiera de me tuer devra arrêter de dormir sur le champ, car même dans une pièce fermée, il gouterait à la douce morsure de ma lame. Il fait si bon l'air frais et opaque de la nuit, le contact de ma main contre le sang de l'agonisant silencieux, la morsure du travail bien fait dans le coeur du travailleur...

Elle ferma les yeux et savoura l'image que Xanatas venait de lui dire. Puis, en ouvrant les yeux , elle se tourna vers lui. Elle lui sourit et dit:

-... Et qu'est-ce qui vous dit que je ne suis pas un assassin sur votre dos, moi aussi?

Elle le regardait droit dans les yeux, question de voir si elle y verrait de la peur.