Sur les terres d'argent...

Cybèle revenait tout juste du royaume sous terre de Milo Vorix. Encore une fois, les esprits l’avaient peu à peu vidée de son énergie. Tout était si beau là bas, pourquoi seulement les fées mortes pouvaient en profité? La prêtresse aurait bien voulu que tous les sylvarois trouvent refuge dans cette endroit, mais le manque de ciel et de nature les rendraient tous malheureux.
Cybèle se rendit tranquillement dans la noirceur près de la chapelle démolit. Tous ceux qui l’aurait croisé aurait vu que Cybèle semblait préoccupée, presque triste.
Ne remarquant personne aux alentours, elle déposa sa rose éternelle sur la roche où qu’elle s’assoya, enleva la bague qu’elle portait autour du doigt pour la déposer à côté de la rose, sortit de l’encre et un bout de parchemin, et se mit à écrire, éclairée d’une torche.

Spoiler:

Cybèle, les yeux pleins d’eau, se mordit les lèvres pour ne pas éclater. Elle décida de commencer par relater ce qui c’était passer à Emlok durant l’absence du guerrier.

Spoiler:

Au fur et à mesure que Cybèle écrivait, elle se sentit un peu moins étouffé. Mais lorsqu’elle entama la deuxième partie de sa lettre, elle ne put empêcher les larmes de couler lentement sur ses joues. La prêtresse tenta de les essuyé pour ne pas qu’elles tachent le papier, mais quelques une dulièrent subtilement l’encre à quelques endroits.

Spoiler:

En roulant le parchemin, quelque chose se brisa en Cybèle. Elle ne le réalisa pas immédiatement, mais elle perdit en cette instant l’innocence de croire que l’amour, le vrai, existait vraiment. Elle s’essuya les yeux et, d’un cri déchirant la forêt, elle appela l’aigle qu’elle se plaisait d’appeler sien. Lorsqu’il arriva, elle lui donna un bout de viande frais. Cybèle lui expliqua où devait aller la lettre et lança une protection à l’oiseau pour qu’il puisse se rendre à bon port. Après lui avoir fournit un autre morceau de viande, l’oiseau s’envola et fut bientôt invisible dans la noirceur de la nuit. D’une voix étouffée, Cybèle dit :

-Sylvar, fait que tes vents soient favorables et qu’il guide cet aigle jusqu’au destinataire de la lettre. Trois de tes sylvarois resterons en sécurité, loin de cet endroit remplit de malheurs.

Invité

Cybèle regardait l'oiseau s'envoler et dans l'une de ses mains on glissa un parchemin, et malgré cela il n'y avait personne de visible en ce moment.
Le parchemin était roulé d'un joli ruban rouge et de la même écriture qu'elle pouvait reconnaître il lui était possible de lire malgré la noirceur:

Spoiler:

Cybèle roula le parchemin après l'avoir lu et le glissa dans sa bourse. Elle ramena la rose près d'elle et remit la bague à son doigt. Et puis, elle s'adressa à la noirceur, comme si son interlocuteur s'y trouvait.

-Milo..., Merci pour le poem, il es très joli. Comment avez-vous su que je suis né en mai? Il ne faut pas que vous vous fassiez du souci, il y avait seulement cette lettre qu'il fallait que j'écrive.

Puis d'un voix moins forte, elle ajouta.

-Je vous ai dit que j'ai de l'affection pour vous, mais maintenant, mon cœur es libre de vous aimer.

Lorsqu'elle s'adressa à l'udre, la prêtresse tenta de lui faire un léger sourire, malgré ses yeux rougit. Une douleur sourde martelait sa poitrine à tous les mots qu'elle prononçait, mais elle l'ignora.

» Milice des terres
» Le nouvel arrivant des terres du sud
» les terres de kazarng et les chronique d'akinos