Chez Johanniel!

Invité

Lorsque Manorok entendit dit les parole de Hans, il ne put s'empêcher de se souvenir des deux fois que Johanniel l'avait condanné a mort. IL chassa rapidement cette idée, elle l'avait fait pour la bonne cause.

-Hans , car je crois que c'est bien toi, tous les actes de Johanniel avait de bonnes intentions, je ne sais pas ce qu'elle a fait, mais c'était sans doute pour une bonne cause.

Puis il baissa sa garde pour ne pas avoir l'air offensif, il allait agir comme Johanniel aurait fait, par raisonnement.

Jean, après le sermon de Hans, eut tout à coup l'air détendu. il se placa devant Johanniel de manière à ce qu'elle n'ait pas le choix que de le regarder dans les yeux. Ces yeux qui la fixaient calmement, avec compassion.

-Johanniel...

Ce n'est à personne de t'indiquer une voie. Seul ton coeur,seule ton âme connaît la vérité...

Les aures ne sont que des pistes qui te permettent de trouver ton chemin au travers des évènements de ta vie.

Personnage : Hans

Le vil sourire qui était autrefois affiché sur son visage disparut aussitôt, laissant place à une expression morne et sans sentiment. Il regarda chacune des personnes présentes qui tentaient de remonter le moral de la jeune fille bien lentement, frappant sa langue sur son palet de façon à faire un bruit découragé, il reprit la parole un peu plus calmement qui tournait vers une montée à nouveau.

« Fies-toi à ton propre jugement, inconsciente. Si tu es capable de donner la mort aux autres, alors tu es parfaitement capable de te donner la mort. Flétris petite plante, flétris puisque c’est le cycle de la vie. Je n’accepterai jamais d’être mort à cause de ton inconscience, Jamais. Tu mérites le même sort que moi, si ce n’est que pire, si tu veux mon pardon, alors tu devras abandonner cette vie! Je suis un monstre, certes, mais je ne l’étais pas auparavant! Acceptes les conséquences de tes actes et cesse d’agir comme une enfant! La faute n’est sur personne d’autre que toi et tu dois l’accepter! Ces remords te rongeront toute ta vie, toute ta vie tu te souviendras de ce visage, de MON visage comme étant celui d’un homme innocent que tu auras cruellement jeté vers la mort elle-même! Jamais tu ne pourras te débarrasser de cette vision jusqu’à ce que tu te donnes la mort toi-même, c’est la seule façon que tu possèdes de te pardonner toi-même d’avoir fait un acte aussi répugnant! »

Puis, il pointa du bout du doigt les chaînes près de Johanniel, jetant un bref regard aux autres personnes qui étaient présentes dans l’habitat. La fumée que ses orifices dégageaient montait vers le ciel, passant outre les branchages qui servaient de toit à l’abri.

Plus le monde lui parlait, plus la prêtresse avait de la misère à entendre. Tout ce qu'elle voulait entendre était son dieu et celui-ci en temps de misère avait prouvé son mutisme. Johanniel se retrouvait plus perdu que jamais. Puis, dans un désir de tranquillité, parmis ses sanglos, la jeune fille se mit à crier! Un mot résonna alors partout autour d'elle; Assez!

Ce fut à se moment qu'une créature que personne n'avait du remarquer vint à la rencontre de Johanniel. Le petit animal grippa le long des vêtements de la jeune et vint se placer dans son cou. Jalline qui n'arrivait plus à voir sa maitresse pleurer s'était postée pour défendre Johanniel de tous les gens qui l'entouraient.

Jalline vint comme Johanniel dans sa tête demandait un signe de Sylvar, elle l'a pris donc comme étant la seul représentation valable de celui-ci en cet instant. Cela lui réchauffa le coeur pour répondre une autre fois à Hans.

