L'arrivée de Morgan

Ternès voyant Alamir entré vira rouge de colère puis se ravisa en voyant entré Saphira qui eu la même réaction que lui. Voyant que la situation allais dégénérer, il se leva pris Saphira par les épaules et l'ammena ver sa table en lui disant:

Il aura ce qu'il mérite en temps voulu Saphira, et ce n'est pas maintenant.

Elerid regarda Morgan, enfin un sujets ou il était calé, la politique d'emlok. Il en savait assez long étant lui même citoyen.

-la politique est assez simple ici, chaque clan possède un représentant qui va aux réunions du conseil. À cet endroit, ils prennent les décisions importantes sur différente chose. Depuis la mort de luxis, émilius est devenus le chancelier tout en étant le conseiller de la guilde des mages. Il y a bien sur des loi mais la plus part ne sont pas très connut étant longue et parfois inutile ou personne ne les faisant vraiment respecter. Le roi, était autrefois karandras, un demi elfe, demi dragon. Mais depuis deux lune, son père l'a détrôner avec l'appuis de la république, il est lui même un demi dragon. Il se nomme vangar

Morgan était très attentif et comprit que le nouvel arrivant de sexe masculin qui était venu se mêler de la conversation devait être un salaud… mais vu comment avait réagit Warren il eu une petite mimique de doute… naturellement les salauds était les principaux alliés des Narzulliens… il commençait donc a douté de qui Warren était…

Il avait écouté ce que les deux autres hommes lui avaient raconté sans broncher… mais il ne put s’empêcher d’enchainer une nouvelle question… Lentement il ouvrit la bouche puis prononça, en laissant des moments de silence entre chaque mot :

-Donc, si je comprends bien… le nouveau roi et la république… et bien ils s’entendent bien ensembles?...

Il doutait sincèrement car une république ne pouvait pas vraiment aimer le maitre de la Monarchie… mais après tout ce qu’il avait vu jusqu'à maintenant de ce royaume vraiment étrange plus rien ne l’étonnerait… sauf peut-être un Narzullien gentil… il eu un léger frisson… brrrrrr… un Narzullien gentil… quel cauchemar… Les rumeurs allait bon train déjà… il semblerait que les Narzulliens ne soit plus ceux qu’ils étaient… et lui, Morgan, n’accepterai jamais cela… même si il devait faire des alliances insensé pour y arriver…

-à vrais dire…ce fut la raison du premier soulèvement…le roi, avait demander à luxis anciennement le chancelier de dissoudre la république et celui-si avait refuser. La seul raison pourquoi il y avait t de bonne relation avec le nouveau roi est qu’Il a soutenu la république contre son fils. Mais je sait que bien des gens veulent déjà ça tête n’aiment gère la monarchie.

Morgan tapa légèrement sur la table de ses doigts en signe d’impatience… et Narzull seul sais que Morgan n’était pas impatiens… lentement il se pencha vers son interlocuteur comme si tout les autres convient n’était pas la… et son visage avait changé… ses yeux était dur… même si son sourire persistait… il prononça de façon tout à fait naturelle…

-Vous ne répondez pas a ma question… Est-ce que LA RÉPUBLIQUE s’entend bien avec le roi?

Son sourire bien que chaleureux cachait une petite dose de venin qui pouvait s’avérer mortel… il se recula dans sa chaise pour entendre la réponse… il reprit alors son visage initial qui invitait a la confidence…

Saphyra résista un peu au geste de Ternès, mais finit par le suivre, non sans lâcher Alamir des yeux. Les siens, encore plus bleus qu'à l'habitude, exprimaient une haine qu'on ne pouvait pas mesurer. Elle s'assit à la table des tempussiens, le regard à nouveau dans le vide, comme si elle fixait quelque chose d'invisible. Son visage était toujours un peu tendu, mais elle s'efforçait de garder son calme. La jeune femme se mit à écouter la conversation qui avait cours à côté d'eux. Elle répondit à Morgan, sans le regarder, fixant toujours Alamir.

