Chez Johanniel!

Johanniel déposa son frère dans le lit simplifier qui lui appartenait. Ce n'était pas grand chose, un ta de petite fourrure pour se tenir au chaud. Elle alla ensuite près des verstiges du feu du matin et dénicha de quoi en partir un autre. Quelques bouts d'écorse, un tison encore assez fort et des branchaille de sapin. À chaque jour c'était comme un automatisme. Dans son corps tout entier elle savait quoi faire sauf dans sa tête. Ses souvenirs ne datait pas d'il y a longtemps mais ses membres avaient proutant mémoriser chacun des gestes dont elle formait son cotidient.

La prêtresse de la nature avait entouré son campement de ce qu'elle aimait, des arbres et Sylvar en grande parti. Mais pour sa sécurité, elle avait éloigné sa batisse qui n'était qu'un ta de crosses branches entourer d'un air de feu avec bien des branchailles pour allimenter celui-ci. Elle avait comme propre lit une boule de tissus près du feu.

L'arrengement allait parfaitement avec l'humeur noir de la jeune depuis sont renvoit du conseil (elle ne se souvenait de presque rien de l'événement sinon du séjour en prison qui y avait suivi) car le campement était dans un noir casi total sauf quand le feu éclairait leur visage. Un silence, aussi, englobait chaque geste que pouvait faire toute personne, un silence de marbre qui recemble au pincement que l'on peut avoir un peu plus bas que le coup et plus haut que l'estomac quand on est déchirré ou perturbé.

Johanniel n'était pas bien. Et Faenor avait le dont de le deviner que la pauvre n'aimait pas plus que lui ce qui se passait. Le seul bien dans ce campement était surement quand Johanniel et Faenor jouait ensemble.

La jeune finit par allumer un feu qui lui réconforta l'ame tout entier. Elle prit un bout de bois et son couteau. Seul arme dans le campement elle le tenait proche d'elle en tout temps. Johanniel recommença à travailler sur le futur jouet... Elle fixait Faënor de sa place.

- Ça va aller, demain je te laisserai à quelqu'un en soiré si je vais voir quelqu'un d'autre pour règler un problème... Mais je reviendrai dormir avec toi.

Une lueur verdâtre apparut soudain. Elle provenait de la droite de Johanniel, et semblait se concentrer dans un cylindre d'environ trente centimètres, lui même flottant à cinquante centimètres du sol.

Derrière cette lueur maladive, une silhouette noire se profilait...

-Feu, feu, joli feu...,dit une voix grave.

La prêtresse se leva d'un seul bond se mettant devant l'enfant, couteau à la main. Johanniel croyait son refuge inconnu de tous mais maintenant elle devait réagir. Elle se sentait prise au piège comme un animal dans un colet de chasseur. La jeune n'eut pas le choix, après avoir rassuré de quelques paroles l'enfant, elle cria à la personne en face d'elle:

- Qui va là? N'avancez plus! Restez où vous êtes et dites qui vous êtes!

Une bien curieuse façon d'accueillir un invité: la menacer avec un couteau! railla la voix.

Si j'aurais vraiment voulu faire du mal à toi ou à Faenor, je ne me serais pas annoncé; tu serais déjà inconciente sur le sol à l'heure qu'il est.

La jeune éclata! Sa peur, bien que toujours présente, alla se cacher dans un trou de son cervaux pour laisser la colère, la frustration et la rage prendre le dessus! Sans vraiment savoir qu'est-ce quelle fesait, elle se redressa et brandit le couteau comme si celui-ci aurait été une épée. Elle avança de façon à pourvoir tenir tête à l'homme.

- Qu'est-ce que vous voulez? Mon argent? Ma nourriture? Moi ou mon frère? Faites attention, il me suffit de dire un mot pour que 5 guerriers arrivent et là vous n'aurez plus la chance de reculer!

