Arrivée fort belliqueuse...

''Aaah! Père! Comme il me fait plaisir de vous retrouvez! Après la trahison de Skald, nous avons été fait prisonnier par ses maudits sbires, et ce maudit rénégat a tenter de nous faire plier a sa volonté...''Sa voix était guturale et puissante.

''Mais la nuit suivante, nous sommes parvenu a échapper a la vigilance de nos gardiens, en tuant les gardes qui rôdaient autour de notre tente. Nous nous sommes introduis dans le pavillon du traître; Il dormait, avec sa belle, innocent comme un jeune enfant. Je l'ai saigné comme un porc, évidé de son sang, pendant qu'Urgal martelait la dame de coup de chaise. Nous sommes parvenus a nous échapper, volant des chevaux et chevauchant a bride abbatue vers cette terre, suivant vos traces, Père.''

Le visage d'Almar s'obscurcit lorsqu'il entendu parler de Skaldn et de sa trahison.

"SKALD, mais comment a-t'il pu me trahir, ce chien, ce bâtard, s'il a put s'élever aussi haut c'est grâce à moi et maintenent, il a oser s'en prendre à mes fils...mais heureusement vous lui avez fait payer sa trahison comme je vous l'ai appris, fort brutalement! Mes chers fils, ma joie est grande, c'est jours de fête aujourd'hui! Aubergiste, server à boire pour ces 2 guerriers qui l'ont t'en mérité!

Sur ce, il donna quelques pièces à l'aubergiste et reconcentra son attention sur ces fils.

''Et...Cette terre? La Horde n'est plus...Père, possédez vous terres, fiefs ou forteresses en ces terres? Ou devrons nous en...aquérir?''

Un mince sourire se dessina sur le visage du barbare, alors qu'il jetta un regard rapide vers les gens présents.

''Vous savez de quoi je parle.''

Édouard qui était sur le toi avec Kendra s'excusa de devori la laisser un instant il descendit la tête vers le bas t regarda par la fenêtre arrière justre derrière Almar il les fixait en identifiant ceux qui aprlais fort un sourire apparut a son visage

Édouard : Bonjour a vous guerrier auriez-vous besoin que quelqu'un nettoies vos lamme pour qu'ellle brillent et impressionnent vos ennemies?? (édouard semblais très sympathique avec ca voit et joyeu)

Le guerrier sembla réticent quand l'homme lui proposa de nettoyer sa lame...

T'es qui, gueux?

Édouard descendit une main pour serrer celle du barbare : Édouard Delavigne le deuxième du nom héhé forgeron et conteur d'histoire d'aventure et vous? (toujours la tête a l'envers)

Rurik Feodoric Olavson, fils du Seigneur Alaric, mieux connu ici sous le nom d'Almar. Dans les lointaines landes du Nord, on m'apellait le Massacreur, le Fléau de Norsk.

L'homme serra avec puissance la main qui lui était tendue.

heureux de vous rencontrer mais je dsoi retourner en haut je discutait avec une dame di vous chercher un forgeron a bon prix je suis vouent dnas le environs bonne soiriée et peut-être bientot.....

*L'homme vêtue de blanc arriva au moment ou l'autre homme quitta la table...*

- Bienvenue à vous Rurik, Fils de Alric... J'ai entendu vos exploits plus réssament, vous me semblez être un fort redoutable guerrier vue votre posture imposante...

*Puis repris un souffle*

-Enfin bref, prenez repos si vous avez besoin...

Surpris par la dernière phrase de Luxis, Almar se mit à rire.

"Du repos!? Voyons, ces guerriers sont affamés et non épuisés...Aller, qu'on fasse cuire un bon poulet et qu'on apporte de l'hydromel!"

