Le premier des Vassaux

Invité

[code]Cadrius

Le mage, qui souriait, reprit une expression sérieuse

Vous êtes incapable de déterminer où vont vos intérêts, cher ami. C'est vous qui me décevez. D'ailleurs, je ne suis pas le seul que vous aurez déçu, la personne dont je vous ai parlé refuse de vous rencontrer, vous n'aurez pas son appui.

le mage fit un sourire en coin

Cependant, je suis capable d'imaginer quelle frustration cela peut vous procurer, pour cette raison je vous ai rapporté un objet qui saura contenter votre soif de pouvoir. Considérez cela comme étant un gage de ma bonne foi et de mon amitié.

Le mage sortit une dague de sa manche, qu'il lança à Morgan

Ceci est un objet magique d'une grande puissance. Je ne vous indique pas son utilité, vous pourrez le découvrir vous-même, mais je vous conseil de le garder pour vous. Il s'agit, n'en doutez point, d'un gage absolu de ma confiance en vous, et si j'apprends que vous tentez de l'utiliser contre moi, dans ce cas vous subirez le même sort que votre prédécesseur.

Le mage se rapprocha vers lui et lui murmura

Je ne vous demande rien, je vous donne, gardez souvenir de cela.

Puis, Cadrius se retourna vers Elerid

Elerid, nous sommes aux Dieux ce que les insectes sont aux hommes. Si demain Narzull empêche Irda d'influencer notre monde, les conséquences iront bien au delà d"une nuit éternelle ou la perte de vos pouvoirs.

Si nous sommes utiles aux Dieux, ils peuvent quand même se passer de nous, ils étaient là avant même que nous ayons été créé.

Le mage chuchotta à Elerid

Mais bien entre nous, je ne crois pas qu'il nous faille, à nous les mages, les implorer de répandre la magie, nous les servons en l'utilisant, et elles nous le rende en augmentant nos forces.

Invité

Dès les premières paroles de Cadrius, Morgan comprit que les choses n’allaient pas très bien pour lui. En fait, cela faisait un moment que les choses n’allaient pas très bien, mais si en plus l’aide qu’il avait demandé a Cadrius avait été repoussé par le mystérieux personnage qui devait supporter Morgan, alors celui-ci se retrouvais dans une posture a la fois délicate et dangereuse pour lui. Cependant, Cadrius avait dit : ‘’Vous êtes incapable de déterminer ou son vos intérêts’’ cette phrase l’intriguait au plus au point. Pourtant, Morgan n’avais qu’un seul intérêt, et touts ses actes le poussait dans la réalisation de cet intérêt. Peut-être Cadrius interprétait-il mal les actions de Morgan, et dans se cas, c’était un avantage pour Morgan. Pour le moment.
Alors, a la grande surprise de Morgan, le mage Juge lui envoya une dague, prônant que c’était un gage de bonne foi. Morgan attrapa la dague, au départ dédaigneusement, puis Cadrius lui exposa les choses d’un autre angle… très puissant, gardé pour Morgan. Le message était clair, et intrigué, Morgan regarda attentivement la dague.

-Un tel cadeau venant de vous me remplit de méfiance Cadrius. Cependant, je n’ai qu’une parole, et elle engage mon honneur. Je garderai se précieux présent pour moi et je ne l’utiliserais pas contre vous. Qu’y gagnerais-je de toute façon? Vous n’avez pas encore essayé de faire de moi un souvenir, et vous sembler faire grand cas de ma croyance.

Morgan sourit, mystérieusement, et astucieusement.

-Vous n’êtes pas encore mon ennemi Cadrius…

Alors Morgan eu un petit soupire.

-N’êtes vous donc venus que pour me remettre un objet précieux et pour me couvrir de votre déception? Je croyais que vous vous déplaciez habituellement pour des choses autrement plus importante que de vous soucié de la survie d’un homme comme moi. Auriez vous donc d’autres nouvelles a nous apprendre, Juge?

