Une pause près de l'eau

Merel venait de sortir de l'endroit où le conseil avait eu lieu. Il était perplexe et ça pouvait se voir dans son visage. Comme il l'avait promis, il allait parler de tout avec Cybèle. Alors qu'il se dirigeait vers la chapelle Sylvaroise, s'attendant à ce que Cybèle y soit, mais il la vit près de l'eau. Il décida donc d'aller la voir là.

Cybèle relaxait calmement au bord du lac. Elle voulait profiter pleinement des derniers jours qu'il restait de beau temps avant que Sylvar recouvre la pleine de son manteau blanc.

-Bonjour Merel, dit la prêtresse en apercevant le guerrier, comment fut ce conseil? Il a été long!

Merel se força à lui sourire. Il aurait bien aimé lui sourire d'un sourire franc, mais il était préoccupé.

- ''Et il n'est pas fini, on est en pause pour un cours moment, et pour la raison précise qu'Artémisia sait que je sais qui a le livre et qu'elle veut que je lui amène maintenant au conseil sinon elle me fera enfermer en prison... Elle l'a lu dans mes pensées... Je suis désolé, j'ignorais qu'elle savait faire ça, personne ne m'a informé de cela !''

Il tourna son regard vers l'eau, puis à nouveau sur Cybèle.

- ''Soit, je lui emmène le livre, ce que je n'approuve pas vraiment... Ou soit, je serai mis en prison... À moins que l'on réussisse à trouver un autre moyen...''

Johanniel n'était pas loin non plus dans la plaine... elle avait écouté la conversaton et décida de s'en mèler... tranquillement elle s,approcha des sylvarois voulant fort bien les aider.

- Le conseil ne devrait pas se permettre d'ordonner ainsi... et encore moins au Sylvarois! Je doute vraiment que Arthémisia sache ce que ce livre vaut pour nous. J'aimerais vraiment parler à ce conseil. Je crois pas que ta faute soit si grave qu'elle mérite emprisonnement... Et encore que tu n'as rien commis.

Il faut surement simplement mettre les choses au claire... Je sais déjà que ma mère a de grand pouvoir de perçuasion, mais je crois quand même que tout pourrait bien se terminer...

Johanniel semblait positive bien que la situation aurait pu présager beaucoup plus. La prêtresse n'avait pas d'idée claire derrière la tête mais simplement un souvenir de la république...

Aux mots de Merel, Cybèle se figea. Elle était heureuse d'avoir ces deux là avec elle.

-Jamais plus je ne me séparai du livre. Il représente beaucoup de savoir et de pouvoirs très dangeureux s'il tombe entre de mauvaises mains. J'ai peur de ce qu'Arthémisia pourrait faire avec. Je trouve çela injustifié qu'elle te menace de prison. Si jamais il y a un problème, j'irai la voir pour lui parler.

Merel n'avait pas remarqué que Johanniel était assez proche pour entendre ce qu'il disait. Il fit alors attention de bien regarder autour pour que personne d'autre n'entende ce qu'il disait.

- ''Je trouve ça moi aussi très louche qu'elle me menace d'emprisonnement... Surtout considérant qu'elle sait que je suis avec toi, Johanniel...''

Il se tourna vers Cybèle et la regarda droit dans les yeux.

- ''Je crois que Johanniel serait la mieux placée pour aller lui parler... On ne peut pas se permettre de faire de faux pas, il nous faut garder le livre en notre possession... En la tienne.''

Puis, il se tourna vers Johanniel.

- ''Tu peux me parler un peu de Cadrius ? Je le trouvais étrangement gentil et courtois lors du conseil, chose dont je n'avais aucune idée en le voyant dans le journal de Xul'thris...''

- Cadrius?!?

Johanniel était simplement très surprise d'entendre se nom... Elle regarda un instant Merrel avant de répondre à ses questions. Elle fit bien attention à ses paroles tout en parlant. Elle decendit de sa tête le chapeau qu'elle portait et parla tout en le pointant.