La république voudrait bien pouvoir s'entendre avec le roi mais le roi, lui, ne veut rien savoir, alors la réponse est non...

Elle se désinteressait de la question mais elle ne voulait pas que l'étranger ait de fausses informations.

Morgan entendit la réponse venant d’une autre personne qui semblait aussi vouloir, d’une façon ou d’une autre mettre son grain de sel dans la discussion… lentement il soupira puis se tourna vers elle

-Merci bien…

puis il se détourna d’elle sans plus de forme de remerciement pour la simple et bonne raison que des lors… cette femme ne lui plaisait pas… premièrement elle lui manquait de respect en ne le regardant pas dans les yeux en lui parlant, et en second lieu, car elle s’emblait exercer une rage sans détour pour une personne qui ne semblait pas s’en émouvoir… un rage qui ferait probablement mieux d’être cacher…

Alamir se tourna vers Saphyra et un sourire sarcastique apparu sur son visage et puis dit:[/i]

Mais pourquoi me devisagez-vous ainsi mon enfant!

Saphyra se leva brusquement. Elle fixait le sol, serrant les poings vraiment fort, ses jointures étaient blanches. Elle essayait ardemment de se contenir mais, la pression était trop forte. La jeune femme leva les yeux, où on ne pouvait voir vraiment comment elle se sentait, même si la colèere semblait la submerger. Elle ne savait pas si elle devait lui sauter à la gorge ou pleurer. Elle décida alors de dire à toute l'assemblée ce qu'il avait fait.

Je voudrais savoir si tout le monde ici sait ce que ce traître tempussien a fait...Sans attendre une réponse, Je vais vous le dire.

Elle éleva la voix pour être certaine que même des gens présents dehors puissent l'entendre.

Cet homme a sauvagement lacéré, brisé, tué mon bébé par deux fois à coup de fléau...je dis deux fois parce que le démon l'a fait revivre pour qu'il soit tué encore une fois. Un bébé qui avait à peine 1 mois, qui a été arraché à mon ventre sauvagement!

[i]Sa voix explosait presque. Elle défit sa robe manteau et souleva sa chemise pour que l'on voit juste son ventre. Il était marqué profondément par une longue cicatrice qui faisait toute la largeur. Elle resta quelques secondes comme ça puis replaça sa chemise.[i]

Et tout ça pourquoi? pour ressuciter un homme qui me protégeait et qui n'aurait pas accepté qu'on me fasse le moindre mal! Voila, ce que cet homme a fait, et il se tient là, comme si rien n'était, alors qu'on pourrait le tuer à vue! Tu as de la chance que mon mari ne soit pas là! Tu n'as pas d'amis ici! J'ai beaucoup plus d'alliés que toi! Dans tous les clans! Et tu verras! Rien ne pourra m'empêcher de faire ressuciter Aldiann et de le faire grandir!

Alamir regarda la jeune femme en souriant et en rian quelque peu même! Par la suite dit:

HAHAHA! vous me faites telllement rire,vous avez peut-être plus d'allier que moi mais se qui vous manques c'est la pouissance. Et puis si vous voulez me faire tuer sur le cahnt ordonnée donc a vos chien de poche, en particulier votre marie, eh nons! Votre faible marie qu'ils ésseillent de me tué. Mais part contre se qui me tracasse c'est est-ce que vous aller tous vous en prendre a un seul homme. Et puis se que Charles a fait j'ai rien avoir.

Saphyra ne se laissa pas abattre par ses propos et continuait de le fixer. Elle sourit elle aussi, mais sans joie.

De la puissance? si vous avez, ça va me surprendre! C'est plus de la lâcheté qu'autre chose! Et si je n'ai pas de puissance physique, j'ai quand même le pouvoir proche.