Elerid rit légèrement aux mots que cadirus lui avait chuchotés. Un fait qui pouvait sembler vrais, les mages étant réellement manipulé par leur propre branche de magie bien souvent.

-oui, certain dieux peuvent ce passé de nous, mais vous ne pouvez niez que d’autre sont rendus dépendant de leur serviteur. Observer sylvar, combien de fois récemment à t’Il demander à ses priant que de « sauver » le monde? Sans être insultant, il à lui même besoin de ses serviteurs contre letch présentement, sûr tout avec l’élue dans le camp de ce dernier.

Puis il décida de s’accota sur un arbre proche et regarda cadrius tentant de trouver le secret de sa résurrection.

-Je suis plus que curieux…dites-moi cadrius…comment êtes vous revenus d’entre les morts? De mes souvenirs, je vous aie vue être massacré par les gardes de Karandrass à la batail. Si je ne me trompe même, votre livre fut volé…mais, je me dit que si vous avez survécu, peut-être es-ce vous qui êtes retourner le prendre…je suis plus que curieux en ce qui concerne ces événement ma foi, quelque peu lointain.

Invité

Cadrius

À Morgan, le juge sourit

Vous êtes toujours remplaçable Morgan, mais vous me plaisez. Il est vrai que mon temps n'est pas à moi, mais jugez par vous-même, je prends le temps d'assister à ces conseils inutiles et d'endosser le titre de juge, cela est une bien plus grande perte de temps qu'un échange de mot.

Je n'avais non pas d'autres nouvelles de votre intérêt, mais je voulais vous demander si vous aimiez le vin ?

À Elerid

Vous vous trompez, Sylvar se distingue de ses serviteurs. Ses priants, ont oublié leur devoir principal: l'équilibre, le cercle de la vie. Ils ont abandonné sa vision pour adopter celle du Lys, ce faisant ils ont rompu la balance des forces. Sylvar sait que le monde n'a jamais été proche de sa fin, ce sont des illusions crées par ceux qui affirment interpréter les paroles des Dieux.

Quand à la façon dont je suis revenu d'entre les morts, vous voulez savoir comment, mais j'aurais cru que vous plus que tout autre auriez deviné...

Le mage chuchotta

Animateur Retraité Nombre de messages : 474 Date d'inscription : 11/02/2007

Horgh, confus, se remettait du surplus psychique qui l'avait envahi. Sa tête lui faisait atrocement mal mais il était capable de raisonner un peu mieux. Puis, l'âme de l'elfe noir s'empara aussitôt de son corps. Il sourit mesquinement fixant le vide et dit à lui-même.

-Je ne laisserai pas ses moins de rien pourrir...

Il s'approcha subtilement du groupe pour espionnez la conversation, l'arrivée de Cadrius ayant interessé l'esprit de l'elfe noir.

Philippe ne savait pas trop quoi faire. Il ne pouvait qu'écouter ces gens parlés de pleins de choses qu'il ne comprenait pas. Définitivement, ce territoire devenait de plus en plus étrange ! Un être revenu des morts ? Il semblait un peu horrifié, mais tout de même, il resta curieux sur l'importance de ces terres, qu'il avait sous-estimé. Devant ces gens qui semblaient discuter de chose qui semblait très importante, il ne pouvait que se taire et écouter. Il tenta alors d'assimiler le plus d'information sur cette nouvelle terre sur laquelle il vivrait.

Décidément, il devrait vraiment s'asseoir avec Morgan pour que celui-ci lui explique toute ces choses qui semble si importante, mais avec lesquelles il parle aisément. Un autre fois, sûrement, car il avait l'air très occupé. Il décida alors de s'adosser à un arbre, silencieusement, et d'écouter.

Invité

Morgan souriait encore faiblement. Elerid semblait avoir une idée très arrêté de Cadrius. Pour Morgan c’était un peu plus complexe. Il essayait de voir a travers les paroles de Cadrius, de trouver le sens de ses paroles. A quoi jouait le mage? Lorsque Cadrius lui témoigna son affection, Morgan fit une légère courbette en signe d’acceptation et de remerciement. Et il eu un grand sourire lorsque le mage parla des conseils :

-Le temps n’est perdus que si sont emploi est inutile, mage.