- Ceci lui appartient... Mon oncle, le frère de ma mère... devrait être mort. Je ne le connais pas beaucoup après avoir perdu la mémoire mais il n'a jamais été du genre très serviable... disons qu'il joue en nécromancie et qu'il était un belle exemple de ceux qui manipule les corps... Il avait toujours une tête d'enterrement avec moi..

Regardant Merrel comme si elle doutait qu'il n'ait pas simplement halluciné, la prêtresse regarda aussi Cybèle comme pour avoir confirmation.

Cybèle, qui ne conaissaient pas vraiment l'histoire de Cadrius, seulement ce que Katrak lui avait rencontré, était aussi dans le vague que Johanniel. Elle en profita pour s'adresser aux deux Sylvarois.

-Je ne sais pas qui est Cadrius, sauf ce que Katrak m'en a dis. Pour ce qui es du livre, je vous remercies beaucoup pour votre aide, mais je crois que ce serait mieux si vous en saviez le moins possible sur sa position exacte. moins vous en savez, plus vous êtes en sécurité. Je ne veux pas qu'un choix personnel aille une impact sur la meute. Je sais que tu as dit a Arthémisia que c'est moi qui l'avait, Merel, mais c'est faux, il se trouve qu'il y a une réseau de gens en qui je fais confiance. Je peux amplement me protéger contre les sorts d'Arthémisia, j'en suis sure.

Elle regarda Merel, espérant qu'il ne soit pas en colère

Merel était visiblement étonné d'entendre que Cadrius était supposé être mort, puis il sembla soudain comprendre.

- ''Ah !! C'est donc pour cela !! Je me demandais pourquoi cet homme voulait vraiment que l'on voit de nous même qu'il n'était pas un mort-vivant... Il semblait parfaitement vivant. Peut-être a-t-il été ramené à la vie ?''

Il se tourna vers Cybèle.

- ''En fait... Je ne lui ai pas dit que tu l'avais, car tout ce qu'elle a lu dans mes pensées, c'est que je savais qui l'avait, car j'ai fait bien attention de faire le vide sur toi en entrant là, question d'avoir l'air réaliste dans mon rôle de personne n'y sachant rien... Mais... Tu ne l'as plus ? Hé bien... Je suppose que tu as raison et que c'est mieux ainsi, mais j'espère que tu l'as tendu à quelqu'un d'une énorme confiance...''

Merel trouvait douteux que Cybèle l'aie confié à quelqu'un alors qu'elle affirmait ne plus jamais vouloir s'en débarasser.

* Serait-ce du bluff ? *

Cybèle regarda Merel attentivement. Elle savait qu'elle lui avait affirmer le contraire, mais les effets de ce livre étaient très dangereux. La prêtresse ne voulait pas mettre les Sylvarois en danger pour cela.

- Je l'ai confier a une personne digne de confiance. Je ne vous dirai pas son nom pour les questions d'évidence même, mais faites moi confiance, le livre est en sécurité.

Puis elle s'approcha de Merel et lui glissa tout bas dans l'oreille:

-Ne m'en veux pas...

Merel, faisant toujours attention qu'il n'y aie pas d'oreille indiscrète, lui sourit pour lui montrer qu'elle ne lui en voulait pas.

- ''Très bien, c'est encore mieux comme ça, car la seule personne qui sait où il est, c'est toi, et les seules personnes qui savent qui le sait, c'est nous !''

Merel regarda vers le fort un bref instant.

- ''Je vais devoir y aller... Je dois choisir un Sylvarois qui serait la garde visible, et qui s'établirait de façon permanente sur la terre Sylvaroise... J'ai conclu que ça ne dérangerait pas à Kyo de s'occuper de cette tâche, il en sera même ravis. Au début, elle nous a aussi rappelé nos droits et devoirs. Nous devons avoir quelqu'un d'assigné pour miner, et puisque Brico pouvait déja le faire, j'ai décidé de le choisir pour cette formalité.''

