Le Royaume d'Emlok

*Toute etais calme cette nuit la,une fine pluie coulait,Desthaross etais dans le cimetierre Narzul,agenouillé,devant une vielle tombe sur laquel etais ecrit:''Samar Lunenoir RIP''tennant entre c'est doigt pale un pendantif recouvert de sang frais qui coula quelque peux.Le Vampire recitait quelque parole en langue etrangère puis quelque peux apres,il recita encore quelque parole en langue comune...*

-Père,jespere que je ne te decoit pas de la ou tu est,près de Narzul.Jespere que tu est fier de ton fils...Je continura a te vanger jusqua ce que je soit a tes coté et au coté de Narzul.Jai toujours tes héritage père,L'épée,Le pandantif,Le Masque et la Bague.Jai passer du coté des mort...je suis maintenant un grand fidèle et je dirige fièrement les Narzul D'emlok.

Invité

Ton père, sa tombe...Venger sa mort ? Mais c'est pourtant, un honneur que d'avoir le droit de trépasser, pour rejoindre Narzul. Ces larves ne devraient pas avoir le droit de trépasser. Elles ne l'ont pas, sinon elles seraient partit depuis longtemps, tant elles sont misérables !

Mais nous avons ici quelquechose à accomplir avant de pouvoir rejoindre notre divinité. Nous devons prouver que nous en sommes dignes. Je crois que tu t'es déjà mérité cet honneur. Lorsque tu auras mérité ton trépas, tu auras droit de mourir, pour sombrer. Non pour sombrer dans le vide, comme ceux qui meurt sans raisons. Mais bien comme un vrai serviteur du divin.

Reste droit et fier, nous te suivons, car tu es un exemple parmis nous. Attention par contre, ne t'éloigne pas du chemin, car lorsque tu t'en éloignera, je n'hésiterai pas. Une larve n'est pas mieu que ces ignobles tempusiens. Et je n'ai aucun remord à tuer l'un ou l'autre. Tant que l'on ne m'a pas montré ce dont on valait, je considérerai les gens comme tel.

Aller, relève toi, fier Narzul. L'heure n'est pas au passé, mais tourné vers l'avenir. Nous avons encore beaucoup à faire avant de mériter notre repos. Vien, flamme noire de la damnation.

*Desthaross ce releva,c'est cheveux tout trempé par le temps qui fesai dehors.Dans son regard on ne pouvait voir que du vide...le vide total...plus grand qu'un trou noir...Il regarda Cadrius,l'examinant de font en comble,toujours le pendentif couvert dans sang dans sa main.Puis il arreta de fouiller Cadrius du ragard.Il regarda le pendentif quelque seconde,puis fini par le replacer dans son cou,ou sa place habituelle i etais.Puis il repondit subitemant sur un ton arogant.*
Tu...Tu ose me parler sur ce ton...Moi m'éloigner du chemin...Je ne fait que parler a quelquun digne don tu de devrai meme pas regarder la tombe...Et tu ose dire cela?Oui c'est un honneur de trepasser a coter du grand Narzull...mais...Son temps netais pas venu...C'est un Narzull lui meme qui a tuez mon père parce quil servait trop Narzull au doight et a loeuil...Un pitouyable Naarzull qui ne sais pas ce que sais detre aussi près de Narzul et de le chèrir comme si il etais nautre...C'est pourquoi je parle a mon père qui lui est près du grand Narzull et qui peux transmettre les message a Narzull de ma part...Mon père vallait plus que quiquonque sutr c'est terre ici...Et il na meme pas eu la chance davoir une mort digne de lui...Tout les larves qui ne sauront pas assez fort pour servire Narzull comme si cettais eu meme,je me doit le devoir de les tuez...

Invité

Si tu dois les tuer pourquoi sommes-nous si nombreux ?

*Cadrius ria, d'un rire glacé, cruel, perfide...qui résonna à travers l'obscur bois interdit, pour retentir et ébranler tout les os qui se cachaient dans l'endroit abandonné. Puis il cessa brusquement, et alla s'asseoir dos à la tombe, appuyant lentement son dos sur celle-ci, douilletement. Il reposa alors son regard dans celui de Destaross, et dit d'une voix calme, à peine plus audible qu'un murmure...*

Et qu'est-ce que cela fait que de perdre son père ? Je marche aux côtés de cadavres, tu crois vraiment que je serais capable d'éprouver une compassion auprès de ceux qui ont perdu quelqu'un de cher ? Je me réjouis de chaques morts, de chaques cadavres, de chaques os qui peuvent tomber sous MON commandement. Tu es mort toi-même, tu sais ce que c'est... Il n'y a rien à reprocher à la mort.

Alors, est-ce de l'égoïsme que de vouloir son père à ses côtés de nouveau ? Pardonne moi, pardonne mes paroles si elles sont trop...cru pour toi. Je suis du genre a remercier Narzul pour chaques morts, chaques âmes qui auront la chance de tomber sous ma jurédiction avant de sombrer à jamais.

*Cadrius haussa alors les épaules, comme s'il se désintéressait de la conversation*

Nous sommes différents voilà tout. Toi tu pleure la mort, moi j'en rit.

Invité

*Assis sur le dessus de l'auberge, il regarda la scène se passer de loin en voyant les deux gens converser*