La mélancolie incarnée

Fate était assise à une table fortement éclairée non loin du fond de l'auberge et semblait peinée sur nombre de manuscrits étendu devant elle. Elle ne remarqua pas l'entré de Warren mais lui porta attention lorsqu'elle entendit quelques murmures sur lui. Le regardant du coin de l'oeil elle se demanda bien pourquoi il sucitait tant d'émotion lorsque l'étrange être de lumière entra. Ne l'ayant jamais vu elle fut fortement surprise et se demanda si Ternès et Bartélimise l'avait déjà rencontré. Elle l'observa à le dérober en même temps que Warren se posant nombre de questions sur les deux personnages et décida enfin à se lever en laissant ses papiers là, trop épuisée pour les rangés. Elle passa derrière Warren avant d'allé rejoindre l'être de lumière au coin du feu. Elle s'adressa à ce dernier.

- Bonsoir, et désoler de vous dérangez dans votre lecture messire mais j'ai cru remarqué que vous êtiez, il me semble, ce qu'on nomme un être de lumière. Il me semblait qu'il n'y avait que Ternès et Bartélimise en emlok, mais ha je me présente désoler. Je suis Fate Lyonsbanes, Prêtresse de Tempus et pourrais-je savoir qui vous êtes messire?

Bartélimis étais passais proche de l'auberge quant il entendis son nom il se présipita ver la porte et fis le tour de l'auberge avec ses yeux et remarqua Warren et aussi que Fate était a côté de l'étrange être de lumiere. Alor il désida d'allé voir Fate pour de quoid il parlait et aussi savoir si fate pourais réusir a avoir son nom.

Observant sans grand intéret ce qui se passait dans l'auberge de son coin, toujours avec la même mauvaise humeur. Pourtant, il fit une exeption à l'habitude, se levant pour aller voir Warren. Risem marchait avec une lenteur incroyable, avançant aussi lentement qu'il était possible de le faire, visiblement fatigué et dépité. Il s'adressa à Warren, tirant un banc à côté de lui, souffant d'une voix éteinte:

Je peux m'assoir?

La question ne ressemblait aucunement à une question, prononcée sans aucune inflexion dans la voix.

Risem s'assit avec précaution, comme une personne âgée, mais avec un air de lourdeur épuisée. Il se commanda une bouteille d'un alcool fort alors que l'aubergiste passait, l'attrapant par le bras et pointant l'étagère en murmurant ce qu'il voulait, si peu fort qu'il dut répéter une seconde fois à l'aubergiste ce qu'il voulait même si les bruits à l'intérieur de l'auberge étaient pratiquement inexistants. Il s'appuya ensuite sur son coude gauche et, même s'il était droit comme un i, se pencha vers le comptoir. Il attendit silencieusement sa bouteille, de laquelle il prit une grande lampée puis soupira. Sans réellement se retourner, il dit, à l'intention de Warren:

Vous aussi, vous oubliez...

La remarque était empreinte de beaucoup de sarcasme

Ternès qui étais déja assis a l'auberge se leva a larrivé de l'étrange etre de lumière et alla s'assoir a coté de lui:

Encore vous je croyait que vous aviez quitter Emlok pour de bon mais vous revoila. Est-ce que ce livre aurait les réponses aux questions que je vous pose et auzquelles vous n'avez jamais répondu quelqe chose de cohérant?

Ternès avait une pointe d'impatience dans la voix mais qu'il essayait de masqué.

Risem tendit sa bouteille vers celle de Warren lentement après avoir pris quelques gorgées. Il frappa la bouteille de son voisin avec la sienne, faiblement, faisant tinter le verre de façon à peine audible. Il leva sa bouteille d'un peu sans grand enthousiasme, plutôt pour signifier qu'il portait un "toast" que pour le faire réellement. Il dit alors, en un soupir:

À la résolution de nos problèmes, ou à la mort...

Il prononça ces paroles d'un ton morose, le visage décrispé par l'alcool, affichant de plus en plus son abattement. Contrairement à Warren, son visage déformé et sec ne laissait voir aucun signe de larmes, bien qu'elles n'auraient pas été visibles de toute façon.

Onne sortant de desous une table s'en allant d'un air grognont et décider vers l'homme qu'On apellais Warren . Coupant court a toute discussion déjà entamer il tira sur le bas des vêtements de cet homme puis dit

Toi limaçe toi mentir ou trésort gobelin cacher ! Moi avoir chercher toute journée toi faute moi choquer et moi devoir faire mal a toi sinon moi pas être fort et riche si trésor perdu . Maintenant répond répond ou est cabane d'ogre méchant mourut! Vite ou moi morde
Onne montrat ses dents anormalement noir et jaunes

Voyant que Risem voulait se joindre a la conversation, il se précipat pour dire
Non pas besoin alchool vieux noir moi vouloir trésor gobelin chut
il se retournat vers Warren et le regardant tout en montrant les dents et en attendant sa réponse

Sous les assaults de Questions, ''l'être de lumière'' se permis encore une fois un sourire blazé, agrémenté d'un soupir:

Je n'ai pas vraiment envie de discuter pour l'instant cher Tempussiens, En vérité il fut idiot pour de moi de venir m'installer dans cette auberge, car je recherchais le calme...seul la chaleur d'un feu m'a trainé jusqu'ici...Si vous permettez j'aimerais mieux être seul et réfléchir. Je répondrais peut-être un jours à vos questions...qui sais ?