Il regarda brièvement Johanniel, puis replongea son regard dans les yeux de Cybèle.

- ''Bon, hé bien... Si jamais ils arrivent à la conclusion de m'emprisonner, je compte sur vous pour appuyer mon opposition... J'ai confiance en certaines personnes, comme par exemple Elisabeth... Et bien sûr, j'ai confiance en chaque Sylvarois. Si jamais vous me voyez me résigner à aller en prison, sachez que je n'ai pas l'intention d'y rester, alors je compterai sur vous à l'extérieur pour m'aider à en sortir.''

À ces mots, Merel se tourna tout autant vers Cybèle que vers Johanniel. Il savait Johanniel pleine de ressources, et il savait aussi que Cybèle l'aiderait. Telle était leur promesse. Merel prit une inspiration, puis commença à se diriger vers le fort.

(hrp) C'est pas grave Ternès Wink

.(hrp)

Cybèle suivit Merel quelque pas, puis le prit doucement par le bras pour qu'il arrête de marcher. Une fois en face du guerrier, elle sonda son visage, puis dit doucement pour que Johanniel n'entende pas trop:

-Merel, je veux que tu sache que je préférais redonner ce livre à Xul'tris lui même plutôt que de te voir moisir en prison à cause de moi. Si jamais il arrive quelque chose, j'irai remuer ciel et terre pour que justice se fasse. Je ne comprends pas pourquoi Arthémisia agit comme elle le fait, mais je l'ai toujours considéré comme une amie jusqu'à la mort de Desthaross. Même si c'est une vampire elle n'as pas un fond mauvais. Elle voulait être chancelière pour rétablir l'ordre, et maintenant elle se sert de son pouvoir pour son propre intérêt. Je te promets Merel que je ferais tout ce que je peux pour que la meute des Sylvarois soit à nouveau réuni comme avant, même si cela signifie faire la paix avec mon frère.

Cybèle arrêta de parler, fit un sourire a Merel puis fouilla un peu dans son sac avant d'en sortir un petit sifflet. Elle le tendit au guerrier.

- Tiens, prends en soin, c'est un ami qui me l'as donner, mais il te sera plus utile car j'en ai un autre. Si jamais il y a quelque chose de grave, sifle deux fois, si tu es en danger mais qu'il faut que je me cache, siffle un fois, et si c'est juste pour m'avertir de fuire, siffle trois fois, ça te va? je ferait de même avec le mien, d'accord?

La prêtresse attendit sa réponse, voulant être sure qu'il avait bien comprit. Elle avait l'impression que ce petit code allait leurs être utiles pendant les prochains jours.

Merel se retourna aussitôt que Cybèle le prit par le bras. Il aurait presque aimé qu'elle lui supplie de rester, mais en même temps, il se devait d'y retourner. Merel n'avait pas peur de ce qu'il allait lui arriver si le pire advenait, car il savait qu'il y avait des gens pour s'occuper de lui en cas de problème. Cybèle... Emmy... Johanniel... Kyo... Tom Farkus... Elisabeth... Et d'autres encore... Merel sourit à la prêtresse.

- ''Si le pire advenait, vous trouveriez bien le moyen de m'en sortir sans redonner le journal.''

Il ne souleva aucun commentaire sur Artémisia, car il ne savait plus quoi penser d'elle. Tous les Sylvarois l'avaient haut dans leur estime, pourtant, Merel ne l'avait pas vu faire beaucoup de bien, mis à part sauver Johanniel lors de la dernière lune. Il prit le sifflet qu'elle lui tendit et parla, lui aussi, pour pas que Johanniel entende cette partie. Ce devait être leur code à tous les deux uniquement.

- ''C'est une très bonne idée... J'aime ce code.''

Il la regarda et la prit par le bras pour la rassurer.

- ''Ne t'en fais pas, tout va bien aller, Sylvar me protège et vous de même.''

