Au manoir Lunenoire ou Delarose... ou maintenant de personne

Johanniel était retournée au manoir de ses parents. Elle avait des choses à faire là bas et elle devait parler avec beaucoup de gens. La fée rechercha d'abord sa mère. Elle n'était nul part... peut-être au conseil?

Puis, elle dirigea ses fouilles vers Cadrius son oncle... mais rapidement elle se dit que si Artémisia était en conseil... Cadrius le serait aussi. Motivé à quand même parler avec eux, elle resta à la porte du manoir qui semblait vide.

Elle y resta longtemps... très longtemps... seul... tout seul. Personne ne viendrait mais ça Johanniel n'en savait rien. En fait, la seule chance que Johanniel avait c'était les invités de la demeur qui pourrait revenir ou des pillard... mais ça la prêtresse n'en savait rien.

Là dans le demi froid de l'automne féroce, Johanniel attendait comme les arbres, que quelque chose se passe. Et malgré le soleil qui fesait le tour du ciel, la fée elle ne bougeait pas.

Près de l'entré du manoir Lunenoire, ou la porte était entre-ouvert, Était posté une Épée. Celle d'une taille assez grand qui était porté autrefois par Desthaross. La lame était encore maculé de sang du à son dernier combat avant que le vampire ne tombe et disparaisse en cendre. Sur la garde de celle-ci semblait être accroché la grande cape aussi noire que l'ébène qui était constament posé sur les Épaules du père de Johanniel. Les objets qui appartenait au vampire semblait reposé ici depuis plusieurs nuit et nul ne n'y avait touché. Ceux ci était très visiblement placé et d'ailleurs la porte qui secondait les objets était entre-ouverte..

Suivant une piste en forêt qui semblait être celle de Johanniel, l'homme recouvert d'une cape brune et d'une capuche brune et noir s'arrêta net quand il aperçu au loin un bâtiment. Il se dit:

-Cela doit être le manoir Lunenoire... mais qu'est-ce que Johanniel peut bien venir faire ici?

Il s'approcha jusqu'à se qu'il arrive à la porte d'entré ou il vit une épée maculé de sang... il se mit à courir sans vraiment porté attention à la forme de l'épée qui lui semblait familier ou même à la cape qui était juste à coté... Il entra sans faire de bruit et sorti sa dague se préparant au pire.

- JOHANNIEL! EST-CE QUE TU ES LÀ?

Il enleva sa capuche et puis sa cape, il les posa près de la porte et il commença à ses investigations. Il plaça sa dague de façons à percevoir les mouvements, les ombres qui pouvait bien avoir derrière lui.

Invité

Une forme descendit de l'un es longs escalier du fond du hall... Morgan, qui avait comme presque toujours un livre sous le bras, parlas d'une voix lente et particulierement dédaigneuse... Étant donné que la chanceliere avait disparut depuis un moment, il passait la majorité de ses journées a cherchés comment la retrouver... Il était dans un état délicat, et Morgan devait retrouver la chanceliere...

-Elle non, mais moi oui...

dit-il descendant quelques marche pour arriver au centre de l'escalier et lui lancer a nouveau, de facon absolument dégouter:

-Que signifit cette intrusion Sylvarois?

Appuyant particulierement sur se dernier terme...

Il se retourna rapidement vers Morgan et lui dit:

Je n'ai pas de temps à perdre avec toi, une épée maculé de sang repose en avant du manoir. Je n'ai pas de temps à perdre.

Il continua son chemin, il franchi une porte et la referma, puis une autre, puis une autre... rien pour le moment.

Entendant un appel à son nom, Johanniel se dirigea vers la voix. Elle croiyait enfin avoir réponse mais ne trouva que le dit Morgan devant les marchant en entrant à la suite de la sortie du second Sylvarois.

Elle le regarda sourir aux lèvres, sa réaction était fort adorable mais elle savait ne rien risquer ici. Elle appela son protecteur pour le rassurer.

- Je suis ici, j'étais à l'extérieur.

Puis en attendant le retour du guerrier, elle se retourna vers le narzulléen.

- Puis-je savoir où est ma mère et les habitants de ce manoir? Je veux dire il se fait des heures que je les cherche en Emlok et aucune trace d'eux encore... J'ai besoin de parler avec ma mère.

Encore face à face avec Morgan, elle n'avait aucune idée du sort qu'avait pu subir sa mère et encore moins où elle pouvait se trouver maintenant. Longuement, elle avait regardé l'arme de son père et sa cape. Elle n'y avait trouvé aucune réponse... qu'une simple énigme de plus... intérieurement, elle se demandait si il lui en voudrait aujourd'hui...

