cimetiére narzull

draken cherchait depuis déjà quelque heure artémisia ou encore destharos dans les bois maintenant il les cherche encore mais dans le cimetière des narzull dernier lieu de rassemblement des narzull qu'il connaisse

C'est alors qu'il apperçu Zolena, assise au sol le dos contre une tombe qui le regardait. Elle n'avait pas daigné l'informer de sa présence, s'amusant bien trop de le voir chercher partout en vain.

Draken regarda un peu partout mais ne vit qu’une personne ne ressemblant point a artémisia mais se visage lui était familier. Il commença a l’examiner pui son nom lui revins en tête.

-zolena es-ce vous

- De qui d'autre pourrait-il s'agir? Bien sur que c'est moi! On voit qu'avec le temps tes réflèxes diminuent... Ça t'a pris au moins quelques minutes pour me voir.. et je n'était pas cachée. J'aurais pu être quelqu'un qui te veux vraiment du mal ou même .. un de ses imbéciles de... Tempussiens. Quoi qu'ils ont bien trop peur de venir ici...

Elle se leva donc et se dirigea vers Draken aussi silencieusement que lui avait été bruyant .. .

-oui vous devez avoir raison mais je n'est j'amait été fort pour découvrire je suis meilleur pour vous savez surrement quoi alors pas trop décu du dernier coup

en disasnt cela il eu un grand sourire pui il recula discrétement tout en en empoignat sa dague encore cacher

Juste comme elle arrivait presque à sa hauteur, elle lu dans ses yeux, malgré son grand sourire, la méfiance qu'elle lui inspirait et arrêta brusquement. Elle ne tenait pas a provoquer un conflit physique dans ce lieu sacré.

Le seul fait qu'il fut heureux la plongeait dans une grande colère qu'elle s'efforçait de réprimer.

- Je ne me souviens pas de ce dernier coup... ou peut-être n'ai-je rien eu pour m'en souvenir, Draken...

-bas alors vous ne devez pas être déçu de du dernier coup si vous ne vous en rappelez pas alors vous n’êtes pas contente de me voir en tout cas moi oui.

Il lâcha sa dague mais restait sur ses garde prêt a détaler a tout moment.

-Que fait une si joie dame ici dans ces terre ronger par le chaos créer par un archimage fou et ses élémentaire tout aussi fou moi même j’ai faillit y passer a plusieurs reprise

il approcha quelque peu puis sortie de sa sacoche une belle pierre précieuse puis un sac remplie de pierre et remit la pierre dans le sac il avait vraiment un sourire béant

- Ce que je fais ici ne te regarde absoluemnt pas. Je ne te dois..

Elle s'interrompi en le voyant sortir son sac. Si déja elle n'était pas très heureuse de le voir, maintenant elle désirait simplement qu'il disparraisse de lui même avant qu'elle ne le fasse elle-même.

- Tu as le culot de me montrer ... Et toi, que fais tu ici dans ce magnifique endroit? En fait, non. Ne me le dis pas. Continue donc. Si ce n'est que pour me provoquer que tu est venu me parler, tais toi ou je te fais taire.

Elle espérait surtout qu'il cesse de sourire, qu'il lui montre qu'il avait au fond un peu de trippes dans le ventre. Qu'il n'opte pas pour la fuite comme devrais l'être un vrai Narzull.

Il avait l’air outré et son sourire avait disparue

-Quoi moi te provoquer jamais de la vie je n’oserait faire cela tout de même pour qui me prend tu.

Il regarda le sac quelque seconde puis lui lança

-moi se que je fait ici bas je combat des élémentaire par ici et par la je joue dans des pièce de force pour ensuite passé a deux dois de tuer l’organisateur de la pièce. Et tu ne saura jamais se que j’ai fait je me suis joint au narzull de se coin

Elle n'en croyait pas ses oreilles...Il s'était joint au Narzull du coin : dans la même troupe qu'elle... Non impossible

-Tu ne peux tout de même pas... J'ai droit à la motié de ce sac, et tu le sais. Je ne réclamerai pas mon du tout de suite. Il n'est pas question de salir cet endroit avec ton sang. Cette conversation est terminée.

