Près de l'ancienne église Sylvarienne

Johanniel avait déjà atteind le ruisseau quand Ternès les avait rejoint et regarda celui-ci avec un sourire. La fée salua l'être de lumière avec un petit signe de tête écoutant ce qu'il disait. Elle fut surprise du nom que Ternès employa, ne connaissant pas ce jeune homme. Avançant encore un peu, elle répondit en même temps à ses amis.

- Je vais sur la route de Karmik, qui n'est pas très fiable alors si vous voulez nous accompagner, vous pouver faire un bout de chemin avec nous.

Puis, elle prit un temps réfléchissant discrètement à la question de Katrak qu'elle vait bien entendu. Cela ne l'a tracassait pas, mais il était vrai qu'elle y pensait beaucoup.

- Je ne veux pas vraiment aller la bas seul, alors à qui d'autre pourrais-je demander de m'accompagner. Je dois vous avouer que j'ai très peur de ce que je vais trouver labas... Je ne sais même pas ce que je cherche réellement.

La prêtresse avait continué à avancer pour pouvoir revenir avant la nuit sans vraiment savoir la distance qu'elle aurait à parcourir. Sous sa grande cape rouge, le froid la tenassait un peu mais frontant ses mains ensemble elle tenta de se maintenir au chaud en bougeant beaucoup.

Saphyra avait sourit à l'être de lumière mais son visage redevint plus sérieux lorsqu'ils parlèrent de Morgan. Elle fronça les sourcils et dit à Johanniel quelque chose tout bas.

J'ai confiance en ternès et je veux qu'il vienne avec nous, si cela ne vous incommode pas trop. Ainsi nous serons quatre.

Elle lui fit un petit sourire. Saphyra en vint à se demander pourquoi il les suivait. Elle se demanda si cela avait un rapport avec ce qu'elle avait dit sur les narzuléens...La jeune femme haussa les épaules en se disant qu'elle avait raison lorsqu'elle avait dit certaines choses. Elle pensa à Zolena. Celle-ci étant presque jabbuk et aussi son amie, elle savait qu'elle n'avait pas à craindre une trahison de sa part. Son attention revint sur la prêtresse sylvaroise. Elle se demandait ce qu,elle voulait faire sur la route de Karmik.

Ternès sourit puis dit:
Soit je viendrai avec vous et j'espère qu'il nous suivra, car nous pourront lui régler son compte. Hein Katrak dit Ternès avec un sourire
Puis a Saphyra

À quoi vais-je participer au juste?

avec un sourire sarcastique, Katrak dit:
non non non... il ne faut pas faire de mal au jeunes, inexpérimenté, et stupides nouveaux habitants du royaume... il vont se faire mal eux même de toute facon...
puis plus sérieusement:
Bon, nous attendons quoi, exactement? on y vas?

Je suis d'accord avec vous mais pour allez ou je nen ai strictement aucune idée

Invité

Ayant bien réfléchit Morgan décida, en tant que noble homme excessivement bon envers les autres habitants, de revenir sur sa décision et de, avec toute la gentillesse et la douceur possible, de proposer sa candidature pour l’aide a la décence sur la route… bien qu’il ne fut jamais aussi bon bretteur que certain autre guerrier aussi fougueux et tenace que Tèrnes, il savait manier le cure-dent aussi bien que le meilleur des paysans… il sortit donc, un peu plus loin, à découvert puis revint vers le groupe de joyeux fanfarons… il prit un air faussement surprit et dit :

-Tien Tèrnes, Saphyra et son mari! Vraiment je ne pensais pas trouver mes trois meilleurs amis dans un coin aussi perdu en la compagnie d’un…

Il regarda mieux…

-d’une fille!

Cette fois-ci sa voie était vraiment surprise mais il se reprit et continua :

-Je suppose que je me dois de me présenté… alors ici on me connaît sous le nom de Morgan…

Il sourit à la jeune fille :

-Vous semblez vous déplacer sur une route bien sombre pour une jeune demoiselle telle que vous…

Son sourire se fit charmeur…

-Peut-être aimeriez-vous ma présence pour assuré votre protection?