Morgan eu un léger éclat de rire, dans son cas, les conseils n’étaient pas vraiment une perte de temps, au contraire, pour le moment, c’était un avantage notable. Puis Cadrius lui demanda s’il aimait le vin. Morgan fronça les sourcils, songeant à une quelconque plaisanterie, il répondit tout de même :

-Je ne bois presque jamais. Cependant, lorsque cela m’arrive, je préfère en effet la consommation du vin a celui de la bière, qui selon moi, est la liqueur des bêtes et de la plèbe.

Un sourire triste et mélancolique sur les lèvres, témoignant d’un temps regretté. Morgan était tout de même fort intéresser par l’histoire de la résurrection de Cadrius, Elerid semblait pouvoir comprendre… Mais pas Morgan…

-Pardonner mon manque de connaissance sur le sujet, Cadrius, mais personnellement, cette résurrection dont parle Elerid m’intrigue au plus au point. Et je suis aussi peu a même de savoir comment vous auriez pu vous déjoué ainsi de la mort qu’Elerid lui, est a même de le comprendre… A moins qu’il ne s’agisse d’un autre charmant mystère qu’il me faudra moi-même percé?

Invité

Le mage observa pensivement Morgan pendant un long moment, suite à quoi il haussa les épaules

Bah, ce n'est pas comme si vous révéler cette information allait m'embêter outre-mesure.

Le mage tourna la tête pour s'assurer que personne autour ne pourrait surprendre la conversation. Heureusement pour pour Horgh, il n'arriva pas à l'apercevoir, ce qui lui permit d'entendre la conversation. Il fit signes aux personnes de s'approcher, puis il raconta les événements qui s'étaient produits.

Elerid écoutait attentivement depuis le début, sans lâcher de commentaire, comme il l’avait pensé, la conversation devenait intéressante. Libéré de ses ancien préjugé contre la nécromancie et la mort, elerid comprenais mieux ses principe sans pour autant vouloir y plonger.

-c’est là une histoire des plus intéressante et qui certes explique beaucoup de choses. Dont votre arriver presque mystique dans les locaux de la guilde pour vous chercher un apprenti.

Elerid prit un peu de temps pour penser à ses prochains mots.

-pour ma part, comme vous l’avez sûrement remarqué au nombre de fois que vous pouvez mentionner les illusions, mes recherches dans la magie m’ont poussé à m’éloigner de la branche ëternam. Depuis peu j’étudie dans l’irréel, le réel et le semi-réel que sont les illusions. Je crois avancer bien plus vite dans ce domaine, j’ai déjà rattraper plusieurs de nos collègue étant rester dans leurs sphère d’origine.

Puis un éclair passa dans la tête du jeune mage, de façon figuré, il eu une idée ou plutôt une question ce forma dans sa tête.

-Au fait Cadrius…malgré votre disparition, vous considéré-vous toujours comme un membre de la guilde? Désoler, si je ne suis plus au courants, mais vous savez comme moi comment la magie peu demander de l’isolement et encore plus la magie qui naît dans l’imagination de son utilisateur.

Invité

Morgan applaudit presque sarcastiquement face aux dernières paroles de Cadrius.

-Bravo, bravo! Quel esprit, mage, quel courage! Qui aurais pensé qu’un Nécromancien allait utiliser un cadavre pour se substitué, vraiment!...

Il soupira puis, plus sérieusement…

-Les assassins ne sont plus se qu’ils étaient.