- Les fleures ne se fanent pas juste parce que nous leur demandons de ce faner! Mon jugement ne compte pas face au seul et unique dieu qui a de l'importence. Si mon sort est de finir comme toi ou pire et bien seul Sylvar l'appliquera! Même abandonner une vie ne pourrait réparer se que j'ai fait. J'accepte complètement et totalement les conséquences de mes actes car seul Sylvar ferait de ceux-ci quelque chose d'éternelle. Je me souviendrai de votre visage comme celui de l'épreuve que tout dieu pourrait donner à son messager le plus fidel!

Vous êtes un monstre et vous l'étiez avant aussi! Si vous êtes mort c'est probablement de ma faute mais je n'aurais jamais à votre place laisser ici toutes les misères que les dieux vous ont données! Si les monstres que vous nous avez laissé sont ici c'est bien parce que vous n'aviez pas peur de faire face à ceux-ci comme aujourd'hui je vous fait face! Vous étiez un monstre de nous avoir fait souffert pour des fautes qui ne sont pas à nous! Emlok en entier est prisonnié de vous et de vos chatiments! Le dieu des cauchemars vous a probalement chatier trop pour votre faute mais nous n'en sommes jamais responsable! Les monstres sont autant vous que ceux qui nous poursuive nuit après nuit!

Johanniel se releva un peu plus elle regardait avec tristesse autant que colère Hans en face d'elle.

JE NE SERAI PAS VOTRE SOUFFRE DOULEUR! J'ai fait du mal mais mon dieu à moi au moins pardonne et permet de vivre! Si j'ai mérité cette sentance, alors Sylvar l'appliquera lui même et non vous!

Elle tourna un regard vers ceux autour d'elle. Leur appuie lui permettait de pouvoir être plus forte. Elle pencha la tête vers son frère.

- Je ne te laisserai jamais seul petit frère. Tu es trop pour moi!

Puis, elle tourna vers Jean un regard rouge. Rouge d'avoir pleuré mais encore plus de colère qui aurait découragé bien des hommes.

Personnage : Hans

L’Homme sur tut tout au long de cette révolution, puis il s’approcha délicatement de celle-ci, pliant légèrement un de ses genoux pour approcher son visage de du sien, à peu près à une main de distance de celui-ci, il lui parla à voix basse avec tant de mépris qu’il était facile d’imaginer l’ampleur de la haine de l’homme. Même l’œil qui autrefois ne semblait pas suivre les mêmes émotions que le corps se plissa, la fixant haineusement. Sa voix pouvait toutefois être audible par tout le monde.

« Et lorsque tu m’as volontairement attaché à l’arbre contre mon gré, sachant très bien que ma vie viendrait à terme, As-tu demandé à ton Dieu si c’était la bonne chose à faire, puisque non seulement tu affirmes que ton jugement ne vaut pas celui de ton Dieu, mais de plus, cette tentative n’a rien changé à l’état actuel des choses. Si je n’étais pas mort lors de cette soirée, j’aurais pu les amener bien plus loin et ils ne vous auraient pas troublé comme ils le font présentement. C’est entièrement de TA faute, TU es monstrueuse, je ne l’étais pas auparavant, loin de là! »

Une étincelle parut alors dans son seul œil, comme si une idée lui traversait la tête alors qu’il fixait constamment Johanniel dans un de ses yeux.

« Je suppose que tes parents ne t’ont jamais appris que la peur existait afin de permettre à l’homme de fuir ce qui pourrait lui être trop dangereux ? À moins que tu n’aies jamais eu de réels parents pour t’apprendre ces lois de la nature ? On ne peut affronter ses peurs, C’est impossible. Si tu te crois moins monstrueuse que l’image que tu te faisais de moi, alors pourquoi ne les as-tu pas affronté? Pourquoi sont-elles toujours ici, ces créatures? Ne me fais pas rire, tu n’as pas la moindre idée de ce que ton Dieu pense de toi. La plus grande des sentence est l’abandon… Aurais-tu l’impression qu’il t’aurait abandonné…? »

Puis il souffla au visage de la jeune fille, la fumée noirâtre suivant le souffle pour aller virevolter dans les yeux et le nez de Johanniel. L’expérience était dégoûtante, la fumée n’avait rien de naturel, pire que la sensation d’avoir de la fumée provenant d’un feu directement au visage. Il conserva son air sérieux en fixant la jeune fille, restant dans la même position.

