Un espoir revit

Esos ouvra les yeux. La fatigue dominait son corp coucher dans l'herbe du primtemps. Que faisait-il ici? Cette question demeura sans réponse. Il se leva et regarda autour de lui. Un lac et une plaine dominait l'endroit. Bien qu,il ne savait pas où il était , il savait cependant très bien quoi faire. Il s'assit et attendit un passant.

Ronnyn et Tancrède, qui passaient par la, virent quelqu'un assit dans l'herbe qui avait l'air asser désorienté. Il s'approchèrent et lui demandèrent si tout allait bien.

-Bonjour monsieur, vous n'avez pas l'air bien, est ce que ça va ?

L'homme le regarda mais ne semblait pas vouloir répondre

Tancrède insista alors la conversation pour inciter l`homme a parler.Lui proposant de se lever,et lui tendre la main.

Voulez-vous un coup de main monsieur ?

Tancrède se retourna vers son frère puis attendit quil parle.

L'homme regarda les nouveau venu. Il les laissa parler et se leva sans ouvrir la bouche. De son corps émanait la confiance et la puissance. On sentait qu'il pouvait réussir tout ce qu'il voulait. Dans sa voix calme et placide, il prit la parole.

J'ai trois question pour vous. Primo, où suis-je? Deuxio qui êtes vous et tersio que faite vous ici?

Ronnyn, qui avait d'abord vérifier la santée mentale et physique de l'homme, en avait oublié les bonnes manières.

Désoler, j'en ai oublier les bonnes manières, mon nom est Ronnyn et mon collègue s'appèle Tancrède. Vous ête au royaume d'Emlok et puisqu'a ce que je vois vous venez tout juste d'arriver, je vous souhaite la bienvenue.
Pour ce qui est de ce que nous fesons, nous n'étions qu'en train de nous promener.Et tant qu'a être dans les présentations, pourrier vous nous dire votre nom ?

Ronnyn attendit alors sa réponse

Mon nom? Cela fait longtemps que je l'ai oublier. Mais pour le moment apeller moi Esos.

Esos sorti son épé qui commençait à être un peux lourde et la planta dans le sol. Sa grandeur indiquait clairement une épée à deux mains. Il regarda Tancrède et attendit que celui-ci dise quelque chose.

Tancrède prit se mouvement pour un duel il aimait bien les duel,les deux hommes se relevèrent pour s`affronter puis en quelque echange de coups Tancrède etais desarmé.

WoW! nous avons là quelqun qui sait très bien manier une arme Quand dis-tu Ronnyn?

Ronnyn avait regardé attentivement le duel. Il eut un petit sourir et dit :

- J'aime bien ton style et en effet, tu est vraiment pas mal a l'épée et j'aimerais bien faire un petit duel avec toi.

Ils commencèrent. Après quelques moments, ils avaient l'air de force égale jusqu'a ce qu'Esos prenne légèrement le dessus ce qui fut asser pour gagner

- Tu manie effectivement très bien l'épée. Jai rencontré quelqu'un qui veut peut être ouvrir une école de combat. Je pourrais éventuellement te le présenter. Il s'apelle Longpré et il recherche des combattants.

Esos regarda ses deux compère. Il avait la même attitude de tout à l'heure.

Le combat à toujours été ma vie. Le jour ou j'arrêterais de combattre je souhaite que l'on me tue. Mais vous ne vous débrouiller pas mal vous aussi.

Esos leur tandis amicalement la main et leur demanda de l'ammener à des personnes qui pourrait l'aider à se diriger dans son perfectionnement d'arme ou vers de glorieuse bataille.

Ronnyn lui donna une bonne poigne de main et lui dit :

- Comme je te disait, j'aimerais te présenter Longpré mais il faudrait dabord le trouver. Aller, allons a l'auberge, nous pourront nous reposer. Je t'offre a boire.

Les trois hommes se dirigèrent alors vers l'auberge et burent une bonne bière ensembles

Esos bu la bière avec plaisir. Il regarda autour de lui pour enregistrer le plus de visage, détail et nom possible.

Dire qu'il était ici par instinct. Il était servi. Il ne savait rien de l'endroit, du monde qui l'habitait et des coutumes de ceux-ci, ce qui le mit mal à l'aise. Il discutat avec ses deux hôtes de tout et de rien en espérent que l'un deux désside d'aller en quelque part d,autre pour trouver se certain Lonpré.