Elle prit son souffle pour se contenir encore.

Et lorsque vous parlez de mon mari, je vous suggère de faire attention. Si il ou moi ne vous attaque pas, c'est bien parce qu'on espèere que vous allez avoir un châtiment encore plus pire....

Et pourquoi on ne s'en prendrait pas à vous? Vous avez sauvagement tué mon enfant! S'il y a quelqu'un de plus vulnérable qu'un bébé, je vous prie de me le dire! Il n'y a rien de plus lâche! Même les Narzuléens n'auraient pas fait ça! Et je sais de quoi je parle!

Elle regarda le nouvel arrivant qui s'appelait Morgan, comme si elle attendait une réponse. Dans ses yeux brillait une flamme bleue continuellement.

Ternès se leva et alla au cotées de Saphira puis lui tapant gentiment dans le dos puis d'un seul coup, il sauta à la gorge de Alamir le prenant par la chemise et lui fit un direct du droit puis lui donna un coup de pied en arrière des genoux puis cracha au visage de Alamir puis dit:
Voila tout se que tu mérite traite et ceci mon chère n'est qu'un appercu!

Ternès se retourna prit une deuxième fois Saphira par les épaules et lui dit tout bas, tu peux y aller mais laisse le en vie. Puis la lacha et s'en alla s'assoir a sa table.

Saphyra détourna son regard vers Ternès lorsque celui-ci se leva. Elle le regarda dans les yeux puis l'observa. La jeune slann fut plus que surprise de voir comment son ami réagissait. Elle ne s'y attendait pas du tout. Elle ne savait pas comment réagir mais ne put s'empêcher de sourire un peu. Lorsque le nouveau chef tempussien revint vers elle et lui dit qu'elle pouvait faire ce qu'elle voulait, Saphyra sourit, un peu comme si elle avait gagné. Ses poings se détendirent et elle s'approcha d'Alamir. Puis, brusquement, elle lui donna un coup de pied directement entre les jambes, avec toute la force dont elle était capable. Elle s'éloigna ensuite. Elle lui dit sur un ton déterminé:

Au moins comme ça, tu ne pourras jamais faire d'enfant qui seront aussi horribles que toi!

Elle revint à sa place initiale, avec les tempussiens. Elle ne regréttait aucunement son geste, mais elle savait que ça ne réglerait pas tous les problèmes.

Elerid ce rellevas et observa cette homme, il savait our charle mais pour cette autre tempussien!

-à ce que je voie la corruption des être humain par mis les tempussien est très fréquente. Charles lui au moins était manipuler et à eu ce qu’Il méritait. Lui au moins avait le bon sens de ce cacher et de ce tenir loin de ces ennemis. Comment, vous un tempussien en pleine possession de ces moyen à t-il put faire un t’elle chose? Vos dogme ne sont-elle pas l’honneur et la justice? Je vous souhaite sincèrement d’aller brûler en enfer avec les démon! Vous êtes indigne d’Un tempussien, ou de quelque divinité que ce soit. Même les occultiste, adepte des sombre pratique n’aurais jamais oser faire une t’elle chose!

Elerid alla voir saphira et lui dit doucement.

-je suis désoler pour votre fils, si je peu faire quelque chose dite-le.

Puis il regarda Alamir un air de dégoût dans le visag, il était citoyen et comptait bien fair respecter les lois.

-si je ne me trompe aldian né de deux parents citoyen était citoyen, or pour le meurtre d’Un citoyen par un non citoyen la peine de mort est la pêne minimal et elle est à vue…mais dans le cas que vous étiez vous même citoyen, vous aurez votre procès pour meurtre j’en suis sûr et à ce moment vous regretterez de ne pas avoir choisie la mort. j’espère au moins qu’émilius traiteras votre cas et je compte bien lui en parlé personnellement pour m’assuré que vous en ayez un si votre nom ce trouve dans le registre des citoyen, autrement vous allez devoir fuir car je m’arrangerais moi même pour qu’une prime soit déposer sûr votre tête et que vous soyer traquer et je suis sûr et certain que bien des personne le feront gratuitement.

