La prison

Alamir prit le papier et retounra s'assoir puis dit finalement de ton froid:

Sa fait une éternité que j'ai oublié se nom.

Il ouvrat la lettre et se mit a la lire sens aucun remort

J'aimerais toutefois qu'on m'amène Saphira si elle est toujours là1

Ternès regarda Alamir puis dit sévèrement:

Si cela sont vos dernière volonté...

Il monta les escaliers puis dit aux gardes de faire entrer Saphyra ET PERSONNE D'AUTRE. Puis redescendit vers Alamir :

Je reste tout le long de l'entretien et puis vous n'avez que cinq minutes et après plus aucun gardes ni aucune autre personne ne fera ce que vous dite. Et puis allez vous enfin nous dire avec qui vous parler!

Puisque le tempussien lui donna sa permission, elle s'avança doucement, regardant l'entrée d'un regard moins joyeux qu'il y a quelques instants. Elle s'arrêta avant d'entrer, jetant un coup d'oeil à Katrak. Il n'aurait pas ce privilège, si c'en était un. Saphyra entra doucement, sans se presser. Elle adressa un petit merci au chevalier en passant devant lui, puis continua à avancer. Elle ne se pressait pas et son visage n'exprimait rien. Elle vit Marius proche de la cellule ainsi que d'autres tempussiens. Elle les salua rapidement, avant de risquer un regard dans la cellule. Elle se tenait à une distance raisonnable des barreaux et fixait maintenant Alamir. Son regard était dépourvu de sentiment, pour le moment selon elle...

Vous avez quelque chose à me dire?

Sa voix était froide comme jamais et c'était assez rare pour une slann.

Alamri quelque peut enjoué de voir que Saphyra était venu le voir dit:

Alors comment va votre enfant? On m'a dit qu'il avait survécu a l'attaque que nous lui avons si...brutalement infligé. Sachez toutefois que sa ne vous visais pas directement mais toute la populace d'emlok. Je vois dans veux petit yeux quelque larme ou de la colère....Colère est un bien gros péché pour une femme d'une telle sagesse et d'humanité qur cela ne me surprend point.

Alamir qui avait un gros sourir au lèvre en prenonçant ces dires dit finalement

A oui j'oubliais...Les Tempussien assurerons votre protection quoi qu'il en soie...Pas vrai Tèrnes mon vieil ami et compagnon d'arme.

Alamir qui riait presque se tourna vers Tèrnes et dit:

Moi je n'ai parler a personne sauf vous saphyra et cette homme...

Quand il prononça son dernier mots il eu dans son visage une expression d'un tel dégout qu'il aurait pu en vomir.

J'aimerais qu'on me laisse seul maintenant je n'est plus rien a dire a des gens tel que vous et j'exclus Tèrnes évidament...

La jeune femme garda sa colère pour elle, le fixant seulement d'une manière assez agressive.

Il n'a pas survécu...comemnt aurait-il pu? avec les dizaines de coups de fléau qu'il a reçu?

Elle s'approcha des barreaux, murmurant presque cette fois-ci.

Je n'aurais bientôt plus besoin de protection...c'est vous qui en avez plus besoin maintenant. Vous n'auriez pas dû...vraiment pas dû...Vous ne savez absoluemnt pas dans quoi vous vous êtes embarqué...et volontairement. vous avez beau mettre la faute sur les autres, il n'en reste que vous avez fait des choix. Choix qui seront gravement punis comme vous devez le savoir...

Ses yeux brillaient d'une colère intense. Elle ne se souciait pas du tout des péchés, elle vivait déjà souvent avec.

Vous n'avez pas d'ordres à donner maintenant...J'ai cinq minutes alors j'en profiterai si ça me chante.

Alamir éclata d'un rire fou

HAHAHAHAHA! Vous me faites telllement rire!!!!!Vous Vous croyez supérieur a moi,Vous croyez que vous me faites peur, vous croyez que vous êtes meilleur que moi. Vous voulez que je vous disent, vous me faite pitier comment voulez vous me faire regrettez se que j'ai fait en me soullant avec vos pouvoir d'aubergiste. Ou bien avec votre petite dague!!!!
Vous et votre marie êtes des bon à rien et vous ne faitepeur qu'aux faibles.