Elle était hors d'elle. Elle se retouna pour partir. Elle mis quand même la main sur son épée au cas ou il aurait eu la mauvaise idée de l'attaquer. Parce qu'il aurait oser l'attaquer par derrière: ca n,aurait pas été la première fois...

*Xanatas sortit des buissons du fond du cimetière, comme il avait l'habitude de le faire dans les derniers jours, pour aller rejoindre Zolena, par derrière, sans faire le moindre bruit. Il était vêtu d'une longue cape noire dont le capuchon couvrait les côtés et le dessus de sa tête. Il mit sa main sur l'épaule de celle-ci en disant; se foutant éperdument de Draken *

Bonjour! Je crois que vous ne vous êtes pas présentée à moi, je me trompes?

Zolena sursauta et, par réflèxe, se prépara à attaquer, mais elle ne dégaina pas son arme : elle n'avais pas affaire à Draken. Elle se retourna lentement et en oubliant complètement la présence de Draken, elle regarda droit dans les yeux de l'homme. N'y voyant pas de menace ou d'hostilité, elle se présenta :

-Zolena. Je m'appelle Zolena. Et vous, vous devez être Xanatas, je me trompes?

*Soutenant son regard avec un léger sourire, il la fixait lui aussi dans les yeux, comme s'il lisait au plus profond d'elle. Il dit alors, sur un ton très amical, comme s'il l'eut connu depuis leur enfance: *

Vous me semblez particulièrement belle en ce jour... est-ce moi ou vous rayonnez réellement?

-Allez c’est sa ignoré moi comme si je n’aurait jamais été la

il s’approcha de zolena et xanathas

-et ces quoi cette histoire avec mon sang je tes donner ton due même plus le sac de tout a leur est a toi

dit-il tout en pointent le sac sur le sol puis il partie a l’auberge pour trouver destharos

(h-j le sac est au sol donc si c’est xanathas qui le ramasse c’est a lui pareil pour toi zolena
p.s je vais donner le sac avec les pierre a la personne au prochain gn)

Pendant un instant elle ne sut quoi répondre. Cet homme la troublait que ce fut a cause de son regard ou du compliment qu'il venait de lui faire. Elle n'était pas habituée à ça. Elle baissa les yeux pour qu'on ne vu pas son trouble et pour le temps de trouver quoi dire.

Losque Draken parla, elle revint brutalement a la réalité. Elle s'écarta doucement de Xanatas et sans un mot, elle alla chercher le sac.

Apres l'avoir accroché a sa ceinture, elle revint vers Xanatas. Elle était d'excellente humeur.

Alors sur un ton de plaisanterie elle lui dit:

Êtes vous sur que ce n'est pas le soleil qui vous a tapé sur la tête? Puis elle ajouta rapidement et a mi-voix un merci timide.

* Sans se départir de son sourire permanent, il lui répondit, le plus calmement du monde, laissant paraitre un peu de nervosité et de plaisenterie dans sa voix: *

Aucunement, avec l'entrainement que j'ai reçu, pas même des heures de course ou de forge ne pourraient me faire perdre le sens qui me permet de dire qu'une femme est belle et attirante.

*Sur les derneirs mots, il mit son bras autour du cou et des épaules de celle-ci et commença a marcher en direction de la montagne en arrière du lac d'en haut, empruntant le chemin le plus long, vers le chateau. *

Rendus a mi-chemin des montagnes, Zolena pris enfin la parole :

- Je ne suis jamais allée dans la montagne auparavant...