En entendant la voix de la fée au loin qui disait qu'elle était à l'extérieur il revient sur ses pas jusqu'à l'entrée. Il aperçu la fée qui se tenait debout devant Morgan. Il alla au coté de Johanniel et lui dit:

-Johanniel, tu m'as fait peur! J'ai cru pendant un moment que... qu'un malheur t'était arrivé. Je suis bien contant de te savoir saine et sauve.

Il rangea sa dague et demanda:

-Que viens-tu faire ici?

La porte qui était entre-ouverte près des Effets du Défunts Vampire ce claqua brusquement, Laissant pour bruit un long résonnement de porte fermé violament dans tout le manoir qui devrait être abandonné...

Se retournant vers la porte qui venait soudainement se refermé, il dit:

-Nous ne sommes pas seul on dirait... je resterai près de toi, Johanniel, car ces lieux ne m'inspire pas confiance.

Il alla ouvrir la porte et regarda à l'extérieur. Il regarda l'épée et la cape puis il réalisa que cette épée à la forme unique appartenait à nul autre que le célèbre père de Johanniel, Desthaross... c'est alors qu'il ce dit que peut-être l'esprit de Desthaross protégeais ces lieux. Il ramassa sa cape et sa capuche qu'il avait laissé là au par avant, juste avant de s'aventurer dans le manoir et il retourna au coté de Johanniel.

-Tu ne m'as pas encore répondu... que viens-tu faire ici?

En regardant Johanniel dans les yeux.

Invité

Ingorant délibérément le Sylvarois... il eu un petit sourire froid a l'égard de Johanniel puis prit la peine de lui répondre, d'une voix plutot infantile...

-Johanniel... Je peut vous assuré que je met tout mes éfforts a contributions pour retrouver votre mère... sacher que sa santé m'importe énormément...

Il roula legerement des yeux avant de continuer...

-J'ai cependant peur qu'il lui soit arrivé malheur... j'espere que je ne retrouverai pas Arthémisia dans le même état que son mari... auquel cas il faudras que je la ramasse a la petite cuiller...

Il gloussa sur ses propres mots puis repris un sérieux teinter d'un leger sourire... éternelement ironique...

-Quant a vous!

Dit-il au Sylvarois sans même le regarder:

-Sacher qu'entre mes mains, Johanniel est on-ne-peut-mieux protégée... il ne peut lui arriver aucun malheur...

Sur se, Morgan sourit a la jeune fée d'un sourire qui était particulierement peu convainquant... Puis il eut un léger soupire en regardant autours de lui...

-Il est vrai que le Manoir semblait moi inhabité sans la présence de votre mère et de votre pere ici... cependant, il semblerais que vous puissiez encore me trouver ici... enfin, j'en oublit mes manières... puis-je vous proposé quelque chose a boire jeune fée? Ou alors préférez-vous me parler de se dont vous auriez aimé entretenir votre mère?

encore une fois, il lui servit un regard faussement interesser et un sourire qui manquait de chaleur...

Le Sylvarois tourna la tête vers le Narzulléen et dit:

- Morgan, Morgan, Morgan! Hahaha! C'est ironique! Vous me dite qu'elle risque moins de chose avec vous qu'avec moi, mais n'était-il pas de votre devoir de protégé la chancelière? Et maintenant elle est porté disparu... Moi à la place de m'apitoyer sur mon sort, je chercherais des pistes...

Il se dirigea vers Morgan pour lui dire quelque chose à l'oreille.

Il retourna au coté de la fée et attendait toujours sa réponse.

Lorsque le Rôdeur ouvrit la porte, Un vent froid fît frisonné la majorité des gens a l'interieur du Manoir.

La salle que venait d'ouvrir le Sylvarois était très peu éclairé. Seulement quelque lanterne était accroché au plaffond pour donner une certaine luminosité. Le planché était munie d'un très grand tapis qui semblait être aussi soyeux que du velour fraichement taillé. Les murs de pierre eut, laissait une apparence un peu douteuse dû à leurs nombreuse fissure. Mais à l'intérieur, plusieurs grande Armures et Armes y reposait. Depuis la mort du Vampire, la porte ne c'était ouverte a personne.

Les armures semblait tous aussi polis les unes que les autres, ainsi que les armes affutés. Mais au fin fond de la majestueuse pièce, ce trouvait deux socle d'arme et deux porte armure, tout deux un près de l'autre. Le premier ce situait à la droit. L'armure était d'un noir aussi pure que la nuit même avec quelque liature doré. Le socles de l'épée de celle-ci était vide, démunit de son arme. Au bas du porte armure, l'ont pouvait remarqué une gravure un peu rongé par le temps.