La voix répliqua, moqueuse:

Je ne crois pas avoir besoin de reculer; quand tes cinq guerriers arriveront, si guerriers il y a, ils éclateront de rire et retourneront d'où ils sont venus presque aussi rapidement.

Et quand à ce que je veux...

La silhouette s'avança; la lumière verdâtre disparut. Johanniel put enfin distinguer le visage de Jean éclairé par les flammes.

-Et si je te disais que je voulais rien d'autre que de te parler?

Johanniel rangea son couteau. Elle se rassit tranquillement ne quittant pas Jean des yeux. La jeune avait vraiment l'air à bout.

- Viens. Tu peux t'asseoir...

La prêtresse donna quelques branches de plus au feu avant de reparler.

- Comment m'avez-vous trouvé?

Jean se rapprocha lentement, puis s'assit près du feu. Il désigna celui-ci de sa msin gantée tout en disant:

-Le feu... Il n'y a pas tant de lumières que ça dans la forêt. Bien sûr, ce n'est pas ce soir que j'ai découvert le feu... Tu devrais le placer de manière à ce qu'on ne le voie pas.

- Mais je croyais que...

Commeça la jeune mais elle s'interrompu. Elle replongea ses yeux dans le feu et avant de continuer ce qu'elle voulait elle pensa à se calmer avant tout.

- Je ferai attention en déplaçant le campement.

Et pourtant, elle croyait dure comme fer que le campement était si loin des autres que seul une personne allant souvent et loin d'emlok se promener pouvait avoir une chance de la trouver.

-Oh, je ne crois pas que ton campement a expressément besoin d'être déplacé, de toute façon, je ne serai plus à Emlok après-demain.

La jeune prit la peine de sortir Jalline et l'envoyer en chasse avant de répondre.

- Où irez-vous? Et combien de temps serez vous partie? Je croyais qu'avec les nouvelles vous seriez resté...

Des nouvelles? Quelles nouvelles?

Certaines nouvelles que les paysants colportent mais que personne ne voit. Vous saviez certainement que le roi est absent depuis plusieurs jours et que personne ne sait ce qui en est à son sujet.

D'autres messages sont moins visible mais toujours dites. Je ne vais pas perdre mon temps à reconstruire des maisons qui me sont à jamais interdit comme au hors-la-loi.

La prêtresse regarda au loin voulant savoir si Jalline allait bientôt revenir.

Avez-vous faim? C'est mon cas...

Johanniel avait attendu la réponse qui ne vint jamais l'homme était probablement dans la lune... la jeune ne fit aucun mouvement brusque mais continua d'attendre la bebitte.

Celle-ci arriva finalement un lapin la suivant. Johanniel prit en charge l'animal qui semblait un peu perdu. Avec délicatesse, la prêtresse amena la bête vers Faënor. L'enfant ayant faim prit l'animal qui se mit soudainement à se débattre pour s'abreuver de son sang. Bien sur le lapin finit par simplement ne plus bouger car le jeune avait aspiré tout le sang qui lui était possible.

Johanniel reprit l'animal fraîchement mort et le mit sur le feu voulant le faire cuir pour le manger une fois prêt. Elle se retourna vers Jalline la flattant vigoureusement pour la remercier. Puis, elle se tourna vers son frère qui avait encore du sang autour de la bouche et qui il était tout heureux d'avoir bien mangé. Ensuite, la prêtresse regarda Jean, en silence, elle n'avait rien rajouté.

La demeure de la jeune fille sembla vaciller, comme si elle était sur le point de s’écrouler alors qu’un immense coup de vent passait, sifflant aux oreilles des personnes présentes. Un étrange murmure pu être entendu, à peine inaudible et voyageant avec la bourrasque de vent. Le vent cessa de souffler et tout semblait reprendre son calme alors que des branches commençaient à craquer à l’extérieur. Une forme se dessina à l’entrée, jusqu’au moment où la silhouette pu être observable. Le jeune homme portait de lourdes chaînes au cou et aux mains, l’une de ses côtes était arrachée sans toutefois saigner et son visage était couvert de sang au point où il était difficilement reconnaissable. La jeune fille put toutefois reconnaître l’homme qu’elle avait laissé mourir enchaîné à un arbre, un an plus tôt alors que les cauchemars commençaient en Emlok; Hans. Il s’avança quelque peu, visiblement peu lucide et plus confus que jamais il ne l’avait été et laissa s’échapper un autre murmure, qui put cette fois être audible.

