À l'auberge de Geoffroy McMarlof

Merel arriva à l'auberge de Geoffroy McMarlof au pas de course, mais entra plus calmement, reprenant graduellement son souffle. Il se présenta au comptoir et s'adressa à la personne au comptoir.

- ''Bonjour ! J'aimerais avoir un verre de vin s'il-vous-plaît !''

Le peu célèbre Geoffroy McMarloff, vif comme l'éclair- ou du moins, la belette- hoche, sourit, tourne, verse, retourne, tend, sourit, tend. Bref, en moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire, Geoffroy McMarloff, avait servi un verre de vin froid -chose rare en Emlok- et attendait souriant, la monnaie de son vin. Vêtu de son grand manteau de fourure, son chapeau élégant à la tête, il semblait plus être un bourgeois indolent qu'un aubergiste.

-''Bonjour de même, et voilà notre meilleur vin, froid mais chaleureux !''

P.-s Compte tenu de la quantité d'alcool fourni -le verre, déjà très grand au départ- rempli au ras bord, et le faible coût -quasi ridicule- de celui-ci, acheter son alcool chez Geoffroy revient très avantageux. Être sous la protection d'une guilde, c'est avantageux ! Ahaha !

Merel, content de voir que cet homme semblait franchement sociable, décida de dialoguer un peu avec lui.

* Bah... Je n'aurai qu'à courir un peu plus vite en revenant... *

Merel hocha lui aussi la tête et lui sourit.

- ''Merci beaucoup, monsieur McMarloff !''

Merel lui tendit la pépite d'argent et laissa sa main sur le comptoir, attendant son restant.

- ''Alors... Dîtes-moi, monsieur McMarloff... Qu'offririez-vous à jolie jeune femme Sylvaroise très peu matérialiste ? J'avais pensé à une belle fleur, mais si vous auriez des suggestions...''

- ''Peu... Matérialiste ? C'est un piège ? On expérimente mes multiples connaisances ? Ahlalala....''

Finisant en un soupir, exagérant ses mimiques d'interrogation -moue, claques, regards, soupir, regards, soupir, raclement, rongement etc.- pour finalement le pointer du doigt à quelques reprises, cherchant -bien mal- ses mots se tapant la poitrine du même geste.

-'' Le coeur ! Oui oui ! Le coeur, ça doit venir du coeur ! Peu importe le présent -c'est le moment d'économiser sur le présent- c'est la présentation et le moment qui compte !''

Souriant, en écartant les bras comme on présente deux plats, visiblement fier et ravi de sa réponse. D'ailleurs, soit-dit en passant, la monnaie avait été rendu durant l'échange, mais nul n'avait remarqué quand....

P.-s Il est à noter que les formidables -quasi-immense- économies sur l'alcool ne sont pas que sur le célébrissisme vin de McMarloff, mais aussi sur toutes sortes d'autre spiritueux; nommez votre poison !

Merel ne put s'empêcher de sourire à le voir aller. Cet homme semblait vraiment s'y connaître.

- ''Mais bon sang, vous êtes une incroyable source monsieur McMarloff !! Vous m'épatez !! Merci beaucoup !!''

Merel allait partir quand une idée lui vient à l'esprit.

- ''Hmmm... Vous, vous être un excellent roturier, non ? Ça se voit juste en vous regardant que vous êtes très compétent ! Votre alcool étant à un prix tellement savoureux, je me demandais si vous n'auriez pas un peu de mithril à bas prix ?''

Merel le regarda, le regard remplis d'espoir.

-'' À bas prix ? À bas prix ? Au plus bas prix possible -légalement et tout en respectant les travailleurs ! Ça oui... !''

Il était, évidemment, faussement offusqué, largement souriant, largement charmeur et largement compétent -dans la vente d'alcool sublime et le service prompt et chaleureux. Puis, En gardant la pose les bras écarté, son sourire dégrada, peu à peu, come cire au soleil. Sourire, en coin, neutre, attristé, maussade.

- ''Sauf que... malgré ma présence, la Patate hésitera à envoyer le mithril en le royaumes aux milles mauvaises réputations... Ah lalalala, ce sera ardu, mais je vous procurerai le mithril avant la saison des semences coûte que coûte -surtout que dans ce cas, c'est vous qui payez...-.''

Merel sourit lorsque le maître roturier affirma bien avoir du mithril. Son sourire ne s'effaça pas lorsque Geoffroy parla, ayant toujours espoir, mais lorsque Geoffroy parla de payer, le sourire de Merel s'effaça.