Comme s’emblait l’attendre la femme qui semblait hystérique, et a raison, il se leva lentement avant même que l’altercation ne fut fini pour s’approcher des deux personnes qui se chamaillait… il souriait devant la stratégie plus amusante que d’autre chose de la femme pour mettre son ennemis mal a l’aise… elle racontait ses quatre vérités… cependant, ce qu’elle ne savait pas, c’est que par sa faute elle venait de transformer Alamir en quelqu’un de très intéressant a ses yeux…(ceux de Morgan^^)

Il approuva muettement et sans le moindre mouvement les paroles d’Alamir mais n’entra pas immédiatement en ligne de compte pour ne pas avoir a choisir un camps mais bien pour voir si il ne pouvait pas mettre son grain de sel…

La femme continua de plus belle l’insultant lui disant qu’il était sans ressources, sans alliés et surtout, elle lui demandait de se taire face a son mari… c’était tellement pathétique… mais il devait se retenir de rire… cela pourrait le mettre dans une mauvaise posture…

Elle montra son ventre ses yeux devinrent cruel, comme elle avait du souffrir en se faisant martyrisé ainsi… comme cela avait du être une torture délicieuse… il espérait que Narzull avait ressentit la plénitude et l’extase que donnait la torture a ses bourreaux… il leva rapidement le nez en l’air comme pour tenter de vivre la scène et se donner le plus plaisir… mais il du mettre fin a son fantasme lorsque cette femme imbus venait de prononcer l’imprononçable… il passa a deux doigts de lui saisir le bras mais se retint a la dernière seconde… ses yeux étaient exorbités et il semblait dans une colère folle… (M’ouais… je pense que, si je reste guerrier, je vais faire un pas pire Frénétique^^)

-Ne jugez pas de se que ferait ou ne ferait pas les priants de Narzull sans les connaître… sans les connaître réellement…

Il parlait lentement et avec un timbre de voix presque normal, si se n’était qu’il était menaçant et qu’elle semblait aussi remarquablement violente… puis comme elle était venue sa colère disparue en un claquement de doigt et il redevint d’une bonne humeur presque désarmante…

-Mais madame, allons ne vous faites pas de soucis… cet homme, si il le mérite, finira bien par le payer…

Il eu un léger sourire narquois qui disparu instantanément…

-Mais vous avez parlé de ses motifs il y a un instant, sans pour autant développer ce sujet… mettez moi donc au parfum je vous pris…

Sa voit n’était pas cassante mais elle ne laissait pas vraiment le choix a sa cible… son sourire aimable toujours pendu aux lèvres il attendit ses yeux plonger dans ceux de la jeune femme qui lui avait apporté tant de bonheur, par sa souffrance, quelques minutes auparavant…

Il ne fit attention à Elerin qu’au moment ou celui-ci se mit a menacer l’autre de mort cette fois si il éclata d’un rire calme et dit

-Allons, mon bon ami, calmer vous un peu et laisser les représentants de la loi…

Il prononça se dernier mot avec mépris

-Régler se problème… sauf bien sur si ils sont tous comme notre ami ici présent…

Il pointa Alamir...


