Noble Entrée

La jeune tempussienne, en train de savourer une bonne boisson et confortablement assise sur sa chaise, salue avec joie le jeune homme. Lui affichant un sourire, celle-ci prend alors parole :

- Bonjour cher Monsieur! Comment allez-vous en cette belle journée de printemps? N'est-ce pas une belle journée pour savourer tout ce que cet auberge offre!

Elle lève son verre en sa direction et prend une petite gorgée de sa consommation.

Le jeune homme sourit d'emblé lorsqu'Elizabeth lui donna le bonjour:

Merci à vous, je vais fort bien et pour ce qui est de ce qu'offre cette auberge vous pourrais vous en parlez lorsque j'aurais reçu mes toasts!
Sinon, si vous vous sentez bavarde je vous invite à vous joindre à ma table, j'ai passé l'hiver avec mon frère comme unique compagnie et je dois avouer qu'une nouvelle présence féminine de plus est le bienvenue.

Luc tira une chaise à l'intention de la prêtresse toujours souriant.

La jeune prêtresse prit son verre et son livre et alla s'asseoir sur la chaise que l'homme lui propsait. Elle le remercia et commença une brève conversation :

- Vous avez passé l'hiver avec votre frère? N'avez-vous pas vu quelques amis durant tout ce temps? J'espère que ceux qui vous sont cher vous ont au moins envoyé quelques lettres car, un hiver seul, c'est bien triste. Dites moi, qu'avez-vous fait mis à part le fait que vous avez été avec votre frère? Avez-vous travaillé ?

Elisabeth cherchait à connaître cet homme qui était un grand mystère pour elle. Elle lui souria tout en prenant quelques gorgées de sa boisson. Il y avait bien longtemps qu'un nouveau venu n'était pas arrivé à l'auberge et elle avait bien hâte d'avoir une réponse.

Le nouveau eu un sourire poli et écouta attentivement tout ce qu'avait à dire la jeunne femme pour finnalement lui répondre:

Eh bien vous serez sans doutes déçu; j'ai bel et bien passé l'hiver seul en compagnie de mon frère...j'ai bel et bien reçu une lettre de ma tante qui nous souhaitait un bon anniversaire mais sans plus...

Sinon outre passer mes journées à jouer aux échec avec mon frère..ce qui m'enrage un peu chaque fois, puisqu'il est bien meilleurs que moi... j'ai commencé à visiter votre région mais seulement très brièvement...et puisque vous m'y faites penser; je devrais me mettre à la recherche d'un boulot puisqu'il ne me reste plus que de quoi manger pour le mois à venir...Et mes moyens sont quelques peu réduit...

Tout en parlant le jeune homme ne cessais de sourire et de regarder si l'aubergiste lui apporterait finnalement ses toasts...mais cela semblait peine perdu si bien qu'il ramena sont attention sur la jeunne femme et lui demanda simplement:

C'est bon ce que vous buvez?

Élisabeth écouta attentivement les paroles de l'homme qui se tenait devant elle. Celle-ci souriait depuis le début de la conversation et s'interessait à ce que cet homme lui parlait. Elle prit un ton doux et lui répondit :

- Me voilà désolé d'apprendre que cet hiver vous aie été si monotone. Vous savez, je connais de très grands joueurs d'échecs en ces terres. Peut-être que je pourrais demander à l'un d'entre eux de vous apprendre quelques techniques afin de pouvoir vaincre votre frère à ce jeu , avec votre permission , bien sûr.

Elle prit une brève pose et continua la conversation, ne lâchant pas l'homme des yeux

-Il me ferait plaisir de vous aider dans vos démarches pour vous trouver un emploi, si vous le voulez bien. Entretemps, je peux toujours vous fournir quelque chose à manger, le temps que vous trouviez un peu d'argent pour vous mettre quelque chose sous la dent.

Elle était sincère et souhaitait pouvoir aider l'homme du mieux qu'elle pouvait.

- Si ce n'était pas bon, je n'en buverais pas! Vous en désirez?

Son sourire était toujours aussi présent.