Jean avait compris le débat et une partie des courants sous-jacents au combat. Une lueur passa dans ses yeux...

-Maintenant je sais qui tu es...

Il se campa bien droit devant le revenant entre Johanniel et le tas de chaîne.

-Tu es celui qui connait le nom du Dieu des Cauchemars...
Celui qui est mort pendant la cérémonie; pendu au bout de sa chaîne!

Il le foudroya du regard.Sa canne se mit à rayonner d'une lueur verte malsaine.

Explique-moi donc : pourquoi tous les gens présents à cette cérémonie s'entendaient à dire que tu t'es toi-même tué?

Comment peux-tu blâmer un autre de ton suicide?

Encore une chose...
La peur existe pour que les gens puissent la vaincre et accomplir des actes exceptionnels. Si tu n'es pas capable de faire face, c'est ton problème. Ne blâme pas les autres pour ta lâcheté!

Reprenant son souffle, il reprit d'un ton plus calme:

Et si tu es encore ici, j'en déduis que tu avais à payer quelque chose toi aussi...
Tu n'aurais pas,par hasard, quelque chose à finir,quelque chose de plus grand que ta personne?

Personnage : Hans

Le revenant posa son regard vers Jean, ses dents se serrèrent alors qu’il parlait, approchant son visage de lui d’à peu près la même façon qu’il avait fait avec Johanniel, il lui cracha des paroles au visage, sa voix résonnant de haine et de mépris, à nouveau.

« Ah bon… C’est ainsi que l’on voit les choses… On explique ma mort par le suicide! Ça n’a rien d’un suicide! Si c’était un suicide, je ne serais pas marqué par la morsure de la bête! »

Portant ses mains à sa chemise noire, il la déchira subitement, enlevant les résidus de celle-ci pour les jeter au sol non loin. Il pointa une morsure béante à son épaule droite du bout de son doigt, celle-ci était bien ouverte, on pouvait y voir les traces de dents encore présentes ainsi que la couleur de la chair et du sang.

« Cette chose m’a mordu et m’a ensuite fait tomber, je n’avais aucun moyen de me relever alors que la chaîne me tordait le cou. Les gens étaient bien trop occupés à tenter de repousser cette bête immonde plutôt que de m’aider à me relever, malgré mes cris d’agonies, l’un m’a même dit que son devoir était de me protéger! Alors si cela est du suicide, si ce qui m’est arrivé est du suicide, alors c’est tout bonnement un suicide assisté et ce, sans l’autorisation du condamné.

Pour ce qui est de ce que je viens faire ici, je ne fais qu’accomplir ce que l’on me force à faire et cela ne doit certainement pas vous interesser. Si tu crois pouvoir vaincre ta peur… Alors je te propose fortement d’aller rejoindre ta bien aimée. Tu pourrais tomber… Sur un os… »

Il le regarda un moment, laissant un sourire paraître sur son visage comme si il insinuait quelque chose. Tout au long du discours il l’avait regardé dans les yeux, sans même broncher ou cligner de son seul œil.

Sous la menace de Hans, Jean éclata de rire. Il en riait aux larmes!

Sache que ma femme est morte voilà un an, brûlée par les Drows...
Je serais plutôt surpris si je ne tombais pas sur des os!

Mais justement, ce que tu es forcé à faire, cela m'intéresse, sinon je ne t'aurais pas posé la question...