Alamir s'approcha des barraux et dit:

Ésseyez de vous mettre entre ma route et vous allez mourir avec votre marie pitoyable esclave d'un dieux soul qui ne fait rien apar boirer et faire la fête. Sachez que je ne regrette plus se que j'ai fait a votre enfant et que vous allez subir sans doute le même sort.

Alamir avait un gros sourire au lèvre en prononça ses mots, il la regardait droit dans les yeux... Il se foutait des parole de cette paysane qui c'est approprié l'auberge seulement parce que l'ancien aubergiste et forgerons a fait une bétise....

Vous n'êtes rien et vous ne faites pas peur a personne pauvre serf sans pourvoir!

Saphyra l'écouta sans broncher, elle souriait même. Son sourire n'était pas vraiment heureux, mais remplit d'une haine incommensurable.

Vous ne ferez rien, vous êtes bloqué ici, jusqu'à votre mort prochaine.

Elle jeta un regard à Ternès, avant de répliquer:

Je crois que vous venez d'avouer que vous ne regrettez aucunement un meutre pur et simple. Je crois que je n'ai pas à vous dire quelle sera votre sentence. Je me fous éperdumment de ce que vous dîtes, vous mentez comme vous respirez, comme toujours.

Elle s'approcha encore plus, parlant d'un ton très faible. Elle souriait toujours.

Je me ferez un plaisir de me mettre sur votre chemin, même si vous n'arriverez à rien. Si cela m'est permis, je m'arrangerai pour que vous soyez tué par la même arme que vous avez utilisé. N'est-ce pas merveilleux? Souffrir autant? Le mieux serait que vous vous fassiez ressucité pour qu'on vous tue encore une autre fois... mais je doute que cela soit possible.

Elle avait un air déçu lorsqu'elle se rendit compte que cela n'était pas possible, le ressuciter.

Dommage! Je ne vous fait pas de menaces, je sais que cela ne servira à rien, que cela ne vous atteindra pas le moins du monde à cause de votre ego démesuré. Seulement, je ne puis que vous dire: vous allez voir...Et vous êtes chanceux, que mon mari ne soit pas votre bourreau....Probablement que vous auriez souffert beaucoup plus mais bon, on ne peut tout avoir dans la vie!

Alamir toujours avec les sourir dit:

HAHAHA! vous dites vraiment n'importe quoi, que connaissais-vous a propos de moi. et en plus vous venez de dire une menace...

[quote]Si cela m'est permis, je m'arrangerai pour que vous soyez tué par la même arme que vous avez utilisé. N'est-ce pas merveilleux?

Alaors quand dites-vous ma chère vous, vous qui vout croyez en haut de tout le monde. vous vous comtredisée de plus en plus, c'est décevent!

La jeune femme perdit un peu de son sourire, mais tâcha de rester un minimum polie.

Je ne crois pas être au dessus des gens, j'ai toujours aider tout le monde. Je crois que c'est plutôt vous qui vous croyez au-dessus de tout, vous vous moquez des gens alors que vous n'êtes pas très bien placé pour le faire.

Elle regarda les barreaux d'un air ravi.

Ce qui m'intrigue, c'est cette attitude que vous continuez d'adopter de vous foutre de tout. Il me semble quant tant que meutrier, traître pour ses amis et son dieu et menteur, vous devriez considérer la situation autrement. Expliquez-moi ça, si vous me considérez aussi stupide.






Elle fit une petite révérence, souriant d'un air un peu malicieux.

Ayez l'obligeance, vous qui avez tant de puissance, de me dire ce qui vous donne tant d'assurance.

Alamir se raidit nu peu mais garda son sourir

Une façon de pensé que vous ne pourrez jamais le comprendre car vous êtes trop bornée par le sens des règles. Et je n'ai jamais trahi mes amis, se sont eux qui mon trahi. Qui êtes-vous pour jugée les problème qui ne son pas les votres!!

La jeunne femme failli pouffer de rire. Le sens des règles? Elle? Saphyra se retint mais ne put s'empêcher de sourire.

Voilà la preuve que vous ne me connaissez pas du tout! Suivre le sens des règles? C'est certain que cela dépend laquelle, mais bon, je ne sais pas si je devrais prendre cela pour une insulte ou un compliment.