Luc écoutait attentivement lorsqu'Elizabeth lui parla des employeurs et continua de sourire lui aussi:

Eh bien si vous m'affirmez que votre breuvage est bon, je ne peux que vous croire vous semblez savoir de quoi vous parlez, je m'en commande un verre dès maintenant!..Aux diable mes toasts...

Et s'il est vrai que vous connaissez quelques employeurs je serais ravie que vous me les présentiez, dans l'état finnacier ou je me retrouverais bientôt je crois que je n'ai pas le choix d'accepter toutes les propositions qu'on m'offre, même si celles-ci sont hors des mes habituellles compétences...

Et pour ce qui est des échecs je décline poliment votre offre; perdre contre mon frère passe parcequ'il gagne depuis notre plus tendre enfance, mais perdre devant un pur inconnu je deviendrai rouge de honte, voyez-vous là d'ou je viens les échec sont tenu en grande estime, les gens voieint dans les bon joueurs d'échec d'excellent stratège militaire ou politique, et par Tempus je ne voudrais pas que quiqu'ontes se fassent de fausses idées sur ma personne.

Puis le jeune homme se leva et eu un petit sourire gèné:

Excusez moi je suis terriblement malpolis vous êtes ici à vouloir m'aider et vous ne savez même pas qui je suis, je suis désolé: Je me nomme Luc et je suis enchanté d'être en votre compagnie!

La jeune femme souria malgré le fait que Luc avait refusé de l'aide pour les échecs. D'un autre côté, cela la réjouissait de voir qu'il était si près de son frère et comprenait la raison de son refus. Elle prit alors parole

- Élisabeth Tempussius, enchantée de faire votre connaissance.

Elle se leva, s'inclina légèrement, tenant sa robe dans chaque main pour faire la révérance, puis reprit place dans sa chaise.

- Je veillerai à vous trouver du travail. Seulement, vous devrez patienter, le temps que mes chers collègues reviennent en ces lieux. Je suis aussi contente de voir que vous priez Tempus. Les priants se font rare , ces temps-ci...


Elle repensa soudainement à tous les bons moments passés avec ses frères d'armes ainsi qu'avec son entourage. Elle secoua légèrement la tête et souria timidement à Luc.

- S'il vous plat, Madame l'aubergiste, un autre verre pour le jeune homme!

Luc plus qu'enchanté que la jeune femme accepte ses excuses, eu un hochement de tête lorsqu'elle évoqua son nom puis écouta attentivement ce qu'elle disait pour finir de ton songeur tout en se ''réassoiyant'':

Mademoiselle Tempussius, je suis plus qu'heureux et enchanté de faire votre connaissances; vous qui m'êtes si sympathique, deplus s'aviez-vous que par tout hasard ma propre grand-mère portait se nom...Peut-être somme-nous parents quelques part?

Continuant toujours sourire aux lèvres:

Pour ce qui est du travail je peux durer encore un mois tout aux moin alors rien ne presse, pendans se temps j'ai tout loisir de renconter les habitants du coin et s'ils sont tous aussi sympathyques que vous j'en serais fort heureux! Si vous voulez bien me présenter quelques-uns de vos amis tempussiens ou pas...je ne m'en porterais sans doutes que mieux!

le jeune homme ce voulait sympathique et fesait tout pour qu'Elizabeth se sente bien et à l'aise; autant dans son ton de voix que dans ses sourires.

Élisabeth fut surprises d'entendre les paroles de Luc

- Votre grand-mère portait ce nom? par Tempus! C'est tout un hasard! J'en suis bouche-bée!

Celle-ci reprit son sourire habituelle avant de baisser un peu la tête. Les tempussiens....ses frères.... elle ne les avait pas revu depuis l'arrivée du printemps.

- à vrai dire, je ne les ai pas revu depuis le dernier hiver. J'ignore où ils sont, ils ne m'ont pas contacté depuis... Je suis certaine qu'ils reviendront bientôt! Dès qu'ils auront mis les pieds en Emlok, je vais me faire un plaisir de vous les présenter!

Élisabeth faisait déjà confiance à Luc. Cet homme était de bonne foi et celle-ci le savait déja.