« Pourquoi… Pourquoi m’avoir abandonné entre ses griffes…? »

L’homme serra ses poings contre les chaînes qu’il portait alors que son visage prenait une expression colérique. Ses dents serrées se démarquèrent pendant qu’un étrange filament noirâtre sortait de sa bouche. Décidément, il n’avait plus rien d’un être vivant, mise à part le corps, mais encore…

Johanniel avait eu peur premièrement que l'abri ne lui tombe l'iteralement dessus. La prêtresse fut avertie de la présence de l'homme par le bruit que fesait ses chaînes. Elle cru d'abord que quelqu'un voulait les prendre et les capturer. La jeune sauta sur ses jambes criant à Faënor de venir près d'elle. Ce que celui-ci fit en grande vitesse.

Johanniel se retourna vers le bruit d'où elle vut apparaitre quelqu'un qu'elle croyait mort depuis fort longtemps. Cet homme avait l'air en mauvais état. Laissant son frère derrière elle, elle approcha très doucement la personne comme elle le fesait avec n'importe quel créature de Sylvar ou monstre de toute sorte.

- Vous... Vous êtes en vie... Laissez moi vous aider... Je... j'aimerais tant vous aider....

La jeune était tramblante de partout. À moitier couverte par ses vêtements car ca cape était restée par terre, elle frissonait de tous son corps encore. Jean pour ça part n'avait fait aucun geste. Il avait tourné la tête et à la lumière du feu était resté surpris de revoir se personnage.

Personnage : Hans

Le corps de l’homme se crispa au complet, ses yeux devinrent plus sombre et la fumée noir s’échappant de sa bouche ne fit que s’épaissire davantage alors qu’elle avait prononcé sa phrase. Il prit la parole sous l’impact de la colère, sa voix ressemblant à un râlement, coupé de quelques grognements.

« M’aider… M’aider!? Comment!? En m’attachant à un arbre par le cou et les mains alors qu’une créature est à mes trousses? N’as-tu pas une once de culpabilité!? C’est de ta faute si je suis mort! De ta faute, comprends-tu!? Tu ne m’aideras pas, ni toi ni personne, plus personne ne peut m’aider à présent! Pourquoi!? C’est bien à cause de toi, si je n’étais pas mort ce soir là, peut-être aurais-je pu survivre et me débarrasser d’eux une bonne fois pour toute! Vois ce que je suis devenu, vois ce que je suis à présent! »

L’homme porta une main à son œil droit immédiatement, ses doigts se crispant tel une griffe, il plongea celle-ci directement au creux de son œil et se mit à crier de douleur. Son cri aurait pu être entendu à des lieux de l’habitat. Il tira son œil hors de son orbite en achevant son cri de douleur, qui se transforma vite en des lamentations, sa respiration devenant saccadée. Son œil ne possédait pas de veine le rattachant au reste de son corps et il se contenta de le jeter au pied de la jeune fille, crachant quelques mots pendant que son orbite, lui, se vidait d’une énorme quantité de sang. Il ne semblait toutefois pas trop en souffrir, ni même vaciller.

« Souviens-toi de moi, pour toujours. »

Johanniel resta sous le choque. Elle ne pensait pas mal faire... elle voulait réparer cette faute... Sylvar ne pouvait faire revivre les gens mais lui... il ne l'avait pas mérité et encore elle aurait du prendre sa place. La jeune ne comprennait pas se qu'elle pouvait encore faire. Jamais elle n'avait eu l'intention de lui faire du mal au contraire.