(HJ : Pour ceux qui ne sont pas habituer se qui se trouve entre parenthèses est considérer comme HJ… sauf bien sur si cela va a l’encontre des règles des amins)

(HJ2: aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa! vous allez tros vite pour moi!...^^)

Saphyra regarda l'étranger et l'écouta sans broncher. Elle vit que sa souffrance passée lui fit mais ne s'en préocuppa pas. Elle le défia du regard en soutenant le sien longtemps. Toujours sans le lâcher des yeux, elle dit d,un ton neutre:

Je connais les Narzuléens plus que vous ne le pensez...Celle qui dirige en ce moment ce groupe est mon amie et je sais qu'elle ne me trahirait pas. Les autres m'ont maintes fois protégé alors ne dites rien, vous venez d'arriver, vous ne pouvez pas savoir ce qui se passe vraiment. Et pour ce qui est de ce sujet, comme vous dites, il n'y a rien à ajouter. Ils ont amené mon bébé dans un portail pour faire ressuciter un homme qui avait été tué le jour avant. Ils ont maintes fois dit qu'ils ne l'avaient pas et c'était faux. Et croyez-moi que j'ai pris plaisir à tuer un des hommes qui était dans ce projet.

Elle sourit, pas vraiment par joie, en se remémorant le moment où elle avait fait ça.

Ternès se leva et dit:


- Lâche, tu crois vraiment que nous serons injuste de s'attaquer à toi. Toi qui s'est attaqué à quoi 5? Non 7? Sur un poupom, sans pouvoir sans défence. Et c'est nous qui serait le moins droit et les plus à tord?

Je ne laisserai pas quelqu'un payer pour l'attaque que j'ai fait pour le meurtre et la trahison que j'ai moi même fait à mon dieu! Je ne veux pas que quelqu'un paie pour moi. JAMAIS! Personne! Je serai seul responsable des concéquenses et je le viverai plainement librement également comme mon dieu le veut

Surtout n'essaye pas de te déffiller ou de te préserver grâce à ton démon. Je vais voir personnellement à ce que ton chatiment soit pire que celui des autre, traitre. Tu as perdu toute confiance. Tu as rendu toute rédemption impossible. Je croiyais après m'avoir remis le collier que tu aurais pu continuer que j'aurais pu te faire confiance et parler en bien de toi mais tu as fait éclater tous mes espoires dans la seul attaque sur moi.

Je serais traitre de vouloir me protèger en éliminant la menace? Je serais traite d'utiliser les règles et les armes que la république a instoré. Se bébé vous l'avez tué dans le dos de tous et c'est probablement ce que vous m'auriez réservé si par chance je n'aurais pas été sur la plaine avec Saphyra.

Tous mes Tempussiens se lèveront, tous les gens avec un peu de raison vont bien voir que la nature veut des enfants et qu'il est innhumain de les détruire comme tu le fais.

Ne rie pas de moi comme tu craches au visage de Tempus. Ton chatiment sera autant divin que physique. J'en prend gage je ne te laisserai pas courire.

une silhouette plutot carré entra dans l‘auberge. ayant le soleil dans le dos, on ne vis que quelques poils, provenant de son mateau, dépasser. on voyait aussi, autant qu‘on les entendait, des chaînes, qui lui bardait le dos. puis, il avancat, et on put reconnaitre Katrak, qui était plutot concentré sur ses pas, car il faisait plus sombre a l‘intérieur de l‘auberge. lorsque ses yeux s‘ajustèrent, il remarqua premièrement que sa femme était la, et qu‘elle semblait d‘humeur plutot foribonde. puis il vit la lumière qui émanait de Ternès, mais ne l‘approcha pas.

Il vit ensuite le traitre qui était a genou. ses yeux s‘agrandirent, et un sourire sadique s‘acrocha au coin de ses lèvres. il s‘approcha de lui tout doucement, le prit par dessous les épaules, et le redressa de terre. il dit clairement:

MOI, JE NE FRAPPE PAS LES IMPUISSANTS! MOI, J‘ATTEND QU‘ILS PUISSENT SE DÉFENDRE!

puis d‘un ton argneux:
Allez, tien toi debout! regarde moi dans les yeux, et voit. Voit comme je peut être mauvais! VOIT! je ne t‘effraie peut-être pas, pour le moment, mais tu apprendra. je ne suis pas seul, tout les Sylvarois, une bonne partie des Tempussiens, plusieurs Narzulléen, ainsi que les Slann sont de notre coté. même celui que vous tentiez de ressusiter, était de mon coté! souhaite de ne pas avoir réussi, parce que si tu as réussi, lui aussi abattra sa main sur toi!

puis, il se retourna, laissant son dos dévoilé a Alamir, et se dirigea vers son épouse.