Aramil se leva et alla voir les 2 nouveaux venus il sembla à la fois surpris et interessé par cette discussion

Bienvenue sur cette contrée, je me nomme Aramil Elame, Ami de longue date de votre père... je suis aussi appellez seigneur par certains... j'ai entendu dire que vous recherchiez une terre où s'installer... je n'ai pas très bien entendu votre discussion mais, je possède une terre particulière que j'ai acquise avec les croyants de Sylvar. Je pense savoir que vous avez un penchant pour cette divinité... alors considérez ce territoire comme votre foyer...

Regarde les 2 individus les dévisagea et s'arrêta sur les peintures de guerres

Est-ce que cette peinture à une signification particulière ? En tout cas, si cest des peintures de guerre, vous venez sûrement d'en finir une (ou d'en commencer) puisque les peintures semblent fraîches... j'adore les récits de batailles...

*L'homme se leva et s'avanca vers les belliqueux guerriers du Nord*

Désolée d'intérompre votre réunion familiale mais puis-je me permettre une question? J'ai pu comprendre que vous veniez du Nord et que vous avez fait payer un traître, mais je me demande ce que vous avez l'intention d'accomplir à Emlok...est-ce pour..."acquérir" des terres? Ou bien pour préparer un plan d'extermination des "sbires"?

Édouard ré-apparut la tête en bas par la fenêtre

Éd : HÉ toi avec la fourche il ont mis une échelle c pour monter non? arrête de nous harponner je lui montre les constellation.... et en plsu tu endommage le toit de l'aubergiste ca va faire des fuite si y pleut... donner 2 coup pour me paler sinon je donne des cours d'étoile a une personne.... ou sinon venez c'est très intéressant... mais pas plus que 2 autres sinon je sais pas si ca va tenir...


(on put voir la tête remonter vers le haut.... en gromelant)

Vous verrez en temps et lieux, jeune homme...

Rurik lanca un regard froid a Aramil, alors qu'il désignait ses maquillages guerriers.

Vous aimez les histoires? Parfait...

Rurik leva la tête, et bomba le torse, et prit une voix plus douce.

Alors laissez moi vous racontez une histoire...

C'étais il y a maintenant cinq hivers de cela, dans les lointaines landes des pays nordiques...C'était par une nuit de tempête, que l'on apellait la Nuit de la Grande Chasse. Je m'en rapelle encore; Je ne voyais pas a cinq pieds devant moi, et le vent soufflait avec rage, un hurlement sombre et terrifiant qu'était le souffle du vent, glacial et mortel. Par ces nuits, autrefois, le grand Seigneur Harald FourureSombre, a la tête de ses fidèles cavaliers, écumaient les landes, et, plongé dans une transe de l'Autre Monde, tuaient tout ceux qui se tenaient sur leur route. Ils pillaient villages et forteresses, ne laissant que ruine...Mais après chaque massacre, ils laissaient un survivant, qui était destiné a propagé cette légende....Les survivants d'un terrible carnage, souvent les meilleurs guerriers.

Alors, comme je le disait, je marchais en ces froides contrées. J'avais de la neige jusqu'aux genous, et déséspérément, je tentais de protéger mon visage de ce froid glacial et mordant. J'avancais péniblement, et je sentais que les loups rôdaient autour, près a se jeter sur moi au premier signe de faiblesse...Mais c'est alors, quel ne fut pas mon bonheur, que j'appercut une lueur au loin, qui s'avéra bientôt être un petit village. Hâtant le pas, malgré la neige, j'y parvint assez rapidement, et j'y fut acceuilli chaleureusement. J'y bus des litres d'hydromel, car ma soif ne pouvait être étanchée. J'y mangai des miches et des miches, de ce bon pain que l'on m'offrait, et d'un oeil hagard, je lorgnaient les belles dames sous leurs lourdes fourures. Je m'entretenais, buvant une corne d'hydromel fort gouteux, avec le maître des lieux, le seigneur Rolf. Nous discutions de guerre, de chasses et de femmes. Je le complimentais sur la beauté des femmes de son village quand soudain, comme venu du tréfond des âges, un son clair et puissant résonna dans l'air, couvrant le son de la tempête qui faisait rage. Les rires et les festivités d'auberge cessèrent soudainement, alors que tout les visages se tournèrent vers le seigneur Rolf. Le vieil homme se leva, tremblant. La Nuit de la Grande Chasse...