-In Memoriam Samael Lunenoire-

Le second socle d'armure qui reposait juste au coté du premier, était vêtu quant a lui de la vielle cotte de maille de l'ancien Guerrier Narzulléen. L'emplacement pour y posé l'épée était aussi vide que le premier et le même genre de gravure, avec la même écriture était apossé au bas.

-In Memoriam Desthaross Lunenoire-

Une grande tablette de bois était posé un peux plus haut du dernier socle d'armure. Une très belle urne y était posé et encore sur cette dernière, Des gravures ci trouvait. Elle citai:

-Ni Dieu, Ni Maître-

Invité

Morgan sourit au Sylvarois, dévoillant toutes ses dents:

-faux! je n'était aucunement responsable de la protection de la chanceliere... il s'agit la de la responsabilité des gardes juridique et des gardes de la chanceliere... et non pas d'un humble Seigneur précédement démi momentanément de ses fonctions...

puis, entendant ce que l'hérétique venant de lui chuchoté a l'orreil, l'un de ses surcils fusa vers le haut d'une facon absolument spontanée... démontrant l'interet dont il faisait preuve a se moment la... il passa sa main sur son menton puis il sourit... a se moment précis, il aurait adoré craché a visage du Sylvarois... ô combient il detestait les membres de cette religion... mais pas maintenant... pas tant que la chanceliere ne serait pas de retour a son poste... il lui sourit donc d'une facon absolument detestable puis lui servit un discour sur son même ton...

Il ne détourna pas le regard de Johanniel et dit au Narzulléen:

- Bon puisque vous le prenez ainsi... Le Respect est l'un des dogmes de Sylvar et puisque vous ne me respectez pas, il serait préférable que je vous laisse.

Il dit ensuite à Johanniel:

- Je ne serai pas loin appelé moi si vous avez besoin de moi!

Il alla ramassé l'épée et la cape de Desthaross puis entra dans la salle ou il se senti étrangement attiré et cette situation étrange l'intriguait. Il avança sans peur dans la salle ou il semblait avoir plusieurs reliques.

Invité

Morgan balaya l'air de la main pour montrer au Sylvarois se qu'il pensait de ses dogmes... puis il reporta son attention sur la jeune fée, lui sortit un sourire creux, puis attendit que celle-ci prenne la parole...

Le rôdeur revins de la pièce, alla devant Johanniel et lui dit:

- Johanniel viens avec moi j'ai quelque chose à te montrer, suis moi!

Incapasble de se concentrer sur cette dispute qui ne menait à rien, la fée cherchait à comprendre les interventions rapides des deux hommes sans succès. Johanniel avait écouté avec peu d'attention les guerriers.

- Je crois que si ma mère a véritablement disparu... En fait... je ne sais trop... murmura-t-elle au milieu de la conversation.

Entraînée dans l'autre salle par son ami, elle alla voir la fameuse pièce.

Sortant de la salle un peu plus conciente de ce qu'elle croyait rumeur, Johanniel arriva face à Morgan... elle n'avait pas tellement envie de croire que le narzulléen puisse véritablement vouloir son bien.

Laissant passer devant elle son protecteur, elle préféra s'accoté sur un mure. Ne pouvant en supporter beaucoup plus, elle plaça sa main devant son visage dabord frottant ses tampes puis ses yeux qui laissait écouler sa misère sous forme de larmes plus ou moins claire. Johanniel ne tenta pas de le cacher mais sa tristesse avait bien du mal à sortir sans fracas.

Le dos courbé, la main cachant son visage et le corps tremblant. la prêtresse se sentait complètement détruite. Face à cela, elle aurait préféré affronter mille fois Xul'Thris ou même Obéron. La tristesse d'un instant se transforma en colère en pratiquement un éclair mais le seul signe qu'il y eut pour prouver cela fut que de sa seconde main, la fée frappa le mur fortement...

Une légère douleur en guise de réponse de Sylvar, elle savait déjà que la nouvelle doublerait certainement ses problèmes... Elle ne dit rien, troublée par l'émotion. Le procès, Obéron , l'hiver, Arhiman... et le reste. Ou peut-elle se cacher... elle ne peut s'enfuir... faiblesse d'elle-même.

Entendant le coup contre le mur, il se retourna vers Johanniel. Il avança vers elle et la prise dans ses bras pour la consolé.