Johanniel resta tranquille. Le temps que les hommes se parlent, elle elle avait un peu plus de temps pour repenser aux paroles. La seule chose qui avait attiré son attention qui avait beaucoup de misère a resté stable, Manorok était resté tranquille. La seule chose qu'elle fit était de prendre son frère voulant l'élloigner du mal qui regnait. La prêtresse se dirigea vers le jeune gobelin pour lui parler de simples petits mots sortir de sa bouche.

- Ça va?

Invité

Manorok était encore suos le choc de la révélation que Hans a été mordu, puis personne la aidé alors que tous le monde avait un scuicide. Il se réveilla de ses songes lorsque Johaniel lui parla.

-Quoi .. oh oui et toi, tu tiens le coup?

Johanniel sourit un peu déconcerter. La seule chose qui l'importait c'était de finir cette rencontre le plus vite possible. La prêtresse avait l'air plus que fatiguer. Jamais elle n'avait voulu de cela. Jamais elle n'avait même osé penser quequel chopse du genre lui arrive. Sylvar ne l'avait pas quitté ni Jalline non plus.

- Tenir le coup c'est facile mais rester debout c'est plus dure que tout le reste... je vais devoir refaire un autre campement... Pourquoi étais-tu venu ici au juste?

Invité

-Eh bien vois-tu, j'ai trouvé une lettre en plein de morceau et je voulais t'enprunter du papier et de quoi écrire pour la recopier.

Puis il sorti un des petits bouts de papier et le rangea aprè que Johanniel ets put bien le voir.

Johanniel chercha sur elle sa sacoche mais elle n'y était pas. La prêtresse l'avait enlevée quand elle était arriver seule avec Faënor. La jeune sylvar se faufila vers son sac pour y trouver du papier qui était avec ses crayons de couleur. Elle y trouva une feuille presque vierge et la ramena. La jeune en profita aussi pour prendre sa cape rouge car elle avait très très froid dans la nuit pendant que son feu s'étaignait et que son lapin brûlait.

La prêtresse se déplaça de quelques mêtres pour retrouver Manorok. Elle lui tendit le papier avec un sourire presque sincère.

- J'espère que ça va t'aider, mais je trouve que tu ne devrais pas être en forêt seul même pour me chercher. Essaye de toujours être avec Brico et l'autre... One? Imagine si tu te serais retrouvé seul avec lui (pointe Hans).

Johanniel soupira puis se retourna vers la cose de tous ses problèmes du jour.

Personnage : Hans

Sans perdre plus de temps, il amena sa main droite directement dans sa bouche, entrant celle-ci jusqu’au poignet comme si il fouillait et cherchait quelque chose de précis. Les bruits qui se faisaient entendre étaient répugnant et il finit par sortir sa main de sa bouche, le poing refermé. Il cracha au sol en s’essuyant la bouche du revers de sa main, toujours refermée, qu’il tendit en direction de Jean, l’ouvrant pour montrer quelque chose dans la paume de sa main. Une oreille pointue y était, très clairement une oreille d’elfe, couverte de bave et de caillots de sang. Il reprit son sourire en regardant le mage droit dans l’un de ses yeux.

« Je doute que nous parlions de la même personne tous les deux… Peut-être ceci te rafraîchira la mémoire, Jean? »

Lâchant l’oreille au sol, aux pieds de Jean, il se retourna brièvement vers les deux autres personnes, prenant un air sérieux. Il se pencha pour reprendre ses chaînes au sol, qu’il replaça comme elles étaient quand il était arrivé. Il se pencha à nouveau en prenant l’œil qu’il s’était arraché quelques instants plus tôt, l’observant un moment avant de tourner son regard vers Johanniel.