Voyant qu'Elizabeth ne semblait pas aux meilleurs de sa forme lorsqu'elle évoquait les autres Tempussiens; Luc changea de sujet pour éviter à la jeune femme quelques malaises, il se voulait le plus sympathique toujours:

À vrai dire à mon tour si vous le permettez; pour l'instant votre seule compagnie me convient parfaitement...Vous êtes plus que sympathique et j'apprécie grandement...Je dois vous avouer que je ne savais pas trop à quoi m'attendre des habitants du coin et vous êtes mon premier contact et cela me remonte la moral et me laisse espérer le mieux; si tous sont aussi sympathique que vous bien entendu...

Sinon si vous, vous en sentez aise peut-être pourriez vous me parler de votre beau royaume? Ce que j'en sais me provient de quelques courtes lettres que m'envoyait mon père il y a quelques années...Vous savez à Pram, le royaume d'Emlok est encore considéré comme une colonie barbare...

Élisabeth devint timide aux paroles de Luc et excquisa un sourire qu'on peut décrire comme charmeur.

- Je crois qu'il en est de même pour vous, Cher Monsieur Kaherdin. Ajoutez à cela votre sourire qui ferait craquer n'importe quel femme et votre courtoisie admirable!

De plus, il me fera plaisir de vous faire rencontrer les gens d'Emlok. Ils sont sympathiques, débrouillards et seront toujours prêt à vous aider ! Nous pouvons vraiment compter sur eux.

Il y a bien des choses qui se sont passés ici, autant bonnes que mauvaises. Par contre, ma définition d'Emlok reste positive. Jamais au grand jamais le peuple ne lèguera leurs terre. Il y a ici leur famille, leur amis, bref, tout ce qu'ils aiment et protègent. C'est pourquoi nous nous battons très souvent pour éviter que ces terres deviennent corrompus. Nous sommes des gens fort d'esprit qui ne baissent jamais les bras. Même si bien des choses se trament en Emlok, cela reste quand même un endroit paisible malgré les problèmes que nous avons avec certaines situations.

J'aimerais bien que vous me parliez de Pram. Pardonnez ma curiosité, mais je ne peux pas me faire d'idée sur cet endroit, sachant que je ne la connais pas énormément. Je vous écoute, si c'est possible, bien sûr, que vous puissiez m'en parler.

Élisabeth prit quelques gorgées dans son verre et se mit à l'aise sur sa chaise alors qu'elle attendait impatiemment que la boisson du jeune homme arrive.

(HJ vue que j'était dans le nord et que je n'avais pas accès à un ordinateur; nous dirons simplement que Luc avait du quitter la présence d'Elizabeth pour affaire Urgente à régler; il c'était excusé milles fois puis était finnalement partit...)

Par ce beau et chaud matin Luc entra de nouveau dans l'auberge; Il portait son manteau sous le bras vue la chaleur et l'on pouvais remarquer qu'il ne portait aucune arme à la ceinture, Il regarda tout autour de lui, les gens dans l'auberge espérant y trouver Elizabeth...Il demanda quand même à voix haute tout en restant debout dans l'entrée:

-Je suis désolé de déranger cette assemblée; mais esceque quelqu'un pourrait m'indiquer si dame Elizabeth à été vue dans les parrages?

Un jeune homme, beau, élégant, distingué et à la noble allure entra à son tour dans l'auberge, la démarche pompeuse et le sourire aux lèvres.

Personnage: Yan Kaherdin

Ventredieu !

Mon frère !

Voilà des semaines que je te cherche ! Bordellerie! Les routes pour se rendre jusqu'ici sont faites de terre ! Nous devrions commander le marbre des routes de Pram, sans quoi mon étalon va bien finir par perdre patte ! Par cent fois je me suis demandé comment Père a bien pu se résigner à vivre ici !

Comment vas-tu Luc ?

Luc souria de toutes dents à la vue de son frère, il répondit simplement avec une dose de sarcasse:

Et moi voila quelques semaines que je t'attend cher frère...Tu aurrais du tourner à droite avec moi au lieux de tourner à gauche...La montagne est bien plus difficile à traverser par le nord...

Il s'approcha de lui pour lui donner l'accolade et une bonne tappe bien viril sur l'épaule; puis lui dit:

Je vais bien merci mais je suis un peu fatigué, mais quoi qu'il en soi je suis heureux de te voire ici; as-tu fais une bonne route?