Puis détestant parler d'elle même, elle interrogea son compagnon:

Que faites-vous dans la vie, Xanatas... et que trouvez-vous donc chez moi qui soit... attirant? Elle avait murmuré ce dernier moi comme si elle craignait la réponse.

* Avec bonne humeur, voyant que longtemps s'était écoulé depuis le temps ou tout s'était passé aussi bien, il lui répondit, sur un ton chargé et de bonne humeur et de fierté: *

Je suis forgeron-artisan-potier-juge et haut placé de la guilde de commerce la plus importante d'Emlok... mais rien qui ne soit bien attirant pour une personne de votre qualité... vous n'auriez aucune difficulté à trouver plus excitant ou exotique que moi... par contre, ma fortune et ma collection d'objets magique est de réputation grandiose.

*Sur ce, il lui fit un sourire moqueur, avant de répondre, à sa deuxième question: *

Tout ma très belle, sur les centaines de villes que j'ai visitées de ma vie, des tavernes aux plus richissimes établissement, je n'ai trouvé pour vous égaler que des déesses vaniteuses et sans amour, ce qui ne vous ressemble aucunement!

*Sur un ton plus neutre, la fixant droit dans les yeux, arrêtant de marcher. *

Comment est-ce que je le sais, me direz-vous. Mais sachez que le regard et le silence sont les plus belles paroles.

* Sur ces mots, il lui décocha un très léger clin d'oeil. *

Sur ses mots, ses joues s'empourprèrent vivement. Elle s'apprèta a répondre et appercu Jean. Sa présence la gênait quelque peu et losqu'elle parla ce fut a pène plus fort qu'un murmure et sur un ton de grande tristesse et :

- Mais vous ne savez pas qui je suis... Je suis une voleuse qui aspire a devenir assassin et Narzull de surquoi. Que dirait-on si on vous voyait a mes côtés... Je suis sure que vous êtes quelqu'un de grande réputation et je ne tien pas à la gacher par ma faute...

*Ignorant très visiblement Jean, il répondit à la belle "inconnue" d'une voix douce mais sincère: *

Si j'ai à perdre ma réputation, ce ne sera pas par la faute de votre être, mais bien par la faiblesse qu'est la force de mon amour pour vous... De surcroît, vous vous fourvoyez de penser que ce que l'on dit de moi m'affecte, seul ce que VOUS direz de moi pourrait faire basculer ma vie, rien d'autre, pas même la mort.

*Sur ces mots, il fit un signe de sa main libre(celle qui ne tenais pas le cou de Zolena) à Jean, lui signifiant qu'il pouvais et devrais disposer... *

Lorsque Jean parla a Xanatas, un doute s'installa en elle. Était-il sincère? Se jouait-il d'elle? Elle ne savait quoi penser. Elle ne voyait pas pourquoi elle mettrait ses paroles en doute si ce n'est de ce que Jean venait de dire. Elle décida donc de tout mettre au clair.

- Je ne doute pas de la sincérité des vos dires, soyez en sur. Elle hésita un peu. Mais... dites-moi, de quoi Jean parle-t-il?

Elle le regarda retouner s'asseoir.
Pour Zolena, l'avertissement de Jean était clair: il était persuadé qu'il y avait un double jeu de la part de Xanatas. ... Et elle savait qu'elle pouvait lui faire confiance. Le sentiment d'avoir été trahie et d'avoir été menée en bateau grandit de plus en plus en elle. On s'était joué d'elle, et elle détestait ça. Il n'était plus question de rester ici.

Zolena maîtrisa sa collère et ce fut sur un ton d'excuse qu'elle parla.

- Heureusement que Jean est intervenu: sans lui j'aurais vraiment eu des problèmes car, voyez vous, je dois partir. On m'attend ailleurs et je l'avais complètement oublié. Alors, au plaisir de vous revoir Xanatas.

Elle s'élança alors, sans un regard en arrière, dans le sens inverse du chemin qu'elle venait de parcourir avec cher Xanatas.