Son sourire s’effaça quelques secondes où il dit :

-Si bien sur vous arrivez à convaincre s’est trois personnes auquel je suis aussi attaché qu’a ma propre famille…

Son sourire revint et balaya les trois autres une brève seconde avant de se rattacher à la fillette…

un regard mauvais au yeux, Katrak regarda Morgan, et dit, d‘un ton enragé:
Menteur! Qui croit tu pouvoir convaincre? pas moi, certainement!

Il savanca jusqu‘a l‘homme, et dans ses yeux, on pouvait voir de la rage, de la colère pure, et une envie pure de déchirer les entraille de l‘immonde homme qui lui faisait face...gonflé a bloc, il dit d‘une voix, sans conteste, colérique:
je ne te le demanderai qu‘une seule fois: va t‘en!

Invité

Morgan regarda l’homme d’un regard quasi vide puis toussota légèrement…

-Mais très cher ami, ne compreniez-vous pas qu’il est inutile de convaincre des gens qui n’écoute pas…

Il toussota encore le regard presque plus vide qu’avant…

-Vous me détesté pour la simple et bonne raison que j’ai prit la défense d’un homme que je pensais injustement maltraiter… Je me suis trompé, je le reconnais, mais cela ne vous donne pas pour autant le droit de vous attaquez a ma personne… vous savez j’ai un dieu et je ne fait que me pencher sur ces enseignements… cela ne fait pas nécessairement de moi un être mauvais… cela fait de moi un être pieux…

Il respira un peu plus fort puis ajouta, un léger éclair de vie dans les yeux :

-Je suis quelqu’un de totalement pacifique et aimable envers tout le monde, jusqu’au moment ou cette gentillesse va a l’encontre de mes enseignement… on peut presque me comparer a un prêtre Sylvarois mais avec un peu moins de patience… car après tout Sylvar est un dieu miséricordieux…

Il se tourna brusquement vers la jeune fille qu’il avait identifiée comme étant un priant de Sylvar :

-Alors dites moi milady, le dieu que vous prier pardonnera-il a un pauvre bougre comme moi l’affront d’avoir laissé le bénéfice du doute a un fautif?

Son regard était maintenant légèrement suppliant mais encore trop faiblement éclairé de vie pour que c’est belles paroles puisse être considérée comme dite par un humain…

Johanniel vit le jeune homme sortir à découvert d'un oeil plutôt prudent. Quand il vint lui même se présenter, la fée le regarda un peu méfiante. Elle resta passive jusqu'à ce que Katrak s'emporte. Elle décida d'agir en concéquense. Se plaçant entre le Sylvarois et le Narzulléen, la prêtresse s'addressa d'abord à l'homme colérique.

- Guerrier, reprend-toi. Je sais que c'est dure, surtout en ses temps mais laisse la sagesse de Sylvar pénétrer en toi. Calme tes ardeurs. Qu'importe qui est cet homme, il vient surment d'arriver et ses pas sont surtout portés par l'ignorance.

Elle lança un regard mi-calme, mi-réprobateur au Sylvarois. La fée avait fait la même erreur que lui et elle en payait le prix aujourd'hui. Elle ne voulait pas que les priants de Sylvar suivent son exemple.

Se retournant croyant que Katrak avait compris, Johanniel observa l'étranger de haut en bas, jaugeant celui-ci malgré sa petit taille. La prêtresse n'était pas très agée peut-être 12 ou 13 ans, elle portait une grand cape rouge foncé qui l'enveloppait au complet et qui lui descendait jusqu'aux pieds. Ses longs cheveux bruns attachés légèrement ornaient son visage marqué de fins traits verts qui représentaient sa race. Elle entama la conversation d'un ton sur.

