avec les villageois

Johanniel qui était distante avec tout le monde autant Luxis que son père. Elle passait le plus claire de son temps seul avec son frère dans la forêt. Pourtant, la prêtresse passait quelques fois devant l'auberge mais sans dire un mot et elle évitait tous ceux qui était au banquet autant Jean que Xanatas que Jezz.

Aujourd'hui, la jeune adolescente venait voir les villageois, elle les savait inquiets. Et elle voulait les aider un peu et elle leur fesait confience plus qu'aux "héros". Elle s'arrêta près d'une maison nouvellement construit, il semblait qu'une famille s'y était installé. Elle si approcha lentement voir si elle pourrait leur parler.

peut-être voudrez-vous me répondre en tant que villageois... sinon je vais inventer toute seule

Tom s'approchait lentement de Johanniel. Il leva la tête tranqulement pour écouter la jeune priante de Sylvar avec attention... Il semblait tout à fait à son état normal...

- Bonjour...

La prêtresse regarda les maisons en reconstruction et les villageois au travail et demanda simplement:

- Est-ce que je peux aider les constructions?... J'aimerais bien participer...

Bien qu'elle était fatiguée la jeune décida de mettre la main à la patte. Ce devait peut-être être la première fois que quelqu'un qui avait assister au conseille aidait comme ça le peuple... Johanniel n'en savait rien mais aujourd'hui elle voulait aider un peu plus...

Quelque minute plus tard, Johanniel était toujours entrain de donner un coup de main aux villageois. C'est a ce moment que Desthaross arriva. Toujours muni de sa Grande Épée et de son armure de Cotte, Il fixa sa fille, Adossé a un arbre. Son regard ce possa ensuite sur les travaux qu'effectuait les villageois.

Le Vampire fini par arrêter de simplement regarder et ce dirigea vers sa fille. Arrivé a c'est côter, il prit parole sur un ton bas, Presque un murmure.

-Tu va bien.. Je te cherche depuis plusieurs jour.. Ta mère et moi on s'inquête. Tu n'est même pas venu nous donner de tes nouvelles.

Desthaross avait l'air un peu faché mais son ton de voix et c'est expression facial en disait le contraire. Il dépossa une main froide sur l'épaule de sa fille et la rapprocha d'elle lentement.

-Fait attention, J'ai entendu dire qu'une armée allait ce former. Et ceux qui ne ci pliront pas seront sévèrement puni. Je ne veux pas qu'il t'arrive quelque choses. Ni a toi, Ni a Faênor.

En prononçant le Nom Faênor, Il baissa son regard rougit sur son fils qui repossait dans le bras de Johanniel. Un mince sourire ce déssina sur ses lèvres.

-Comment va Faênor? Il ce porte bien? Des gens le cherche?

Regardant maintenant la Jeune Prêtresse, Il ce gratta la nuque intérrogativement.

Invité

Les paysans qui travaillaient en groupes de quinzaines de personnes ne s'aperçurent pas tout de suite de l'apparition de la jeune fille. Mais lorsqu'on la vit les outils en main, une femme lui proposa tout simplement de rapporter de l'eau aux hommes pour qu'ils puissent s'abreuver. À l'évidence, le passé de la fillette ne semblait pas faire de différence sur la perception que les travailleurs ocupés avaient d'elle. Mais à l'arrivé du vampire, certains prirent peur et se reroquevillèrent sur le coin de leur tâche, d'autres semblèrent reprendre du courrage, finalement les derniers chuchottèrent entre eux et alors que certains hochèrent de la tête, d'autres la secouèrent et se remirent au travail. Un des paysans déposa ses affaires et prit le chemin du château.

La jeune prêtresse sembla un peu surprise que son père soit venu ici pour lui parler. Elle savait très bien que ce n'était pas sur et que l'endroit n'était pas propice. Johanniel le regarda puis lui montra l'enfant qui avait un peu faim mais qui était très bien.

- Il ne manque de rien... Je m'en occupe du mieux que je puis le faire...