Cet homme avait besoin d'aide et la prêtresse ne pouvait rien faire cela la mettait triste de voir le sorte de Hans.

- Pourquoi êtes vous encore ici si rien ne peu plus vous aidez... si Sylvar vous a laissé ici c'est que je pouvais vous aider, ou que vous pouviez encore m'aidez... Je sais que je ne le mérite pas mais... Sylvar aide tous ceux qui le demande... Pour m'a part c'est à vous que je demande pardon. Il est inutil que vous ayez été puni pour se que j'ai fait...

Personnage : Hans

L’homme s’était immobilisé et son expression colérique s’était effacé. À la fin du discours, sa bouche s’élargit jusqu’à devenir un sourire étincelant. Il laissa un mince rire s’échapper de sa bouche, mais son seul œil ne semblait pas suivre le reste de l’expression, il était rempli de tristesse, contrairement à ce que le corps voulait laisser paraître. Puis il prit la parole sur un air machiavélique, sans la moindre faille outre son œil.

« Ceux qui meurent par la peur, vivront par la peur et ce, éternellement. »

Puis l’être tourna sa tête en direction de l’enfant de très jeune âge, son sourire s’élargissant de plus belle, il se contenta de ramener son regard vers la jeune fille, attendant une réaction de sa part.

Jean,pour sa part, s'était levé et avait attiré Faenor derrière lui. Il avait suivi l'échange en restant décalé de quelques centimètres de Johanniel, de manière à pouvoir observer le "mort" et Johanniel et à intervenir au besoin.

Johanniel retenait son souffle. Sa tristesse ne disparu pas mais son instent de protection pour son frère avait pris le devant. La prêtresse avourait sa faute et encore elle voudrait bien payer pour quelque chose qui est de son devoir mais l'enfant lui n'avait rien à voir là de dans. Avançant de quelques pas pour se mettre en premier plan pour que si ''l'homme'' voulait attaquer se soit elle et non quelqu'un d'autre qu'il frappe.

- Je ne comprend pas... Dit-elle avec lenteur. Je ne comprend que vous ne puissiez trouver la paix en rejoignant Sylvar... et encore je ne comprend pas que se ne soit pas votre colère contre moi qui vous garde ici... mais surtout je vous demande, je vous supplie de ne faire de mal à personne car personne d'autre que moi n'est responsable de ce qui est arrivé.

La sylvar avait presque les larmes aux yeux. Elle s'en voulait. Elle se disait à elle-même que tous ce qui arrivaient à Emlok était probablement de sa faute. Que si elle n'aurait pas été dans le conseil celui-ci foncionnerait mieux, que si elle n'aurait pas aider les loup garous Arcel ne serait pas prit avec se problème et encore que si elle n'avait pas été là Desthaross et Artémisia ainsi que tous ceux qui sont impliqués n'aurait pas de problème avec le roi si elle n'aurait pas fait ce qu'elle croyait bien faire. La prêtresse regrettait presque chaques gestes qu'elle avait posés, chaques idées qu'elle avait eues et chaques actes qu'elle n'avait pas fait.

Invité

Manorok entra dans la cabane tout enjoué.

-Joha...

Il vit Hans et le visage de Johanniel, instinctivement il sorti son épée et un dague, prêt a agir.

Personnage : Hans

Une larme coula du seul œil qu’il avait à présent, mais son sourire ne devint qu’encore plus grand qu’auparavant. L’étrange fumée noirâtre qui s’échappait de sa bouche avait maintenant commencé à s’échapper de son orbite vide. Il prit la parole de la même façon qu’il avait annoncé sa dernière phrase.