Cybèle appréciait le contact qu'elle avait avec Merel, mais savait qu'elle devait le laisser repartir vers ses obligations. Elle regarda à l'entour et vit que Johanniel les regardaient toujours, alors elle se fit bref.

-J'ai confiance absolu sur notre dieu, mais la vie est parsemée d'embuches dont personne n'est a l'abri.

La prêtresse fit un léger sourire au guerrier. Elle aurais voulu le serrer dans ses bras, mais elle ne le ferait certainement pas devant un auditoire, alors elle prit la main de Merel et la serra doucement avant de la lâcher.

-Méfies toi, même les cœurs les plus pures peuvent être contaminer par la soif de pouvoir.

Elle lui fit un sourire indiquant qu'elle savait qu'il allait pouvoir éviter les pièges de la vie.

Merel n'était pas intimidé par la présence de Johanniel. Elle avait beau être sage et leur guide spirituel, elle demeurait une fée de 12 ans. Il appréciait le contacte de la main de Cybèle, mais ils se lâchèrent la main en même temps. Merel reprit son ton enjoué habituel.

- ''Hé bien ! Il me suffit donc d'éviter les embûches ! En courant, en sautant, peu importe... J'ai évité un épouvantail de Xul'thris, je peux bien éviter une embûche !''

Il lui sourit, puis commença à se diriger vers le fort. Il regarda par dessus son épaule.

- ''À bientôt, vous deux !''

Puis il partit.

Cybèle regarda Merel partir, puis se tourna vers Johanniel.

-Je ne sais pas ce que tu penses, mais en parlant avec Katrak, il a rit lorsque je lui ai dit que les Sylvarois fesaient partis de la république. Il dit que la politique n'est pas pour nous, et il a surement raison. J'aimerais tellement pouvoir juste me consacrer à la nature, mais jamais je ne renierai les importantes tâches qui mon été confié par le destin.

Puis, prenant son soufle, elle regarda la jeune prêtresse et lui fit un sourire.

-Je voudrais savoir comment tu vas. À ce que Merel m'as dit, on dirait que tu t'ai rétabli depuis l'avant dernière lune...

Johanniel un peu en arrière écouta discrètement. Pensive elle avait des souvenir plein la tête et beaucoup de sommeil en moins. Passant une main dans son visage, elle répondit à mi-voix.

- Je crois que la république ne sera jamais aussi fort que ce que nous espérons... Pour ce qui est de moi-même... Sylvar pense beaucoup à moi. Je ne regrette en rien sa présence autour de chacun de pas, je souhaite simplement qu'avec l'automne et l'hiver il puisse m'apporter un plus grand repos.

La fée regarda Cybèle un demi sourir sur les lèvres.

Un homme arriva juste au moment Johanniel commença à parlé il n'a plus entendre que quelque mots.

- Une république?! ai-je bien entendu? en s'approchant d'eux.

- Je ne craint que nous ne soyons pas encore assez fort pour n'en créer une, de mon point de vu et jusqu'ici j'ai observé beaucoup de cas étranges qu'ils vont surement faire en sorte qu'un république serra impossible à faire, sauf si la grâce des dieux est avec nous.

Les yeux vide de l'homme se fixèrent sur le lac cherchant désespérément un signe quelconque.

Cybèle renvoya à la prêtresse son sourire. Une pensée lui traversa l'esprit alors elle dit aux deux autres:

-Le problème c'est que personne n'est à l'abri de la soif que pouvoir qui corrompt le cœur et aveugle les yeux.

puis elle se tourna vers le nouveau venu:

-Je suis ravie de vous revoir parmi nous. Planifiez-vous restez encore quelque peu?

Cybèle avait pleins de questions qui lui brûlaient les lèvres car elle voulait exactement tout savoir sur ce qui c'était produit durant son absence.

Il tourna son regard vers Cybèle et lui répondit:

- Bien entendu! Sauf si j'ai quelque chose d'autre à faire... mais pour le moment, je n'ai rien d'autre à faire.