Lorsque Ternès parla à l'être de lumière la prêtresse lui décocha un regard surpris et interrogateur vu sa malpolitesse envers un des sien. Puis se retournant vers l'être de lumière:

- Et bien je suis désoler de vous avoir dérangé messire, j'espère pouvoir vous parlez dès que vous aurez un peu de temps. Je vais donc vous laissez à votre lecture et vous souhaitez une bonne soirée.

Puis se retournant elle vit Bartélimise et en fut fort heureuse. Elle courut ranger le ramasi de feuilles qui était sur sa table en le fourant carrément dans sa sacoche et se dirigea vers Bartélimise tout sourire en lui parlant.

- Bartélimise je suis si heureuse de vous voir ici!!! Figurez vous donc que je n'ai pas vu la soirée arriver et la noirceur m'a coincé ici. Vous pourriez m'accompagner jusqu'au lieu du conseil s'il vous plait? C'est que j'ai très très peur dans le noir...

Elle joignit les mains en supplication et attendit la réponse du preu chevalier avec angoisse.

Bartélimis répondi.
-Bien sur que oui, je te comprent même moi avec les cauchemar j'ai peur dans le noir a vrais dire j'ai peur de plain de chose mais je serai courageux et je vais vous escorter.
il fis un souri qui pouvais rasurer n'importe qui.

Content d'avoir trouvé quelqu'un aussi écrasé que lui et surtout aussi déterminé à noyer ses problèmes qu'il l'était, Risem buvait au même rythme que son voisin, n'éloignant jamais la bouteille bien loin de ses lèvres puisque ce serait des mouvements inutiles. Son visage, plus il buvait, laissait paraître la tristesse sur le visage de l'homme froid et tyrannique qu'il était habituellement. Plus il buvait et plus il semblait s'affaisser sur le comptoir, plus l'énergie calme dont il débordait semblait se dissiper. Sans porter grande attention à quiquonque pourrait l'entendre, il dit à Warren:

Alors, qu'est-ce qui vous afflige, vous?

Il parlait très bas, plus qu'il ne le vouait, la voix anormalement rauque, qu'on l'aurait presque dite entrâvée par quelque chose. Son regard absent se baladait lentement alors qu'il regardait vaguement devant lui, suivant sans-doute quelque scène qui se déroulait devant ses yeux, à une autre époque.

Fate répondit à Bartélimis par un heureux sourire de soulagement.

- Merci mille fois, vous ne savez pas à quel point je suis heureuse de ne pas traverser cette obscure forêt seule. Je vous le rendrez au centuple.

Puis elle se dirigea vers la porte et attendit le chevalier, prête à partir.

bartélimis parti rejondre Fate dans un silence penseur.

Bien que lui aussi ressentait une profonde tristesse et un grand abattement, il tâcha de n'en laisser le moins possible paraître, conservant son air un peu réchauffé et triste, comme plutôt tous ceux dans cette auberge qui buvaient pour oublier les cauchemars qui les assaillaient depuis si longtemps. Alors qu'il repensait, il dit tout haut:

Voilà si longtemps que notre vie est pourrite par ces damnés cauchemars...

Il soupira longuement avant de continuer, cette fois à l'intention de Warren

Vous pensez vous aussi à sortir, complètement saoul, et aller errer par delà les montagnes pour espérer tomber dans un trou ou sur quelque démon pour ne jamais en revenir...?

Il parlait avec un désintéret total, buvant au travers de ses phrases.

En entendant parler de douleur, sans toutefois écarter la possibilité du suicide, Risem se mit à rire légèrement, souriant pour une rare fois. Il but plusieurs longues gorgées avant de répondre à Warren lentement, balançant inconsciemment sa bouteille sans le vide, manquant toujours de près les choppes environnantes.

Vous parlez comme les agonisants que je soignait autrefois...

Il lui envoya un coup de poing sur l'épaule, amical, ratant presque sa cible à cause de la fatigue et de l'alcool. Il eut toute la difficulté du monde à appuyer sa tête contre son poing à nouveau ensuite mais y parvint au 3e essai. Puis il continua:

Mais ce n'est pas des blessures qui vous font appeller la mort, hein...?

Il ne semblait qu'à demi-intéressé par la question, ne regardant qu'à moitié son interlocuteur.