Non loin de là, Élisabeth était assise sur une bûche de bois où elle contemplait le retour du printemps et lisait tranquillement son livre de prêtrise. Bien qu'elle entendait une conversation non loin de là, elle se permit d'attendre encore un peu avant d'entrer dans leur conversation, de peur de les déranger. De temps en temps, elle jettait un bref regard à l'attroupement sans vraiment y porter attention.

Esos remarqua la jeune femme qui semblait les dévisager lui et ses compagnons. Sans quitter sa place, il invitat l'étrangère à se joindre à la discution d'un geste aimable.

Voyant que celle-ci ne s'intéressait nullement à eux, il reprit la conversation avec ses hotes. Après plusieurs minutes de débats sur le meilleur moyen d'inciter un ennemi à se rendre, Esos sortie de l'auberge et commença à marcher sans but précis.

Il aimait bien l'air du printemps, pour lui c'était le réveil d'un espoir. Un espoir que les gens d'ici semblait avoir perdu. D'un espoir inpossible à trouver. Cela le rendis nostalgique. Une idée lui traversa l'esprit. Ralier le plus de monde sous une nouvelle banière: la sienne. Esos pensa que ainsi le monde saurait mieux se défendre et s'entraider dans le besoin. Plus, de désepoir, plus de tord, mais sourtout l'espoir de faire ce que le monde veux.Pour réalisé son rève, Esos allait devoir prouver ses talents de combattant à tous les sujets de ce royaume. Il ne refuserait aucun défis aucune quête et rallierait tout le monde à sa cause.

À cette idée, Esos partit à rire et commença à se promener en restant près de l,auberge, le seul endroit qu'il connaisait sur cette terre.

Alors que la jeune femme allait se lever pour aller lui parler, elle se rendit compte qu'il était déjà en chemin vers quelque part. Elle referma rapidement son livre et prit ses jambes à son coup. Elle intercepta alors l'homme en bondissant devant lui et prit parole :

- Bonjouuur! Il me semble ne jamais vous avoir vu sur les terres d'Emlok! Qui êtes-vous?

Elle afficha un sourire et attendit patiemment la réponse de celui-ci qui, de toute manière, ne pouvait pas avancer davantage sachant que celle-ci lui bloquait le chemin.

Les pensé d'Esos fut intéronpue par la nouvelle arrivante.

- Bonjouuur! Il me semble ne jamais vous avoir vu sur les terres d'Emlok! Qui êtes-vous?

-Appeller moi Esos. Et ce qui est d'être nouveau, et bien c'est la première fois que je vien sur cette terre que vous apeller Emlok. Et puis-je connaitre votre nom?

Esos reconnu la jeune femme qui avait remarquer à l'auberge. Comme s'était la première fois qu'il venait en ses terre dévaster, Il était mieux de se faire le moins d'ennemi possible.

Longpré marchait en direction de l'auberge lorsqu'il croisa les deux personnes qui avaient entamé une petite discussion. Il salua à voix haute la prêtresse et fit un signe de tête en direction du nouveau venu, puis, il continua sa marche vers l'auberge sans trop de presse.

Tancrede sortait de l'auberge puis croisa Longpré

Bonjours! seriez vous celui quon apelle longpré?

Longpré s'arrêta et reconnu rapidement Tancrède.

-Ouais, c'est moi, et toi, ton apprentissage auprès de Damien, ça avance?

Élisabeth salua Longpré avec un grand sourire. Il y avait longtemps qu'il ne s'étaient pas parlé...

Elle se retourna vers Esos , puis, lui répondit :

- Voilà donc pourquoi vous ne m'étiez guère familier! Je me nomme Élisabeth, prêtresse tempussienne dans le coeur et dans l'âme. Je suis enchantée de faire votre connaissance , Esos. Excusez ma curiosité mais, dites-moi, qu'est ce qui vous amène en ces terres? Serais-ce la bonne boisson de l'auberge qui attire des clients de tous les villages entourant Emlok?

Elle continuait de sourire , les deux mains dans le dos

-Non ce qui m'amène ici est plutot mon instinct. D,ailleur je ne vois pas exactement pourquoi il m'a enmener ici,tout semble si calme. Quoique souvent après cette période c'est la guerre.

Je risque de m'installé ici quelques temps, l'espoir semble avoir abandonner les gens. Tous se méfis des nouveau venu, tous les dévisage, et rare ceux qui parle avec eux, comme vous. Je veux redonner confience à ses gens, mais pour cela j'ai besoin de me faire connaitre et j'ai aussi besoin d'aide.