- ''Hé bien, pour l'instant, je n'ai pas beaucoup d'argent... Les moyens de se faire de l'argent sont très rares en Emlok, pour l'instant, je ne repose que sur les services de mineur de ma cousine pour me faire un peu d'argent, mais j'aimerais bien pouvoir travailler, moi aussi... Le travail d'un seigneur ne rapporte rien au seigneur, malheureusement !''

Merel sourit, puis regarda Geoffroy d'un air intrigué.

- ''Auriez-vous une idée de qui pourrait chercher à embaucher un homme travaillant et franchement sympathique ?''

Merel regarda vers la fenêtre pour remarquer le soleil, puis il se rappela soudainement qu'il était pressé.

- ''Ah ! C'est vrai ! Je dois aller lui porter ce verre d'alcool, à Albert, sinon je suis foutu !''

Il se tourna vers l'aubergiste qui n'avait pas eu le temps de répondre à sa question.

- ''Nous nous en reparlerons ! Je vais revenir vous voir lorsque j'aurai un moment ! À bientôt et merci beaucoup ! Je ferai de la publicité pour vous !''

Il avait dit cela d'un ton humoristique, mais qui se voulait tout de même sincère. Il prit le verre et se dirigea, à moitié entre la marche et la course, vers la porte pour sortir et se rendre à la plaine.

Kya entra dans la place, titubant, s'asseyant sur un banc.

- Votre auberge est loin de chez nous, vous savez! Donne-moi une grande quantité d'alcool forte, j'ai de l'argent et j'ai un mois de sobriété à reprendre!!!

Elle était déjà ivre jusqu'au plus profond de son corps et son foie criait au secours. Elle se tenait à la table pour ne pas tomber. de sa poche ressortait une bouteille ordinaire presque vide d'un liquide transparent.

L'aubergiste étant trop occupé, Kya ressorti, volant un verre sur une table.

Malheureusement vide. En fait, oui, l'aubergiste était occupé, débordé même. Il préparait une sorte de grosse dinde, et du vin, et des bûches. Même un sapin. Un sapin ! Bref, il avait tant de chose à faire, que nul doute que personne n'arriverait à lui glisser un mot pour au moins un mois.

Nombre de messages : 5 Age : 31 Date d'inscription : 26/05/2009

C'est alors qu'entra un homme portant une grande cape noir brodée de rouge.Il s'arreta un instant sur le seuil de l'Auberge, le dos complèment courbé. Il s'approcha alors de l'Aubergiste avec une sombre démarche, toujours comme si il allait s'écrouler et demanda en faissant sifler ses "s" comme un serpent.

"Dites moi brave aubergisste, connaitreriez-vous par tout hassard le grand ssseigneur Narzulien de ses terres, si tel est le cas pourriez vous m'indiquer où le trouver."

Voyant que l'Aubergiste semblait trop occupé pour répondre, l'homme se retourna est chercha du regard quelqun de plus apte a lui répondre.

Elerid sirotait un peu de vin doux, tout en relisant son grimoire, il repensait aussi à ce qu’Il allait écrire à son vieil ami quand il entendit une voix sifflante. Il ce retourna lentement regardant l’homme d’Un air étrange. Elerid portait sa chemise blanche à long col avec son par-dessus noir, le tout agrémenter d’Une longue cape blanche fait d’Une matière semblable à du velours. Il écoutât les Parole de l’Homme puis étant quelque peu intéresser, il ce leva fini sa coupe de fin et alla le voir.

-Vous semblez chercher quelqu’un, Le seigneur Narzuléen si je ne m’abuse…je vais donc me permettre un peu de curiosité pourquoi donc le cherchez-vous? Oh et oui…je le connais…

Elerid avais un petit sourire Narquois sur les lèvres, intéresser de savoir s’Il s’agissait là d’Un autre des Larbin de Morgan.

Nombre de messages : 5 Age : 31 Date d'inscription : 26/05/2009

Il regarda Eldrid s'approcher, un peu dégouté par tout le blanc que celui-ci portait.

Il laissa apparaitre sa bouche qui se tordit en un espece de rictus qui devait être un sourire et laissa echapper presque comme un murmure

Qui le demande? mais dite moi, vous n'etez pas Templussssien quand meme.Pour ssse qui est du seigneur noir de ses terres, je le cherche uniquement pour mieux connaitre votre royaume, voyez- vous je ssuis un nouvel arrivant et j'Aimerais ssavoir ou sse ssitue les lieux de rencontres Narzuliens et autres, je n'Ai pas pu prier avec mes frères depuis pressque deux mois. Plutot pathétique pour un prêtre n'Essce pas?

c'Est a se moment qu'il éclata en un rire qui se rapprochait presque d'Une quinte de toux

Elerid le regarda un peu et devin sérieux un instant suite au regard de dégout de l’homme. Aller voir s’Il fallait juger les gens sur la couleur de leurs vêtement…quoi que souvent révélatrice de tout!