- Je crois que mon ami a parfaitement raison de vous dire ce qu'il a au fond du coeur. Pourtant, je ne suis pas du genre craintive et je connais assé ce guerrier pour savoir qu'il peut s'emporter. Laissez moi douter des mots que vous croyez tant. Je connais Sylvar bien plus que vous ne pouvez l'imaginer et je crois être la mieux placer pour comprendre son pardon et ses sentances.

Si je vous laissais une dernière chance de vous reprendre qu'en feriez vous? C'est pas gentil de jouer avec la confiance des gens.

Johanniel attendit sagement la réponse. Ils étaient rendu à l'entré de la route de Karmik, où elle allait s'engager avec ses amis avant l'interuption franche de Morgan.

Invité

Face à cette dernière parole, Morgan balaya l’air de la main :

-Il est certain que vous connaissez mieux votre dieu que moi, je ne le pris pas, mais le mien lui ressemble dans ses convictions et dans ses buts, j’en suis certain…

Il toussa encore et sourit légèrement les yeux toujours vides :

-Le pardon est un parole très noble sur laquelle il faut absolument se fier et se résoudre dans les pires moments, cependant, si ont ne sais pas le donner, on ne peut pas savoir le recevoir…

Son regard se fit pénétrant… puis il reprit sa teinte vide…

-Votre pardon, si toute fois vous me l’accepter, sera accepter avec respect mais non sans joie et j’en prendrai le plus grand soin…

Il sourit puis ajouta

-Une autre question quant à mes intentions ou sur un autre sujet plus ou moins secret me représentant?...

Il balaya le groupe de regard les laissant lui demander ce qu’ils voulaient, mais le plus drôle dans l’histoire, se serait probablement le fait que ces informations là ne leurs serviraient jamais a rien…

Saphyra observa la scène avec méfiance. Elle laissa son mari agir puis écouta bien tout ce que ce narzuléen dit. La jeune femme détestait ce comportement...une genre de girouette...Après tout ce qui s'était passé, elle avait du mal à faire confiance aux gens qu'elle ne connaissait pas, surtout pour ceux qui priaient un dieu du mal...Elle s'approcha de Morgan jusqu'à être à moins d'un mètre de lui. Elle était plus grande que la jeune fée mais était quand même d'une taille moyenne. Elle s'adressa à lui avec un ton qui se voulait le plus neutre possible et ses yeux fixaient les siens.

Peut-être avez-vous pris la défense d'un homme fautif sans vous en rendre compte, c'est possible. Néanmoins, je vois mal comment je pourrais vous faire confiance, surtout lorsqu'il s'agit de mon enfant et surtout après que vous avez eu l'air d'avoir apprécié de savoir que j'avais souffert énormément...lorsque j'ai montré ma cicatrice. Dites-moi une bonne raison pourquoi je devrais vous croire et peut-être que je changerai mon avis sur vous. Mais j,en doute...surtout après votre réaction.

Elle se tenait droite, ses cheveux roux-bruns en arrière de la tête et sa peau paressant encore plus pâle qu'à l'habitude. Saphyra continuait de fixer Morgan, en attendant une réponse.

Katrak regarda Joanniel, mais ne comprit pas ce qu‘elle avait dit. la figure crispée, les poingts serrés, un sourire sadique au visege, Katrak fut prit d‘une crise de rire, qui n‘avait rien de joyeux... une folie s‘emparait de lui... il n‘y avait pas grand chose sur terre qui pouvait vraiment arreter son irrépressible envie de tuer... la derniere fois, sa famille complète y avait passer... s‘approchant de Morgan encore plus, presque nez a nez, toujour riant de facon quasi-démoniaque, il lui dit, prit entre deux fou rire
JE TE RECOMMANDE DE PARTIR.... AVANT QUE MA PATIENCE SOIT R´EDUITE A NÉANT...
les yeux grand ouvert, et toujour riant, il attendait la réponse, mais était prit de tic de plus en plus fort...

Saphyra ne fut pas contente de voir que son mari réagissait un peu trop. Morgan,même s'il elle ne l'aimait pas, ne leur avait rien fait, pour le moment. Elle s,approcha de son mari et lui prit le bras doucement. Sa voix se voulait douce mais son regard était un peu sévère.