Johanniel salua le nouveau venu de la tête. Elle écouta sans parler lachant un baillement. Se frottant les yeux elle se rapela de ses propres buts et de son propre horaire.

- Pour ma part, je vais vous laisser. Je serai absente quelques temps... juste pour dire que je ne serai pas là. Je dois quitter Emlok... j'espère que vous ne ferez pas trop de bêtise comme la dernière fois.

Cybèle fut surprise de l'annonce de la fée, mais elle fit un sourire à sa déclaration.

-Ma chère Johanniel, sache que je n'étais pas là lors de ton absence. Prends soin de toi, et tâche de te reposer un peu malgré ton voyage, tu semble fatigué. Avec un peu de chance, j'aurai de bonnes nouvelles lorsque tu reviendra.

Cybèle prit la prêtresse part l'épaule, effectua une légère pression puis la relâcha. Elle se tourna par la suite vers Yuri.

-C'est bien que vous restez, je vais avoir besoin du plus de Sylvarois possible pour ce qui se trame.

On pouvait voir Merel revenir au loin, visiblement furieux. Il se dirigea vers Cybèle et ne lui laissait même pas le temps de demander ce qui n'allait pas. Il ne fit pas attention à l'homme qu'il n'avait croisé que très rarement.

- ''Ils sont tous furieux contre moi, même Elisabeth je crois.''

Il frappa au sol de son épée.

- ''Je ne veux de mal à personne, bon sang ! J'ai fait ce qui semblait être bon ! Qu'est-ce que je leur ai fait ? Tout ce que je fais, c'est représenter les Sylvarois. Je SAVAIS que je me mettrais les pieds dans les plats en postulant comme représentant Sylvarois au conseil, mais je ne le croyais pas tant que ça !''

Merel essaya de se contenir un peu. Il laissa tomber son épée dans le sable, puis son bouclier aussi.

- ''Tout ce que je voulais en venant ici, c'était revoir Emmy... Je n'ai jamais voulu décevoir tous ces gens... Je... Je croyais... Je croyais faire ce qu'il fallait...''

Il essaya de contenir sa rage, puisqu'il était en présence de Cybèle, mais il ne le pouvait.

- ''Ils me détestent tous... J'aurais presque préféré être emprisonné...''

Cybèle était très surprise de voir Merel aussi en colère. Elle sursauta lorsqu'il planta son épée dans le sol, mais elle tenta de se contenir et de ne pas afficher sa peur. Elle se convianqua que c'était toujours Merel et qu'il était seulement très contrarié, alors elle l'écouta attentivement. Lorsqu'il eut fini de parler, la prêtresse attira le guerrier à l'abri des oreilles indiscrètes, en prenant soin de garder son bouclier et son épée près d'eux. Elle le fit s'assoir, et se mit à côté de lui, mettant on bras sur les épaules de Merel. Elle le regarda doucement avec une certaine affection dans le regard en lui laissant le temps de reprendre son souffle puis elle dit:

-Merel, raconte moi tout ce qui c'est passé.

Merel ne broncha pas lorsqu'elle l'assied et s'assied juste à côté de lui.

- ''Désolé, ça me purge c'est tout... Je suis arrivé, j'ai dit que je ne l'avais pas et que je ne savais pas qui l'avait, comme ça les manipulateurs d'esprits ne pourraient pas essayer de me manipuler, Artémisia s'est sentie visée alors elle s'est frustrée contre moi et elle a rabaissé sans arrêt les Sylvarois puis elle est sortie sans me laisser m'expliquer. J'ai essayé de défendre les Sylvarois aux yeux des autres et de leur assurer que tout ce que je voulais c'était le bien d'Emlok... Elisabeth est sortie fâchée et, croyant que j'y étais pour quelque chose, je suis sorti à mon tour. Ils étaient tous et chacun contre moi, Saphyra et Morgan voulaient aller chercher de force le journal aux Sylvarois. C'est Elisabeth qui m'a surprise...''

Merel respira un bon coup pour se calmer.