Elle repensa à ce qu'il venait de dire et sourit encore une fois avant de se calmer et de revenir à une expression plus impassible.

Vous dites que ce sont vos amis qui vous ont trahi? Donc s'allier avec Aramil et ses amis, s'allier avec un démon, tuer par deux fois mon bébé serait en fait leur faute? Voyons! Même un petit enfant comprendrait que vous avez fait cela par choix! Contrairement à certains de vos anciens collègues, je pense que même si vous avez été poussé à faire des mauvaises choses, vous aviez toujours le choix de ne pas vous y engagez et de perdre votre statut de guerrier de la lumière et de la justice. Voilà pourquoi je crois dur comme fer que c'est votre faute, mais cela ne m'empêcherait pas de comprendre votre attitude maintenant. Ce qui est fait est fait, non? On ne peut rien y changer, encore moins moi, et ce qui m'intéresse miantenant, c'est le présent, non le passé.

Alamir se foutait éperdument des paroles de Saphyra dit:

Si j'ai fait se choix c'est pour une raison qui m'obligait à agir c'est bien entendut point la faute des Tempussiens mais bien de la faute de Joaniel sans qui rien ne se serait jamais passer.

Alamir regarda la lettre puis attentivement puis dit le regard absent:

Le présent seul vous intéressent alors que se qui nous pousse a faire des gestes dans le présent sont toujours a cause du passé se sont des question ou des réponse qui viennent de notre passé ou de celui d'un notre.... Seul le futur importent les gens et non le présent. Le passé sera toujours plus fort que nous et personne ne peux le vaincre même pas vous qui vous croyez si bonne et si généreusement. Pauvre sotte...


Alamir reprit la lecture de la lettre amené par Marius

Elle lâcha un petit soupir d'exaspération, mais garda un air assez neutre.

Eh bien, vous auriez dû mourir à la place de mon enfant. C'est lui qui méritait plus de vivre, il était très jeune et commençait sa vie. Un bon tempussien aurait fait cela, j'en suis certaine. Il me semble qu'il est dit dans vos dogmes de protéger les faibles au péril de sa vie, non?

Elle jeta un regard à Ternès, s'attandant à une réponse. Mais avant qu'il ait pu répondre, elle regarda encore Alamir.

Je ne crois pas pouvoir vaincre le futur, seulement, lorsque l'on veut vraiment quelque chose, on fait ce qu'il faut pour y arriver et s'arranger avec les imprévus. Mais pour ce qui est de votre futur, nous savons tous ici ce que cela comporte.

Elle fixa Marius quelques secondes, avant d'ajouter:

Ce dont je suis certaine, maintenant, c'est que vous avez été un très mauvais tempussien et que vous avez déçu tout le monde. Peut-être que le démon, lui, ne l'a pas été, mais il a l'air de vous avoir laisser tomber lui aussi.

Orlick, qui fesait quelques comissions en passant de temps en temps devant la prison entendit jusque là quelques mots, mais n'avait pas écouté la conversation au complet. Mais maintenant ces commission fini, il partit retrouver Saphyra à la prison pour lui demander s'il avait d'autre corvée ou s'il pouvait prendre son après-midi. Il se rendit donc à la prison et, en l'entendant parlé, se dit qu'il attendrait qu'elle finisse sa discution avant de lui parlé. Il s'adossa donc au mur extérieure de la geôle, donnant l'impression qu'il somnolait, mais gardant les oreilles grandes ouvertes pour apprendre ce qui se passait à l'intérieur.

/hrp/ La prison est bien un bâtiment fermé? /hrp/

Alamir ria un bon coup puis dit:

Vous croyez connaître mon futur...Vous êtes plus pitoyable que je ne le pensais ma chère! Je ne vais point mourir...Pour l'instant et le moment de ma mort n'est pas prévu pour bientôt. Je tien à rectifier se que vous avez dit... J'ai ÉTÉ un bon Tempussien a mon temps, je n'es plus a obéir a aucun dogme et la seul loi ou principe vital est la survie. Mon nouveau maitre qui est 1000 fois plus présent que se cher et bon Tempus.

Alamir s'appuya sa tête contre le mur et se remit a sa bonne lecture...