Katrak, calme-toi s'il te plait. Je t'ai déjà dit de faire attention à tes actes parfois trop exagérés.

La jeune femme tenait toujours son bras mais hésitait à s'approcher un peu plus, voyant qu'il n'était pas dans son état normal.

Ternès se mit entre Katrak et Morgan pour empecher Katrak de faire une grosse betise:
Katrak il nen vaut pas la peine et je crois qu'il ne bougera pas d'ici

puis a Morgan

Je crois que je en serais pas capable de le retenir plus longtemps alors grouiller vous le cul

regardant sa femme dans les yeux, il se souvint pourquoi il avait changé, jusqua ne plus etre la personne maléfique quil avait été... prenant son bras, mais les yeux toujour furieux, il s'excusa, profondément a son épouse...puis, il se tourna vers Ternes, ainsi que morgan, et dit tout simplement:
laisse, mon ami... en sadressant a ternes je vais men sortir...je ne suis tout simplement pas capable de supporter les hypocrytes...

puis a Morgan
sil te plait, va... tu ne nous a pas encore prouve que on povait te faire confiance...

Johanniel reculla d'un pas laissant volontier sa place à Saphyra et Ternès. La prêtresse se retourna vers Morgan, sachant très bien ce qu'elle fesait, elle lui dit doucement pendant que les autres essayaient de calmer Katrak:

- Viens avec moi. C'est pas avec eux que tu veux avoir à faire, alors viens donc avec moi.

Puis, elle fit quelque pas pour que le groupe se disperce et la fée se dirigea vers la plaine. Rien de moins compliquer, elle savait déjà que Morgan la suivrait. Elle lança plutôt d'un ton un peu plus joyeux pour ses compagnons dont elle connaissaient déjà la réponse à ses actes:

- Allez à l'auberge vous réchauffer. La nuit va tomber et je n'aurai pas le temps de faire ce que je voulais de tout façon. Je n'ai pas peur de ce jeune insolant, j'en ai vu d'autre.

Pour Saphyra et Katrak, je ne veux pas perdre de temps et j'ai besoin d'un escice de votre passé à tous les deux. Je crois que demain matin à la première lueur du jour j'irai vous chercher à l'auberge moi-même.

Finalement, la prêtresse attendit que le narzuléen la rejoigne avant de partir sur la plaine.

Invité

Morgan ne bougea même pas le petit doigt lorsque Katrak fit un début de crise, il restait sérieux son regard vide, mais lorsque son visage s’approcha tu sien, ses trait furent troublé et parurent légèrement cruels… mais rapidement il se reprit retrouvant son calme bien aimé… Morgan n’eu pas la moindre attention envers Tèrnes, mais un moment, vit que lui et Katrak se ressemblait sur un point, ils n’arrivaient que difficilement a gérer leurs colère… même si Morgan, lui, arrivait a paraitre constamment calme jusqu’au dernier instant… lorsque la jeune fée s’avança et lui dit exactement se qu’il voulait entendre il fit fi des autres, ne leur accordant même pas un regard, puis s’en fut avec celle-ci, souriant légèrement suite aux paroles qui suivirent, le concernant… Le fait qu’une jeune femme de tout au plus 15ans le traite d’insolant, lui qui était beaucoup plus vieux qu’elle le faisait bien rire, même si rire lui était devenu presque impossible avec le temps… sauf lorsqu’il s’agissait de rire sadique, mais sa, tout le monde finirait par le savoir…

Partant rapidement de peur que les autres ne l'arrêtent, Johanniel avança au travers de la plaine jusqu'au lac où elle se permit de ralentir, loin des autres.

(je vais continuer dans un autre post.)

Revenue sur son point de départ, la fée s'assit sur le bord du ruisseau. La neige abondait et rendait à la scène une touche de froideur. Cette neige rallentissait beaucoup Johanniel et malgré tout son bon vouloir cela lui fesait peur.