Apolgec

Une silhouette se dessina au loin, sombre et à la fois colorée, on ne pouvait encore distinguer complètement de qui il s'agissait. Marchant d'un pas souple et distingué, les bras légèrement relevé pour ajouter un surplus de grâce à la forme qui semblait excéder en modestie, l'étrange personnage releva sa tête, recouverte d'un chapeau tricorne rougeâtre, pour laisser apparraître un visage brunâtre, creusé et portant de multiples cornes. L'être purement démoniaque, malgré ses habits d'une luxure extrême que personne en Emlok, pas même la royauté, ne portait. Il fit un pas dans l'auberge qui laissa place à un silence de mort à sa vue, eux qui observaient et s'indignaient devant la scène qui se déroulait. Le démon balaya la salle des yeux pour en arriver sur Alamir, puis il ramena son attention sur la foule et une nouvelle fois vers son serviteur.

Il hocha la tête négativement à sa vue et après avoir remarqué l'ambiance très tendue qui tenait lieu dans l'auberge, il prit Alamir de force par une épaule, le tirant vers lui pour parler très près de son visage, d'une voix rude et grave qui ne faisait pas bon ménage avec ses habits nobles.

Quel Orgueil, oser se présenter dans une auberge bondée de gens qui t'en veulent, je crois que tu pousses le vice un peu trop loin pour le moment... Allez, Pè... Ton maître t'attends, tâches de ne pas te balader en publique jusqu'à nouvel ordre, Orgueil.

Il le jeta à l'extérieur par la porte d'une telle force qu'il en fut projeté très loin, là où trop peu de gens osaient s'aventurer, là où tout avait commencé ; Vers la faille aux maléfices.

Il se retourna ensuite pour observer l'auditoire, posant immédiatement son regard en direction de Ternès, il ne pu s'empêcher d'émettre un rire. Il cracha ses paroles avec cette même voix inhumaine.

Tiens tiens... Si ce ne serait pas de la Colère que je ressens... Je peux atteindre ton coeur, je peux le tenir entre mes mains et le caresser. C'est exactement le même sentiment que j'avais pour Orgueil, qui nous a rejoins. À moins que tu ne suives les mêmes pas que ton père... Dans ce cas nous en connaissons la fin, Non?

Il tourna son dos à l'assemblée tout en se moquant ouvertement de Ternès, il s'éloigna très lentement de la même façon dont il était arrivé, mais cette fois-ci la tête bien haute. Il se dirigeait lui aussi de toute évidence en direction de la faille, là où il était loin d'être une bonne idée de le suivre, plusieurs en étaient témoins.

(Hj: Merci de ne pas déclancher des combats dans l'auberge, il est écrit mot pour mot sur la description du forum En-jeu: Auberge d'Emlok

Venez interagir avec votre personnage comme au GN !
L'action se déroule dans l'auberge de Geoffroy McMarlof, Maître Roturier d'Emlok

Restrictions : Sur ce forum, le jeu de rôle doit être maître. Vous incarnerez le même personnage qu'au GN et devrez garder un bon 'role-play'. De plus, l'auberge ne sert qu'à interragir de façon verbale. Vous ne pouvez y mener de combats comme vous ne pouvez utiliser les habiletées de votre personnage (vol à la tire, par exemple).

J'espère donc ne plus avoir à faire d'intervention de ce genre. Je tiens aussi à dire qu'il n'y a AUCUNE place pour les messages hors-jeu dans les messages En-jeu. Les messages privés existent à cet effet, question de régler certains conflits etc. Je ne veux voir aucune réponse hors-jeu à l'intérieur des messages et encore moins pour répondre à ce message hors-jeu. (Par exemple: "Haha, toi tu en as fais un pourtant").