Marius avait suivit la discussion sans parler, il suivait du regard les échanges verbaux et ne faisait qu'afficher un air déçu très près de l'emportement, mais il se contenait et c'était évident. Il posa son regard sur Saphyra, s'approchant de quelques pas avant de parler à voix basse. Le ton était audible pour tout le monde, mais jamais on aurait cru d'autant de douceur dans les mots de l'homme à l'air si consterné.

Allons... Très chère, vous voyez bien qu'il est beaucoup trop orgueilleux pour admettre ses fautes. Croyez-moi que dans les flammes purificatrices, flammes qu'il adore tant maintenant qu'il est un suppôt de ces démons, il n'aura plus le même regard.

On ne peut pas changer le passé, mais on peut certainement organiser le prochain. Futur auquel il n'aura pas droit, coûte que coûte...

Il offrit un regard très dur à Alamir, ne réprimant pas tout le dégoût qui s'affichait sur son visage rien qu'en le regardant. il tourna à nouveau la tête sur Saphyra, reprennant du même ton.

J'aimerais bien parler plus amplement avec vous, disons... Autour d'une table dans un lieu plus rassurant que celui-ci? J'ose espérer que vous êtes amatrice de bon vin. Je vous offre même de le payer, sans même que cela compte pour l'argent que je vous ai promis... Ou plutôt l'Or que je vous ai promis.

L'homme lui tendit une main ouverte et invitante, l'incitant à sortir de cette prison qui ne contenait pas de portes à l'entrée, mais qui était belle et bien faite de lourdes pierres et bien protégée par de nombreux gardes lourdement armés.

La jeune femme écouta ce que lui dit Marius, tout en fixant Alamir encore. L'ancien dueliste était aussi têtu qu'elle pouvait l'être, pensa-t-elle. Saphyra tourna ensuite son regard vers celui qui lui offrait sa main et sourit faiblement. Enfin peut-être quelque chose de plus heureux...

Vous avez raison en ce qui le concerne...il n'est plus digne de tout intérêt maintenant. J'espère que ce n'était pas la gloire qu'il cherchait puisque c'est tout le contraire qu'il a eu...mais bon, en ce qui concerne votre espérance, elle est fondée, je ne saurais refuser ce que Slanesh nous a créé.

Elle jeta un dernier regard dans la cellule, s'éloignant des barreaux. Elle dit avec un sourire à l'intention du prisonnier:

Restez dans votre cellule, c'est toujours moins dangereux qu'au dehors.

Elle prit la main de Marius avec toujours sur les lèvres un léger sourire.

Saphyra garda un air calme et détendu, même si ses joues étaient devenues légèrement rosées. Elle fixa aussi Ternès pendant un bref moment afin de lui faire comprendre que ce que Marius voulait, elle le voulait aussi. Puis son attention revint vers le père d'alamir. Elle demande d'un ton calme:

Cela vous ennuirait si Mereist, mon accompagnateur et ami vienne avec nous? Il se fera discret si cela vous convient.

Elle jeta un bref regard dans la cellule avant d'ajouter:

Vous désirez visiter tout Emlok ou seulement les parties interessantes? Car il y a beaucoup d'endroits à voir. Après avoir fait le tour des coins d'ici en courant, je crois bien connaître pas mal tout le royaume.

Tout en gardant un certain sourire, elle réfléchit quelques secondes avant de parler.

Eh bien je pourrais vous montrer l'auberge dont je suis propriétaire et on pourrais ensuite aller à une autre auberge, un peu plus peuplée où il y a plus de gens.

La dernière phrase de Marius la rendit un peu pensive. Elle croyait aussi.

Je suis d'accord avec vous, seulement, il y certaines rencontres qui n'auraient jamais dû avoir lieu...mais bon, comme j'ai dit tout à l'heure, on ne peut pas changer le passé, on ne peut qu'apprécier le présent et c'est autour d'une table avec du vin que cela sera possible.

Elle souriait, regardant un peu dehors. Mereist serait sûrement content.

Alamir réjoui qu'elle quitte la prison car il aurait enfin la paix et dit:

L'auberge que vous vous êtes aproprié tout seul sens aucun consentement de l'ancien propriétaire et vous ne pouvez en aucun cas le chatier de son établissement...