Rurik prit une gorgée de l'hydromel qu'on lui servit, et poursuivit.

Ils étaient tous appeurés, et je le fut de même. Ils arrivaient...L'auberge fut plongée dans un profond silence...Mais toujours, le son du cor résonnait dans les plaines...Chevauchant la tempête, les cavaliers maudits d'Harald pénétrèrent dans le village, apportant une fin attroce a ceux qui restèrent sur leur chemin. A leur tête se tenait un homme, haut comme un ours, habillé de peaux, maquillés des antiques runes de batailles, chevauchant un destrier noir comme le coeur d'un Narzhull; Harald FourrureSombre, le Roi éternel, trépassé il y a de cela 500 ans. Il massacre, d'un seul horion de sa grande lame tachée d'un sang séculaire, dix hommes en armes, haut comme mon frère Urgal, sa lame tranchait comme un poignard tranche le beurre. Ce fut un véritable massacre; Je vis mon ôte, qui fut un fort habile guerrier, se faire décapité d'un seul revers d'épée par l'un des cavaliers. Ceux qui fuiyaient furent piétinés; Mais même seul, je fus bien décidé a demeurer sur place et a combattre les ténébreux cavaliers. J'en frappai un a la tête, de cette lame que je porte! Et que les Dieux m'en soient témoins; Ce coup était assez puissant pour décapiter n'importe lequel homme. Et pourtant, il se retourna, ignorant ma blessure, et m'enfonca sa lame profondément dans l'épaule. Prit d'une vive douleur, je tombai au sol. Je regardai autour de moi; Les rares survivants étaient pourchassés et massacré sur place par les cavaliers maudits. Et croyant mon heure arrivée, je vis leur seigneur sauté de son cheval, et s'avancez vers moi dans un grincement ténébreux. Longuement, il me regarda. Je l'ai fixé, moi aussi. Et j'y ai vu les tréfonds de l'enfer et de la mort...Car ses yeux étaient une porte ouverte vers des abysses inconnues de l'âme humaine. De sa voix tonnante, puissante comme l'éclair, il me parla en ses mots: '' Tu vivras. Et tu conteras l'histoire des Cavaliers du Roi Harald FourrureSombre. Va, maintenant, va.'' Et ils s'en furent, me laissant au milieu de ce village dévasté...

Au matin, la tempête avait cessé. Je me réveillé, marqué a jamais par cette aventure...Et c'est maintenant que je me tiens devant vous, et que je vous raconte cette histoire...

Le barbare finit sa corne d'hydromel d'un seul trait.

Baltazard regarda l'homme qui veniat de compter son histoire...

Mais est ce que cela est vrai???....

Si oui...vous etes le genre d'homme que jaime cotoyer pour aller a laventure ou me battre pour une noble cause...

Vous avez fait ce que tous guerrier aurai dur faire et non se sauver comme des laches... conté moi en plus sur ces hommes...

Puis attendit un réponse

Cette histoire est véridique, je le jure sur mon honneur.

Mais mon ami, que désirez-vous que je vous conte, exactement?

Baltazard regarda longuement l'homme puis lui dit d'un ton interreser

Tous se que vous connaiser parceque si un jour j'en rencontre un...jaimerai en savoir un peu avant de trionfer ou de périr...

On ne triomphe pas d'Harald et de ses cavaliers. On succombe, ou on obtient l'insigne honneur de propager sa légende...

Mais premièrement, payez moi une hydromel, et je vous conterai ce que vous voulez savoir.

Baltazard surprit regarda l'homme puit lui dit

Pour quel qu'un de nouveau dans le coin vous avec pas mal de cran de demander cela...je ne paye cela qu'aux gens que je connais bien...