Attendant paciement le jour, elle resta très prêt de la chapelle Sylvaroise en tout temps. C'était pour elle l'endroit le plus sur quand même.

Saphyra, qui était revenue de sa petite promenade toute seule, vit que Johanniel revenait de son entretien avec Morgan. La jeune femme avait son manteau en fourrure et son capuchon était recouvert d'une fine couche de neige fraîche. Ses joues étaient roses à cause du froid et elle avait l'air fatiguée mais elle faisait tout pour que cela ne paraisse pas trop. saphyra s'approcha de Johanniel et dit d'une voix douce:

Maintenant que vous avez fini, voulez-vous toujours aller vous promener avec nous? parce que moi, j'ai quelque chose à discuter avec vous. Et j'imagine que c'est facile pour vous de deviner de quoi je parle.

Elle affichait un petit sourire, amis ses yeux étaient remplis de ce que de nombreux habitants avaient perdu depuis un an, de l'espoir.

Se tournant lentement vers son amie, Johanniel fut rassurée par ses paroles. La jeune fée lui offrit un doux sourire qui se voulait tout aussi amicale que les paroles de son amie. Fesant une place sur la roche qui était déjà déblayée pour Saphyra, la prêtresse sortit son cahier et son crayon.

- Je dois vous avouer que si nous tradons trop pour ramasser les informations que je recherche il est certain que Sylvar ne trouvera rien en vous pour répondre à mon appel. Assisez-vous avec moi, nous serons en paix ici pour parler... j'espère.

Vous souvenez-vous des questions que je vous ai posé?

Saphyra sourit puis s'assit aux côtés de la jeune prêtresse. la roche était froide mais avec son manteau, elle ne le sentait presque pas. Elle se remémora quelques instants auparavent.

Euh...oui vaguement, mais il faudrait me les poser encore une fois. Mais si vous voulez posez des questions convcernant katrak, adressez-vous à lui, ce sera mieux.

Elle se perdit dans la contemplation de l'hiver. Tout était blanc et silencieux, exempté le vent parfois. Les arbres semblaient morts mais elle savait que cela n'était qu'en apparence...

J'aimerais savoir ce qu'il faudrait faire...ce dont on a besoin aussi.

Elle semblait se parler à elle-même plus qu'à Johanniel.

La fée frissona un peu. L'hiver était une saison difficile pour les gens, Johanniel ne fesait pas exeption.

- Il nous faut concrètement une raison pour que Sylvar vous aide et aussi un échange pour que l'équilibre que celui-ci essaye de créer ne soit pas rompu. C'est la que la tâche ce corce...

Saphyra se raidit. Son visage se fit plus sérieux, comme si elle venait de se rendre compte d'une vérité qui pourrait ne pas être très bonne. Elle n'osa pas affronter le regard de Johaniel et continua de fixer les bois.

Un échange...dans ce cas-ci, je vois mal ce qui pourrait être échanger contre une vie à part une autre vie...

Elle se demandait ce qu'il faudrait faire exactement...Elle réfléchissait très vite, imaginant mille et une choses.

Katrak savanca lentement vers les deux femmes ( ou presques) en entendant dire, par sa femme, que npous ne pouvions echanger qu'une vie contre une autre il sourit lentement, et dit:
Non. Sylvar n'est pas ainsi. je ne crois pas quil aimerait que lon sacrifie quelqu'un. notre dieu est un bon dieu, capable d'aimer, mais de maniere plus puissante que nous, petits hommes, créé par les dieux... il ne fait pas qu'aimer ses priants, il aiment toutes les créatures de la terre, bonne ou mauvaises, également, car l'égalité est un de ses dogmes. son coeur est puissant, et j'ai grandement confiance en lui. il est grand, mais en même temps, petits, assez petit pour entrer en nos âmes.

jai confiance en notre dieu Johanniel, plus qu'en moi même. je ne crois pas avoir besoin de sacrifier quoi que ce soit pour lui, seulement lui prouvez notre amour pour lui, et surtout lui prouver notre amour en regardant son épouse pour notre enfant.