« Il serait dur de trouver la paix avec Sylvar en voyant ses messagers… Si irresponsables, jouant avec la vie des autres comme s’il ne s’agissait que de vulgaires pantins! Pleures, Pleures toutes les larmes de ton corps jusqu’à te dessécher, vile charogne! Tu te nourris de la mort des autres, tu profites de l’agonie pour satisfaire tes besoins, tu es ignobles! Je n’ai aucun besoin de faire du mal à qui que ce soit, tu en es parfaitement apte! Ceux se trouvant près de toi sont en constant danger, tu es une menace! Lorsque tu tues quelqu’un, tu mérites le même châtiment, là est l’équilibre! N’est-ce pas le dogme de Sylvar, l’équilibre!? Alors si tu veux faire plaisir à ton Dieu, tu sais très bien ce qu’il te reste à faire! »

Portant ses mains aux chaînes qu’il portait au cou, il les enleva sans difficultés, les jetant aux pieds de la jeune enfant sans prendre compte de l’arrivée de Manorok.

Johanniel tourna un regard triste vers Manorok. La prêtresse avait de sombres pensés qui lui vint avec les parole de Hans. Elle ne voulu pas le regarder quand celui-ci lui parla et elle ne vit pas les chaînes par terre mais elle les entendit. La jeune sylvar avait l'esprit tellement trouble que plus rien de physique aurait pu la réveiller.

"Et si c'était vrai. Si vraiment ce que j'avais fait était si terrible que le seul jugement de Sylvar soit la mort. S'il venait ici pour me retourner d'où je viens... Mais encore, personne ne sait d'où je viens et personne ne sait qui je suis. Que me reste-t-il comme choix?"

La prêtresse n'en pouvait plus de sentir tout ce poid. La force des paroles du mort-vivant la fit tombé par terre. Seule la force du dernier espoir ne l'avait pas fait ternir. En relevant très tranquillement les yeux dabord sur la chaîne puis sur l'oeil et finalement sur l'homme. Elle ne pouvait plus reculer ni se défendre contre un dieu.

- Vous avez tord!... Si ce que j'ai fait n'était pas ce que Sylvar attendrait de moi, c'est lui même qui me donnerait le chatiment que seul lui peut décider! Je n'ai jamais voulu et il le sait! Je n'ai jamais que fait ce que je croyais le plus près de la justesse que Sylvar veut! Si ma main vous a tué c'est la votre guidé par Sylvar qui me tura... Je suis prête si Sylvar le veut à aller pour lui aussi loin que n'est pas possible d'aller.

Je ne sais même plus pour qui je pourrais vivre... mumura-t-elle. Sinon pour Sylvar, alors autant que celui-ci me soit autant fidel que j'ai pu l'être le temps que j'ai pu le faire...

La jeune fille ne pouvait faire autrement que sangloter. Elle essaya de cacher ses yeux aux autres mais elle ne pouvait cacher que sa force tombait. Que tout ce qu'elle avait cru vrai depuis son plus lointain souvenir venait de tomber et qu'encore une fois elle était seule car personne d'autre ne pouvait faire quelque chose contre ce qu'elle même avait approuvé, son dieu. Son coeur était maintenant tellement petit dans sa poitrine qu'il lui broyait toutes les organes proches et encore que sa gorge se serrait tellement que seul quand elle criait ses mots étaient odibles aux autres.

Invité

Faënor ne suporta pas plus longtemps que la ''chose'' fit du mal à sa soeur. La voir pleurer lui était insuportable et il se précipita près d'elle en l'entourant de ses petits bras sans se préocuper de la créature qui lui fesait peur.

-Pleure pas Johannel, il est méchant lui. Les méchants font pleurer les gentils avec des choses pas vrais.

Puis il se serra un peu plus contre elle.

-Moi je t'aime Johannel et je veux pas que tu pleure, papa et maman aussi ils aiment Johanniel, Jean aussi et tonton Cadrius aussi et pleins de personne que je connais pas le nom aussi. Et c'est parce-que Johannel est gentille que pleins de personnes l'aime et lui c'est pas une personne, c'est un monstre et les monstres aiment personnes et ils font mal aux gentils comme toi.

Puis il regarda Johanniel d'un air suppliant, il voulait s'en aller, loin de ce monstre et aller voirs ceux qui les aimaient réellement.

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