Puis sur ses mots alla rejoindre le Caporal[/i]

Et bien, je puis dire que les gens sont bien peu acceuillant en ces terres, Père...

Rurik discuta encore longuement avec Alaric et Urgal.

*Cadrius entra dans l'auberge, un livre à la main. Il ne quitta sa lecture que quelques instants pour faire le tour de l'auberge de ses yeux. Il dévisagea les hommes couvert de fourrures quelques instants, et ne fit qu'un simple signe de tête pour le saluer*

J'ai pu entendre votre histoire avant d'entrer... Il y a une question qui trotte dans ma tête. Que pensez-vous de euh..qui était-ce déjà ? sombrefourrure ?

Qu'est-ce que j'en pense?

Rurik inspira longuement, avant de se reporter sur Cadrius.

Si il se tenait aujourd'hui devant moi, une nouvelle fois, je le saluerais comme l'on salut un Roi. Harald FourrureSombre fut un jour un grand guerrier...Oh oui, un grand guerrier, et un grand roi, en ces lointaines terres.

Autrefois, on le nommait Harald FourrureSombre, grand Roi de Kierev. Il vivait en une époque ou son royaume prospérait, ou ses vassaux lui furent fidèles et le respectèrent, car il fut le meilleur guerrier de son époque. Nous vivions la, il y a 500 ans de cela, une grande époque. Mais jaloux de la puissance d'Harald, Yrgraad prince de Profokiev monta un grand complot contre son suzerain...et père. Un complot vil et démoniaque...Un horrible complot. Yrgraad et ses laquais s'introduire dans la demeure du Roi, par une nuit sans étoile. De la manière la plus vile, ils massacrèrent la famille royale, pour ensuite s'attaquer au Roi lui-même. Destiné a mourrir, Harald se battit avec toute la rage du désespoir, et dans un ultime souffle, il prononca cette malédiction; ''Yrgraad, au septième jour de la septième année, je reviendrai de par les morts, et tu connaîtra mon ultime courroux.''

Et au septième jour de la septième année, une grande cavalcade descendit des montagnes, et a sa tête, un sombre seigneur qui ne fut nul autre que Harald. Ils descendirent, chevauchant le vent, leur cor de guerre résonnant dans les montagnes. Tous tremblèrent a leur approche; Ils ne laissèrent que ruine et désolation. Plus jamais on entendit parler d'Yrgraad le traître, plus jamais. Le Roi avait accomplie sa vengance, mais dans sa malédiction, il avait pactisé avec d'anciennes puissances...Il était maintenant le Roi Éternel, le Cavalier Damné a la tête de ses chevaliers d'outre-tombe, voué a la destruction et a la vengeance la plus complète. A chaque année, au septième jour après le nouvel an, il revient pour assouvir sa soif de mort et de massacre...Et a chaque année, il pille un nouveau village...Et on dit que jamais il ne s'arrêtera. Jamais.

*Près du comptoir, il se leva et, avec un air a semi endormi, il emmena 2 choppes de bon vin aux deux nouveaux arrivé en leur disant tout en nettoyant ses habits: *

Vous êtes ici en mes terres, vous etes les bienvenus sur toutes les terres des DeLaChoppe, ce qui constitue le tiers de toutes les terres de ce royaume! J'espère que vous aimerez ces vins de ma collection personnelle. Je suis ici le forgeron le plus copnnu et le noble le plus présent dans la politique. Le plus vieux de la région qui est dans l'auberge. Je me propose pour vous assister dans vos épopées pour vous vendre mes services. Je peut aussi vous faire visiter la région et toutes ses cachettes et endroits secrets. Je suis aussi artisan mais cela ne devrait vous aider en quoi que ce soit....

*Prit un sourire et retourna s'assoir en prenant un verre d'un exellent vin. Il le but avec distinction et le petit doigt levé *