« Les morts ne voient aucun avenir. »

Écrasant l’œil dans sa main, laissant le jus s’en extraire et couler jusqu’au sol, puis le relâchant comme si il s’agissait d’un déchet. Puis il disparût subitement, ne laissant aucune trace de son passage mise à part l’œil desséché au sol. Même la chemise qu’il avait déchiré avait disparu avec lui. On pu entendre des murmures pendant un certains temps, puis tout redevint calme et lourd, les oiseaux avaient même cessé de chanter…

Invité

Toujours accrocher à Johanniel, le petit vampire regardait Hans disparait avec de grands yeux inquiets et lorsqu'il fut sur que ce dernier ne reviendrait pas il tourna sa tête vers sa grande soeur et lui dit d'un petit souffle troublé:

-C'est vrai que les morts ont pas d'avenir?

Il attendait la réponse avec incertitude, la bouche grande ouverte dans la surprise, on pouvait y voir ses petites canines légèrement plus pointues que la moyenne.

Jean avait pâli face à l'image de l'oreille pleine de sang. Ce n'était probablement pas l'oreille en tant que telle qui l'avait secoué, il avait vu de plus morbides images... Il se parla à lui-même, sans pour autant se rendre compte qu'il parlait à voix basse:
-Tin'riel... personne ici ne sait...alors comment...
Un éclair passa dans ses yeux. Il se retourna; sa pâleur était disparue; il avait un air sombre et déterminé.

-Manorok, Viens, ici!

Il donna au jeune homme une bougie qui s'alluma sans flamme. et en alluma une pour lui,qui elle éclairait d'une flamme bleue.

Aide-moi à patrouiller, nous alons voir sur quelques mètres s'il n'y a pas de mauvaises surprises. Et la bougie s'appelle ramène...

-Johanniel, le voyage que je devais commencer dans quelques jours, je dois le commencer le plus tôt possible.

En attendant, j'aimerais que tu utilises ma maison; elle est suffisament reculée dans la forêt pour que tu t'y sentes bien, et suffisament protégée pour éviter les écueuils qu'il pourrait y avoir. Je vais demander à quelqu'un de s'arranger pour que les trouble-en-fête dans le genre de celui-là ne vienne pas te déranger.

Johanniel était plus que troubler. Plus rien n'avait de sens au millieux de cette nuit qui était encore froide. Jamais, mais au grand jamais elle n'avait voulu de cela. Le feu n'éclairait plus vraiment assé pour être à l'aise autour sans surplus de vêtement, mais elle décida de s'y assoir quand même. Son visage exprimait une énorme confusion entre colère, tristesse et soulagement. La prêtresse se tourna vers son frère voulant le rassurer. Un sourire tendre vers celui-ci pu probablement lui redonner courage.

- Est-ce qu'un jour, je t'ai dit des choses semblables? Et puis est-ce que toi tu entrevois un avenir? Je suis certaine qu'il n'est pas quelqu'un ou quelque chose qu'il faut écouter! Je sais que Sylvar donne la liberté pour tous et l'égalité pour n'importe qui! Encore, Sylvar t'a donné des protecteurs et une protectrice car il savait que toi, plus qu'un autre, aurait de durs problèmes! Si jamais tu penses qu'il a raison, rappelle-toi toujours qui tu es et ce que tu peux faire pour toi même et pour Sylvar!

Puis, une fois le jeune en meilleur état, Johanniel se retourna vers Jean et sa proposition de bâtisse qui devenait un peu plus intéressante... Mais elle avait un plan qui serait mieux d'être fait en dehors des murs. Sauf que maintenant, la prêtresse savait que les morts aussi la pourchassaient.

- Je ne veux pas aller chez quiconque car je veux un chez-moi à moi! Mais je ne veux pas obliger Faënor à rester avec moi... Il a le droit de choisir la sécurité. Je ne veux pas le laisser mais c'est si dangereux...

La jeune sylvar se tourna vers son frère voulant savoir ce qu'il voulait. Elle ne voulait pas l'obliger à rester avec elle, mais elle ne savait plus quoi faire...

Invité

Après avoir rangée la feuiile et de quoi écrire, Manorok alla prendre la bougie prénomé Ramène.

-Je croit que même si nous cherchons, nous ne trouverons rien. Il faudrait mieu rester avec Johanniel.

