Le conteur

Orlick, s'ennuyant ferme dans l'auberge après avoir passé 3 semaines avec son nouveau travail qui consistait à en attendre un, décida de compter des histoires pour passer le temps.

L’histoire que je vais vous conter est celle de ma première grande aventure. Pour vous situer, c’était le 16e du 8e mois de l’an 246 du calendrier de la Kamailla Arlénienne. En fait, la Kamailla est divisé en neuf térritoire, l’Arlénie, l’Orkine, l’Anslagth, l’Orgumar, l’Amnie, l’Armailla, l’Ergonote, le Quérac et la Kamailla originaire, la dernière étant le territoire que les Quorish* d’origine ont réussi à garder. Les autres portions de la Kamailla porte les noms des familles les dirigeants.

Mais je m’éloigne, alors l’aventure, mon père, dans la quarantaine, fesant près de 6 pieds, m’emporta pour mon anniversaire de 8 ans avec lui lors d’une mission de routine pour la garde d’Arlénie, on avait signalé qu’une drôle de lueur verdâtre avait été aperçu à une des fenêtres du manoir sur l’Île Arroï, une des nombreuses proches du port de Jardam. Le vert n’étant pas la couleur du feu, c’était sûrement de la magie « surnaturel » qui était interdit en Kamailla, la ville n’ayant pas vu de mage depuis maintenant 13 ans, on se dit que ce ne pouvait en être un puissant, surement un jeune ignorant aillant tomber sur un vieux grimoire et testant ces capacités. Alors on amarra le bâteau, moi, mon père et 3 de ces meilleurs hommes et on partit à l’aventure!


Voyant qu'il avait réussi à capter l'attention de quelque personne, Orlick leur dit qu'il allait compter la suite environ une semaine.

Saphyra, ainsi que Mereist, vinrent trouver Orlick. Elle savait qu'elle ne lui avait rien confié depuis qu'elle l'avait engagé si on pouvait dire et voulait maintenant lui confier une petite tâche très simple. La jeune dame s'approcha de lui et attendit un peu avant de s'adresser à lui.

J'ai un petit quelque chose pour toi. J'aimerais que tu ailles porter une lettre pour moi. D'ici quelques jours, j'en aurai d'autres pour d'autres personnes aussi. J'aimerais que tu fasses, en quelque sorte, mon messager. Avant toute chose, acceoptes-tu cette focntion pour un certain temps?

Elle se tenait droite, avec un air impassible mais non froid.

Orlick accepta avec joie, en se demandant d'un autre côté si c'était le fait qu'elle n'ai pas aimé son histoire ou seulement qu'elle ai réellement du travail pour lui qu'elle lui en avait donné, mais il chassa immédiatement cette pensée de son esprit.

J'accepte avec joie, si tu pouvais m'indiquer à qui porter la lettre et comment la trouvé, j'irais à l'instant!

Il était parfaitement sincère, en disant qu'il le ferait avec joie, l'inactivité l'avait ennuyé et il était très content d'avoir une raison de se déplacer, il en profiterait pour visiter un peu plus Emlok

La jeune femme sourit lorsqu'il accepta puis sortit une enveloppe d'un beige foncé de son sac. Elle la tendit à Orlick, attendant qu'il la prenne.

En fait, je voudrais que tu ailles la montrer à tous les autres slanns mais ils sont trop nombreux alors tu iras voir une seule personne pour commencer. Il s'appelle Benoît, c'est l'aîné des 7 fils de Roland si je ne m'abuse. Ils sont les 7 hommes presque toujours ensemble et difficiles à manquer. D'ordinaire, ils sont dans une bâtisse près de mon auberge. Si tu ne le trouve pas, reviens me porter la lettre et je verrai ensuite.

Orlick prit l'enveloppe, sortit et rentra de nouveau, près de 2 minutes plus tard, dans l'établissement.

Humm... pourrais-je avoir plus de détail sur ce bâtiment? Parce que... ce n'était pas très précis vos premières expliquations...

Ils c'étaient habitué à voir Mereist partout ou elle allait, mais restait tout de même quelque peu malalaise devant le grand nordique, c'est pourquoi il se fit tellement hésitant dans sa questions.

Orlick prit l'enveloppe, sortit et rentra de nouveau, près de 2 minutes plus tard, dans l'établissement.

Humm... pourrais-je avoir plus de détail sur ce bâtiment? Parce que... ce n'était pas très précis vos premières expliquations...

Ils c'étaient habitué à voir Mereist partout ou elle allait, mais restait tout de même quelque peu malalaise devant le grand nordique, c'est pourquoi il se fit tellement hésitant dans sa questions.

Après avoir eu réponse à sa question, Orlick sortit et vint trouver celui qu'il croyait être Benoit.[i]

Bonjour Benoit, j'ai une lettre pour toi venant de Saphyra.

Après lui avoir laissé la lettre, avec une certaine curiosité pour sont contenu, il repartit pour l'auberge.