Léger sourire. Morgan avait remarqué que Cadrius n’avait pas poursuivit le sujet du vin. À quoi était donc destinée cette question? Bah, maintenant que Cadrius avait oublié, il était inutile de le lui rappeler, il est des jeux qu’il vaut mieux ne jamais entreprendre. Puis vint le tour d’Elerid, qui semblait fort intéresser par tout cela. Honnêtement, Morgan se fichait éperdument de toutes ces histoires de mage, de semi réel et de guilde. Si la soif, le désir de se nourrir et la faim tenaillante ne lui déchirait pas les entrailles, il aurait surement baillé. Une soif qu’aucune boisson ne pouvait étancher, une faim qu’aucune nourriture de pouvait rassasier. Il mourrait. Lentement. Il avait tellement soif.
Morgan lança un léger regard vers le ciel, et vit qu’il commençait à s’assombrir. Il était obnubilé par la nuit. Qui réveillait encore ses cicatrices, son envie de nectar, son envie de… Vivre.
Morgan s’empoigna un peu la tête comme pour réprimer un cri de rage, puis se souvint qu’il était en compagnie de deux mage. Il toussota légèrement, puis fit mine de reporter son attention sur la conversation lente et fastidieuse que menait Elerid a Cadrius. Mais, son esprit était occupé ailleurs.

Invité

Le mage, tout en répondant, regarda avec un mélange d'amusement et de dédain l'homme qui peinait à se contrôller et qui, de toute évidence, ne comprenait pas les subtilités de ses questions.

À Élerid
Je ne comprends pas ce que vous voulez dire, en quoi est-ce que cette histoire vous permettrait de comprendre la raison pour laquelle j'ai fais l'offre à un initié de me prendre comme maître ?

À Morgan

Le courage est une notion utile aux guerriers, pas aux mages. Quant aux assassins, ils n'ont toujours été guidés non pas par l'intelligence, mais simplement par leur habileté.

Un bon conseil Morgan, ou bien vous choisissez un rôle de second plan, ou bien vous vous faites plus malin que votre ennemi et vous utilisez tous les moyens possibles pour éviter de sombrer. Je vais vous demander, bien que je connaisse déjà la réponse, laquelle de ces deux options aurait le plus de chance d'aider Narzull ?

Elerid rit légèrement, pour une fois que c’était cadirus qui ne comprenait pas! D’accord peut-être car il c’était mal expliquer.

-pour une très simple raison cadrius…car il est difficile de voir un mort prendre un élève, si vous auriez été mort, je doute que vous auriez voulut prendre apprentie et je déduis aussi que depuis ce sombre épisode, vous devez peut-être ressentir le besoin de transmettre votre savoir pour être sûr qu’Il ne soit pas perdus si jamais vous n’aviez pas vents d’assassin avants qu’Il ne vous aient.

Elerid dit ceci avec un petit sourire, il blaguait en partie, mais croyait tout de même assez en son hypothèse.

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Horgh, tourmenté par les esprits prenait autant plaisir qu'il avait honte d'espionner les personnages. Quelque fois, l'envie soudaine lui prenait de crier sa douleur mais il arrivait à se contrôller, vestige de la discipline des Gardes Blêmes. L'homme eu la soudaine impression que les esprits qui l'habitait avait sorti et lui parlait...

L'elfe noir regardait le Garde Blême au sol

-Pathétique vermine, va donc les exterminer. Ils ne font pas partie du plan, ils ne sont que des incapables...

Il se retourna pour voir la femme qui l'observait avec pitié.

-N'écoute pas cette erreur de la nature, méprend toi, cherche à guérir. Le mal te ronges à la racine...

Une image de lui-même lui apparu, encore Garde Blême, le torse bombé et fier.

-Cet incapable de Narzull a tord, tu as là des alliés et des ennemis, vas-y l'inquisition t'appelles...

Et finalement une silhouette sombre aux yeux brillants fit taire chacun des esprits l'entourant, d'une onde de choc spectrale. Chacune des âmes se soumettaient par l'imposance du dernier personnage.

-SILENCE! Vous êtes mes esclaves, je ferai de vous ce que je veux. Je n'ai pas intérêt en ces pucerons et tu vas commencer la quête pour laquelle je t'ai choisi...

Ce que Horgh ne réalisait pas c'est qu'il parlait seul mais par une mystérieuse malédiction sa voix changeait à chaque personnage. Définitivement, l'ancien Inquisiteur devenait de plus en plus dérangé et confus..