Pui il déposa la bougie sur une table.

-Je ne sais pas si mon roi accepterais, mais les gobelins ont une cachette que seuls les goblins connaissent.Ton petit frère pourait y être en sécurité.

Invité

Faënor s'assit près de sa soeur avec un visage troublé. Il écouta tout ce qu'elle avait à lui dire et se sentit un peu plus rassuré, enfin jusqu'à ce qu'elle envisage se séparer de lui. Il lui pris la main et parla de façon déterminer, il parla comme son père l'aurait fait.

- C'est avec Johannel, papa et maman que je veux être.

Puis ses yeux enfantins brillèrent du même éclat que ceux de Desthaross lorsqu'il allait combattre.

-C'est Johannel, papa et maman que je veux protéger.

Puis il se leva. Il n'était pas très grand et sa petite cape noir lui donnait encore trop un air d'enfant perdu mais déjà il avait la classe des vrais Lunenoirs.

Invité

Le matin levé.

-Bon c'est pas tout mais moi j'y vais, aurevoir.

Puis il s'en alla.

Le soleil se levait dans une lueur rougeâtre que seul le printemps pouvait faire revivre. Le campement n'avait pourtant pas plus belle allure. Les gens dans le campement était plus que fatigué, Johanniel avait son frère près d'elle et Jean se tenait devant eu.

La disctuion était lente et encore plus dur pour la tête car tout le monde voulait dormir. Johanniel regarda la mini batisse qui était presque en miette. Maintenant il fallait décider de où allait aller Faënor.

- Je voudrais savoir pourquoi il est revenu me voir, mais je ne veux pas mettre mon frère en danger. Je ne peux le garder prêt de moi, il doit retourner avec nos parents mais ceux-ci ne peuvent pas le garder... Quelqu'un doit le prendre. Mais je ne sais pas qui pourrait vraiment le prendre pour qu'il soit bien...

-Tu ne peux pas le laisser à artémisia ou desthaross, le roi doit les faire surveiller de près que ça ne m'étonnerais pas...

C'aurait été la meilleure solution,selon moi...

La prêtresse regarda sincèrement Jean, elle venait d'avoir une idée...

- La seule personne de confiance qui reste, c'est vous. J'ai déjà emmené Faënor à Fontaine-Bleue, avec Arcel. Si vous l'emmenez avec vous, je suis sûre qu'il sera en sécurité. Cela me permettrait de pouvoir pourchasser ce mort-vivant.

Johanniel croyait que c'était la seule solution valable. Avec le départ de Jean, cela donnerait une vie plus facile à son petit frère.

À la suite de la demande de Johanniel, Jean la regarda,les yeux ronds.

Tu veux que j'emmène Faenor dans une place forte elfique dans un pays en guerre? Et tu crois qu'il sera en sécurité là-bas? J'aurai déjà du mal à m'arranger pour ne pas me faire tuer, de là à emmener le petit avec moi...

La sylvar touva son idée bien trop bonne. Elle regarda Jean l'air déterminé qui semblait la rendre amusée. Ses yeux étaient remplis de ruse.

- Mais il n'y a qu'avec vous qu'il serait plus en sécurité. Personne là bas ne le connait il ne risque rien contrairement à ici. Et puis l'éloigner quelques jours pourrait me permettre de mettre fin à quelques problèmes. Je vous en conjure Jean il faut le prendre avec vous. Il vous connait, il sait ce qui va se passer. Jamais il n'y aura de problèmes à vos côtés.

Je vais m'occuper de faire en sorte que quand il reviendra, je serai complètement prête à l'avoir avec moi. Je vais devoir enlever se campement pour en faire un autre et je vais m'occiper de faire disparaitre ceux qui nous veulent du mal.

Johanniel était complètement sure que c'était la seule solution à son problème. Si jamais Faënor partait, elle aurait encore plus de surté de le voir plus loin.

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