D'après les discution que j'ai pus entendre dans l'auberge, il semble avoir beaucoup de clan. Et bien un autre va s'ajouter, celui de l'espoir. Tous prirons le dieux de leurs choix, feront se qu'il voudront, mais en temps troubler se ralierons à une même cause, L'ESPOIR.

Car sans espoir, le passé n'ésiste plus, le présent n'est que grain de poussière et le futur sort du vocabulaire des gens.

Excuser moi je dois vous ennuyer avec tant de propo. Une seule question, vous n'êtes pas oubliger d'y répondre, quand penser vous qui suiver les dôgmes donner par Tempus lui même?

Après avoir donné l'image de son futur, Esos espérait que la jeune femme devait lui le comprendrerait et lui prêterait assitance dans cette quête qui pouvais sembler perdu d'avance. Pour essayer de masquer ses émotion, il s'apuya sur un arbre rammassa une branche à terre (il ne voulai pas se mettre à dos les Sylvarois) et et attendit la réponse

Élisabeth baissa le regard un moment puis, releva la tête vers le ciel et afficha un sourire. Elle lui répondit doucement :

- Vous savez, cher Esos, qu'il n'y a pas que l'espoir qui règne en Emlok. Les gens d'ici sont beaucoup plus forts que vous ne le croyez. Ce qui nous pousse à continuer, ce n'est pas le fait que l'on espère d'avoir un futur en paix, mais bien d'AVOIR un futur en paix. Les raisons sont diverses pour chaque personne par rapport à cette cause. C'est à eux et eux seule de trouver ce qui les mène à vouloir se battre pour garder ces terres. Comme bien des gens, je ne lâcherai pas la cause car j'ai moi aussi des buts auquel je dois me rendre. Il n'est pas le temps de se la couler douce. Les sylvarois, tout autant que les tempussiens, les narzulléens et même les slanns, sont nerveux sur bien des choses. Parfois, on en vient à croire que la cause est perdu d'avance. La seule différence avec d'autres c'est que le peuple d'Emlok persévère et ce jusqu'à la fin. Ils n'abandonneront jamais leurs convictions, leurs buts, leurs amis, leurs demeures. C'est ce qui les encourage. Voilà ce qui unit tout le monde ici même : C'est cette envie de vouloir mettre un terme à tous ces problèmes liés à des forces ténébreuses. Retenez ceci, sage Esos : Il y a des héros parmi nous qui ignorent qu'ils en sont. Voilà ce que je pense.

[i] Elle regarda droit dans les yeux de l'homme, poussé à bloc dans sa philosophie de vie. Elle se remémorait de bons souvenirs et se faisait remarquer que le monde avait bien changé depuis. Autant dans l'environnement que dans les pensées du peuple d'Emlok.

L'homme sembla refléchir pendant un instant et essaya de se remémorer son passé. Peine perdu, il se souvenait absolument de rien. N'ayant rien d'autre à faire il décida de continuer la discussion philosophique qui prenait un bon sens, d'aprè lui.

-Hmm Hmm! Je sais que je ne suis pas le plus fort en ici, mais j'ai une incroyable faculter que bien des gens n'ont pas, je me fait des allier aussi facilement que je marche. Si beaucoup de monde ralli ma cause, le nombre fera notre puissance. Bon asser parler de moi, vous quel son vos but que vous serer prête à mourrir pour?

Longpré, las d'attendre la réponse de Tancrède, lui dit simplement:

-Si un jour tu veux apprendre à te battre convenablement, tu sais qui aller voir...

Longpré ayant entendu quelque brides de conversation entre Élizabeth et le nouvel arrivant s'approcha de ceux-ci dans le but d'y participer.

-Rallier les gens ici, c'est pas suffisant, les ennemis ici, c'est pas n'importe qui, il faut être rusé pour arrivé à ses fins...

Esos remarqua le nouvel arrivant avec curiosité. Qui étais-ce? Il répondit avec une aisance remarquable.

peut-être,mais c'est avec les rêves les plus fou que l'on arrive à tout. Comment croyer vous que les royaume se sont créé? Il devait y avoir un homme ou une femme atteind de la même folie que moi pour créé les empire. Je vais vous poser la même question que je vien de poser à cette Dame, parmis vos but, espoir et rèves pour lesquels serer vous prêt à mourrir?