-Non…je ne suis pas un tempussiens, je ne suis pas un Slan, je ne suis pas un sylvarois et je ne suis pas un Narzulléen. Je suis un moi-même, qui connais d’assez proche le seigneur du cimetière Narzulléen, Morgan. Alors maintenant à votre tour de répondre à mes Question non? C’est ainsi que les choses marche normalement…

Elerid prit une petite pose et fixa longuement l’homme d’un nouvel air sérieux. En effet, Morgan appelait toujours et encore de nouveau laquais à son service.

-Qui êtes vous, par cela j’entends votre nom et Pourquoi cherchez vous donc Morgan? Oh ne prenez pas ce petit air supérieur devant moi…Je le connais très bien, ce petit air supérieur réserver à ceux ne priant pas votre dieu…

Nombre de messages : 5 Age : 31 Date d'inscription : 26/05/2009

L'homme jeta en arrière son capuchon pour dévoilé un visage plutôt anodin, cheveux brun, yeux brun. A l'exception d'étrange ligne rouge fait à la peinture.Il sourit et mimiqua un air important.

Vous avez en votre noble présencsse, quoi que légèrement atténuée, puisque vous ne priez pas le grand maitre, Thanatosss. fier prêtre du seul dieu qui mérite d'être prier. Je voyage de royaume en royaume, offrant au Jabbuk de l'endroit mes loyaux ssservice, qui sont destinés à l'aider à préparer sses terres à l'arriver du plus grand de tout les êtres. De plus pour sse qui est du fonctionnement normal des chosses, le monde serait d'un bien triste ennui ssi tout suivait l'ordre destiné.

Sur cette réflexion qui pouvait en dire long sur le personnage, Thanatos éclata d'un rire profond.

mais ne vous inquiétez point, mon mystérieux ami, je nous vous ferait aucun mal si vous ne me barrez point la route. Cependant j'aimerais bien que vous répondiez à d'autre de mess interrogations, ssi vous voulez toujours suivre l'ordre des chosse. Je sserait bien aisse de connaitre votre nom et le dit emplacement du Jabbuk.

Elerid Observait l’Étrange, un prêtre, mais celui-ci ne semblait pas connaître Morgan et croyait trouver un Jabbuk en emlok. Il allait être déçu s’Il le lui disait, alors Elerid préféra taire cette petite information pour le moment.

-Bien sûr que le monde serait ennuyeux si tout allais comme sur des roulettes, mais ça vas toujours plus vite dans une discutions non? Pour ma part, je doute que mon être vous intéresse, Mais je me nomme Elerid de Galaenord…Je suis un maître mage…Dison que j’aimerais bien voir, ce que vous dite qui pourrais me faire du mal…Mais bon, ne gâchons pas cette belle ambiance!

Elerid avais un petit sourire, il avait crue pouvoir recruter un mage de plus pour la guilde çà L’allure de l’homme mais voilà qu’Il était prêtre, enfin bon.

-enfin, je suis désoler de vous décevoir…mais il n’y a aucun Jabbuk ici, du moins pas à ma connaissance, le seigneur Morgan n’as jamais été nommé ainsi. Je crois aussi que Malékit aussi n’est pas Jabbuk pour lui ce serais un rang déshonorant je suppose. Enfin bon, il en est que vous trouverez morgan, ce qui ressemblait le plus à un chef Narzuléen, sur sa terre proche du cimetière au tréfonds d’emlok. Il seras mieux placé pour vous informer de sons statut.

Nombre de messages : 5 Age : 31 Date d'inscription : 26/05/2009

Thanatos sourit lorsque le mage lui parla de voir se qui pourrait lui faire du mal et repliqua.

Au vous ssavez, bien organisé même le plus inssignifiant des êtres peut être une vraie plaie

Puis lorsqu'il entendit qu'il n'y avait aucun Jabbuk sur ces terres, une lueur d'incomprehension traversa les yeux du prêtre noir. Celui-ci marmonna

La situation en ces lieux est bien pire qu'on me l'avais décrite. Il est temps que d'important changements sae produisent.

Puis avec un ton plus comprehensible, il enchaina

Merci bien Elerid pour votre aide inesstimable, puissse vos ssort ne jamais faiblir et nos routes se croisser à nouveau. De ce pas je pars rencontrer ce dénommé Morgan et m'informer ssur la dîte ssituation.

il fit un semblant de référence et partit d'un pas rapide à l'éxterieur. En prenant bien sur le temps d'ajuster son capuchon.

» Au comptoir de Geoffroy McMarlof