- Il ne peut rien t'arriver t'en que je suis à tes côtés. T'en que je serai vivant, que j'aurai un minimum d'énergie pour combattre, je veillerai sur toi, je t'en fait serment. Telle sera mon destin... Dit-il à son oreille, pour la rassurer.

Malgré tout, il douta que son discourt l'ait véritablement rassurer. Mais on pouvait dans ses yeux qu'il était sincère.

Au moment ou le Rodeur et la Prêtresse sortie de la salle des relliques, Un vent froid vînt caressé leurs joue et particullièrement celle de Johanniel. Près de son oreille, on aurai dit que le vent murmurait quelque choses...

-Il était un petit Narzull, Il était un petit Narzull...

La fée essuya rapidement ses yeux pour relever la tête vers son ami. Un mince sourire en guise de remerciement. Frottant sa main blessée doucement avec sa seconde main, elle se décolla du mur conciente qu'il y avait quelqu'un d'autre.

Baissant les yeux au sol, elle répondit timidement au jeune Sylvarois.

- Merci, mais je n'arriverai jamais à comprendre Emlok. Une bande de chien sans queue ni tête. Ils n'auront jamais le dessus mais y rêveront toujours... que Sylvar leur enlève la liberté avec la quelle il massacre ma famille.

Intérieurement, Johanniel ne savait même plus quoi penser.

Il l'a regarda dans les yeux.

- Personne n'est libre de tuer qui que se soit, Sylvar ne le tolère pas et tu le sais. Comme nous le disons tous: <<La liberté de l'un s'arrête là où commence celle de l'autre.>>

Le rôdeur commença à se perdre dans son esprit. Il se ressaisi immédiatement pour ne pas effrayer d'avantage la fée.

- Je suis sur que ton père veille sur toi, comme je le fais.

Il prit un bandage et prit la main blessé de la prêtresse. Le protecteur prit soin de ne pas trop le serrer car, il ne voulait surtout pas la blessé d'avantage. Quand il eu fini, il se remémora d'un passage lugubre de sa vie, recula brusquement et son regard devins vide. Il était perdu dans son esprit.

Un peu troubler, elle apprécia les paroles de son protecteur. Johanniel se laissa faire quand il prit sa main. La fée voulu lui afficher un léger sourire de remerciment mais elle vit bien vit que celui-ci avait beaucoup de difficulter avec toute cette histoire... Son expression un instant surpris retrouva sa durté habituelle pour faire face à Morgan...

Appuyant un simplement main sur le bras du sylvarois, la prêtresse se retourna tout en maintenant le contacte vers Morgan pour reprendre la discution... Ses émotions variants d'un extrême à l'autre, elle retrouva un demi-sourire indéfinissable.

- Morgan, j'espère que vous ne contez pas rester ici sans la présence de l'hôte qui vous y avait invité... J'ai l'impression qu'il fera froid entre ses mures cette hiver... Je crois que beaucoup de choses sont à règler... maintenant les jeux sont faits... Je ne suis pas prêt à laisser cette histoire sur le froid...

Côte à côte avec le guerrier, elle se tenait droite devant Morgan qui pourtant la dépassait de beaucoup... elle n'avait pas peur. Le narzulléen n'était pas prêt de lui prendre sa dignité.

Invité

Morgan, réprimant un baillement devant l'aspect pathétique de l'evenement qui se produisait devant lui, fit un petit sourire méprisant a Johanniel puis lui tourna efrontément le dos avant de lui lancer, un fois rendus presque en haut de l'escalier:

-Nous verrons...

Puis il lui fit face encore une fois pour dire:

-Sur ce, bonne chance Johanniel... et vous aussi esclave-de-Johanniel... Puisse votre pathétique Dieux venir a votre réscouss et ne pas encore envoyer un de ses serviteur tous vous tués...

Puis dans un éclat de rire purement méchant, il disparut dans un corridors de l'étage supérieur...

Johanniel ne se laissa pas affecter par la sortie plus ou moins théâtral de Morgan. Elle garda son sourir jusqu'à la fin de sa présence dans le corridore. La fée prit le temps de ce retourner vers son protecteur. Elle savait qu'elle n'avait plus rien à faire ici.

- Allons ce manoir maintenant à moi n'a pas besoin de ma présence pour ce refroidir. Nous pouvons trouver mieux qu'un manoir qui apporte la mort à ceux qui y vivent.

La prêtresse se retourna franchement voulant rassurer le guerrier. Elle n'avait plus envie d'être ici... il y avait trop de chose qui la rendait cruellement instable.

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