Sur ce, respectez les règles sur le forum et tout ira pour le mieux. Bon jeu.)

Saphyra se sentit un peu soulagée de voir son mari apparaître. Elle ne dit rien lorsqu'il parla à Alamir, sachant très bien que un jour, il y aurait un affrontement entre les deux hommes. Elle commençait à se sentir moins en colère mais plus boulversée. Il y avait tant de choses qui lui arrivait en ce moment...
La jeune femme prit doucement son mari par le bras. Lorsque le démon entra, elle resta figée. C'était le démon qui avait lancé son bébé hors du portail...Sachant très bien que ce n'était pas un être comme les autres, elle ne dit rien. L'impuissance la submergeait, elle s'en voulait intérieurement de ne pas avoir de pouvoirs comme eux. Lorsque le démon fut parti avec Alamir, elle parla à son mari, à voix basse près de son oreille.

S'il te plaît, ne les suis pas...

Même si elle ne pouvait s'empêcher d'être triste, elle sentait que beaucoup de gens supportaient leur cause. Elle sourit à Ternès, comme pour le remercier en silence.

Alors que Ternes faisait sont gentil petit discours il fit un geste comme pour prendre la parole mais une entrer très brève mais non moins importante l’immobilisa légèrement, le mari… sans aucun doute… il leva les yeux sur lui et profita du fait que les gens semblait l’avoir oublié pour bien le scruter en détail… il s’approcha et sortit le même genre de baratin que sa femme a son ennemis…

Il tenta a nouveau de prendre la parole mais une entrée totalement dépourvue de sens se fit voire… quelque chose de très laid qui s’avançait et qui tirait le pauvre homme a lui… il lui parlait tellement faiblement qu’il ne comprit pas un traitre mot… sincèrement, il fut presque content que tout le monde l’eu oublier… lorsque ce monstre sortit de la pièce il soupira légèrement… il alla s’asseoir mais a peine avait-il poser son postérieur sur sa chaise qu’il changeait s’idée… il se leva et partie par la porte de devant sans demander son reste et faisant délibérément fi des autres convives… il reviendrait plus tard pour terminer ce qu’il avait commencer…

Ternès Brandis son épée, regarda tout le monded'un air triste puis s'en alla à l'extérieur et tout ce que l'on pu entendre se fut:

POUR TEMPUS ET POUR MON PÈRE!!!

''Tu t'énerves toujours autant petit Tempussien...''

Étaient les mots qu'avait prononcé l'étrange ''être de lumière'' que certain avait aperçu lors de la dernière lune, lorsqu'il était passé à coté de Ternès pour entrer dans l'auberge. Une fois à l'intérieur avec un regard d'ennui profond, mélangé avec une sorte de dégoût particulier l'étrange homme prit un siège dans un coin sombre pas trop loin du foyer et regarda le peuple d'Emlok sans trop cacher son intérêt à dévisager les gens. Il semblait chercher quelqu'un où quelque chose et ne semblait pas le trouver.

Le grand Juge d'Emlok marchait tranquillement en Emlok quand il se rendit à l'auberge. C'était un endroit merveilleux pour prendre le pouls de la population sur la République et se préparer à prendre ses fonctions juridiques complètes, car ces temps-ci, la République allait plutôt mal et son rôle de Juge était plutôt anarchique, comme le reste de la République d'ailleurs, mais il tenterait d'en parler au chancelier, pour que des arrangements soit fait.

Il venait donc s'éloigner des durs discussions politiques au conseil et allait se reposer a l'auberge. Il y entra, regarda avec un sourire le Chevalier de l'épée qui ne semblait pas dans son état normal et alla rejoindre l'étrange ''être de lumière''.