Invité

Morgan ne remarqua pas, d’abord, le regard moqueur de Cadrius. Il était encore quelque peut perdus, mais lorsqu’il entendit son nom, il releva la tête et affronta Cadrius du regard. Il offrit un petit sourire jaune et répondit lentement, pour ne pas faire trembler sa voie :

-Je m’en souviendrai Cadrius.

Et il s’en souviendrait, bien qu’en se moment, une petite voie disait a Morgan qu’il serait relayer au second rôle, qu’il le veuille ou non. Alors, Morgan tourna brusquement la tête d’un coté, écoutant silencieusement. Il avait cru entendre des voies. Après une seconde d’écoute, il balaya l’air de la main. Il avait du se tromper.
Alors un petit sourire se peignit sur les traits durs de Morgan. Il se tournait vers Elerid :

-Allons, Elerid. Ne me dites pas que vous poser toutes ses questions dans le but de devenir vous-même l’apprenti de Cadrius?...

Dit-il, moqueusement.

Elerid regarda morgan en haussant un sourcil, il manquait quelque peu de logique dans ses propos et ce comportait étrangement depuis le début…vraiment étrange.

-Non morgan, là n’est pas mou souhait…Je m’intéresse seulement à l’avenir de la magie en emlok. De plus pour vous rafraichir la mémoire, je vous rappellerais que je fus autrefois un ëterna, donc il est quelque peu inconcevable que je pousse mes études dans un domaine t’elle la nécromancie.

Elerid commençait à ce fatigué et décida de retourner sur sa grosse roche du début. Il avait bien entendu des bruits, mais ne s’en souciait guère. Il était perdus dans ses pensés et dans sa concentration pour savoir si morgan ou cadrius lui parlerais.

Invité

Le mage hocha de la tête à la réponse d'Elerid

Cette déduction me semble logiquement réfléchie.

Puis, le Cadrius, qui était aux aguets, entendit le cri de l'homme qui était caché à proximité

On nous espionne.

Invité

Encore quelque peut dans les vapes de la pensée, Morgan n’avait entendus que D’une oreille distraite se qu’avait dit Elerid et Cadrius. Cependant, aux derniers mots de celui-ci, Morgan redevins aussitôt aux aguets. Il se lava, dégaina puis lança une appellation dans la direction que désignait Cadrius et ou Morgan avait entendus un bruissement un peu plus tôt :

-Qui êtes-vous? Montrez-vous!

Morgan se tourna légèrement vers Elerid et lui dit :

-Serait-ce Horg qui revient pour terminer ce qu’il avait entrepris plus tôt? Si c’est le cas, c’est certain, Horg est devenus complètement fou…

Animateur Retraité Nombre de messages : 474 Date d'inscription : 11/02/2007

Horgh restait sur place, inconscient de la réalité, seul les âmes qui l'habitait lui apparaissait logique. Lorsqu'on énonça son nom, il eu la vision trouble un instant. Tout d'un coup il se voyait dans l'antre d'un vampire. Lorsqu'il regarda en direction du groupe, il ne voyait pas les 4 individus tel qu'il l'était. Au lieu, il voyait des zombies qui s'apprêtaient à l'attaquer. L'on reconnaissait la voix habituelle de Horgh :

-Vermine, votre règne fétide cessera lorsque je planterai ma lance dans ce qu'il vous reste de coeur.

N'ayant pratiquement pas prononcé de mots depuis le début de cette conversation et ne sachant pas trop quel attitude prendre contre cet homme, il posa sa main sur sa dévoué masse d'armes, puis pria Narzul pour que cet homme subisse le mal qu'il pourrait faire subir à lui ou Morgan, seuls croyants Narzul dans ce petit coin. Il guetta les actions de, si on peut les appelé comme cela, alliés, pour savoir comment agir. Il ne prononça pas plus de mots qu'avant et ne faisait que se tenir prêt.

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