Dans les mystères de la plaine...

Ariakan voulait rester ainsi le plus longtemps possible. De cette façon, il la savait près de lui, en sécurité. Il eu l'impression que rien ne pouvait arrivé à la jeune fée. Il ferma à son tour ses yeux pour mieux les rouvrir et constater que ceci n'était pas un rêve. Elle était bien là, la prêtresse, la fée, enfin sa protégée. Là dans ses bras, elle semblait si confortable, que le rôdeur n'osa pas bougé d'un poil.

Le protecteur la regarda ainsi quelque temps et il senti une légère brise lui caressé le visage. On aurait dit que Sylvar était tout près d'eux à cette instant précis. Il le sentait, mais il se disait que ce n'était qu'un impression. Il aimait cette impression, car il se sentait lui même en sécurité.

Il n'y avait personne et rien à y dérenger. Un sentiment de quiètude reignait sur eux-deux. Après peut-être une éternité ou deux, Johanniel releva la tête et observa le visage tranquille et calme de son protecteur. Soulagé de tous ses doutes, elle retrouva la voix l'espèce d'un instant. Elle hésita mais fini par se décider.

- Tu ne m'aimeras jamais comme tu aimais l'autre fille... tu en aurais trop peur, je crois. Par contre, tu feras un père formidable.

Puis lentement avec tous les efforts surhumains qu'il fallait pour s'éloigner du bonheur, Johanniel se distança un peu. Très vite, plusieurs frisson la traversèrent. Le temps froid se fesait remarquer. Puis, souriante, elle se tourna vers le rodeur heureuse de pouvoir lui dire:

- Nous aurons tout l'hiver pour pouvoir se parler et encore plus pour se connaître. Mais pour que je puisse vraiment profiter de tout cela. je dois d'Abord réféchir à l'avernir. Je ne sais toujours pas si ce que je fais est vraiment ce que je désir...

Et pour l'avenir, c'est ce que j'aurai besoin de savoir... ce que je désir.

Malré le profond désir de retourner dans les bras d'Ariakan, Johannie résistaen tournant le regard. Vers l'auberge, il n'y avait pas rand monde. En direction inverse, sur la plate forme, il n'y avait aucun mouvement. les gens allaient bien loin pour ne pas souffrir du froid l'hiver. La fée finit par regarder vers son protecteur... qu'allait-il faire?

Un peu déçu que ce moment paisible finissent, Ariakan écouta la fée avec attention. Il était d'accord avec ce que la fée lui avait dit, en tout point.

À propos de son amour, un amour qui ne pouvait duré. Au fait de devenir le père de son enfant, pour passé de bons moments ou ensemble, des moment où il n'aurait pas besoin de se soucié de se qui pouvait bien ce passé autour d'eux. Et aussi à l'hiver, cette saison qu'il aimait temps. Cette saison qui rapprochait les gens pour se réchauffé un peu plus, où la neige laissait place à l'imagination et où les arbres était dénudé de leur feuilles, faisait la sieste bien mérité.

Le Rôdeur se leva lentement, s'aidant de son bras qui était du côté de la fée pour ce relevé, car il ne voulait pas la perdre de vu.

- Tu m'as convaincu. Je suis d'accord avec tes dires, et je t'aiderai à élevé ton enfant et ce quel que soit tes désirs.

Il tapota ses pantalons pour y enlever les quelques feuilles qui était resté après ceux-ci.

Il offrit sa main droite, qui portait un gant, à la fée pour l'aider à ce remettre sur pied, tout en lui disant.

- Promets moi juste une chose avant de nous quitter... C'est que tu feras attention à toi, et à ton enfant.

Il attendait qu'elle lui en fasse la promesse avant de partir pour le Royaume de Karmik.

Johanniel saisit la main qui lui était offerte. Son regard se perdit un instant dans les traits ni fin ni grossier du visage du rodeur. Il était en fait banal à ses yeux, mais ce qu'il fesait le rendait sui grand au yeux de Johanniel. Elle finit par réussir à bredouiller quelque chose une fois plainement relevé.

- Je... Je suis daccord...

Un instant de pensé finit par éclairer la jeune et elle ajouta un peu plus sûr d'elle.

- Vous m'avez surement sauver la vie. Il ne faut pas simplement guerrir quelqu'un pour lui sauver une vie des fois, mais vous vous avez fait tellement plus...

Le Rôdeur sourit à la fée. Il ne pu faire autrement après ce qu'elle avait dit.

- Mais j'aimerais que tu me le promettes! Et aussi, si tu croises Merel, dit lui que je vais essayer d'allé acheter une épée, en passant.

Le Rôdeur attendait toujours cette promesse, avant de partir.

Ariakan ajouta avant que la fée puisse ajouter quoi que ce soit.

-Je reviendrai demain, avant couché du soleil. Je vais revenir avec l'essentiel pour passé au travers de l'hiver qui s'annonce plus rude que prévu.

Le protecteur lâcha la main de la fée et fit un pas vers l'arrière, pour lui montré qu'il lui fallait partir immédiatement, pour revenir le plus vite possible.

Un instant d'hésitation fut rapidement mis de côté. Johanniel sourit au rodeur avant de provoquer son départ par une simple parole.

- Je ... je vous le promets. Je serai sage et ferai encore plus attention qu'à mon habitude. Je reviendrai vite et irez voir les Sylvarois en votre absence.

Je parlerai aussi à Merrel, je dois passer à la chapelle.

Puis, elle savait qu'il partirait aussi. Comme tout bon Sylvarois, il n'avait pas besoin de lourd bagage et encore moins de préparation.

- Aurevoir, revenez-moi vite.

Ariakan s'avança pour serrer une dernière fois la fée dans ses bras.

- Garde ma cape. Je n'en aurai pas besoin...

Il lâcha la fée délicatement, se retourna en direction de la route de Karmik et ce mit à courir. Il se retourna juste avant de la perdre de vu et lui envoya la main.

La fée lui retourna le signe, incapable de défaire ses yeux de son départ. Elle finit par être complètement seule un bout de temps. C'est alors que Cybèle la trouva. Une légère discution finit par son propre départ.

Après un peu de repos... elle ne su toujours pas si elle allait véritablement faire ce qu'elle voulait. Elle y réfléchit regardant lentement ce qui pouvait être ses solutions... seule à seule avecelle même.

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