La jeune regarda les paysants qui ne semblaient pas tous a laise avec un vampire... Elle se retourna vers son père un air un peu taquin sur le visage.

- Tu veux nous aider? Je suis sur que tu voudrais passer un peu de temps avec ta fille et ton fils. Il y a toujours quelque chose à faire ici...

Elle le regarda avec encouragement et elle le supplia de rester. Elle savait que se serait bien pour leur image face au bas peuple.

Desthaross regarda avec amour et tendresse sa jeune fille et son fils. Son regard supliant ne laissait pas de place pour un refus et malgré tout il n'avait aucunement envit de refuser quoique ce soit à ses enfants. Mais sur le fait il remarqua un paysan s'éloignant vers le château, le vampire savait très bien ce que cela voulait dire et se tournant un instant vers Johanniel il lui dit doucement:

- Bien sur ma puce que je vais rester pour t'aider mais attend moi quelques secondes.

Sur ces mots le vampire fit un bond phénoménal et atterit directement face au paysans. Sans menace ni rage malgré le mépris qu'il resentait il s'adressa à ce dernier.

- Dit moi pourquoi cours tu ainsi me dénoncer au château? Il t'importe tant que je ne vois plus mes enfants? Tu crois que je ne voit rien et que je ne resent rien peut-être... Détrompe toi. J'ai renier le plus cruel des dieu pour servir tout le peuple d'Emlok sans distinction de religion alors fait moi une faveur paysan, reprend tes outils et viens nous aider à rebâtir. Oublie ceux qui n'ont réellement pas de coeur et qui vous laisse tout faire vous même.

Je suis prêt à vous aider sans rien demander en retour, mais par contre si tu continue ta course vers la château tu seras toi aussi ce qu'est d'être priver des être aimer, mais toi je t'en priverais pour l'éternité. Est-ce bien clair? Je te conseille de prendre l'occasion que je t'offre car en temps normal tu serais déjà mort, ma patience et mon amabilité ont une limite sur lesquels je n'aime pas que l'on crache.

Sur ce il regarda froidement le paysan attendant que ce dernier retourne au travail avant de lui-même aller aider à la reconstruction au côter de sa fille et de son fils.

La jeune regarda le père, découragée. Elle prit la fameuse gourde avec l'eau pour en dirstribuer et demanda gentiment à la femme où son père pourrait aider. Elle savait son père aidant bien que vulgaire, il serait parfait pour construire quelque chose. Johanniel laissait Fainor en vue et continua de travailler. Elle se tourna vers son père.

- Il y a d'autres moyens de faire savoir notre pensée sans menacer les gens! Tu aurais pu l'interpeller!

Desthaross soupira quelque peu décourager puis calmement il expliqua à sa fille:

- Johanniel... Je n'es aucun respect pour ceux qui obéissent aveuglément à autrui. Ce paysan obéit au roi sans se poser de question, il ne prend même pas la peine de ce demander si cela est préférable pour lui de me faire du tord. J'ai promis protection au peuple et je m'efforce d'être avec eux quoiqu'il arrive et en échange de cela je ne leur est demander ni titre de noblesse, ni or, ni même de la reconaissence mais seulement de pouvoir vivre avec ma famille en paix parmis eux. J'ai déjà fait beaucoup pour eux mais malgré cela ils préferent obéir à un roi qui n'a rien fait sauf harceler une enfant et priver un homme de sa famille. J'en est asser de cela, je ne crois pas pouvoir tenir encore longtemps devant toutes ces imbécilités et un jours ce sera surment à coup d'épée de je devrais suprimer leur idioties. Leur plus grande idioties étant ce roi....

Sur ce Desthaross retira sa cotte de maille et alla la mettre dans un coin chaud pour y déposer Faênor amoureusement. Puis planta son épée dans le sol geler hors de porter de l'enfant mais asser prêt pour rappeler à quiconque que c'est par le fils de cette épée que l'on doit passer avant de toucher au petit sans permision.

Invité

Le paysan en peur eu le réflexe de s'agenouiller pour supplier le pardon du vampire. Après avoir juré de n'aller jamais raconter ce qui s'est dit il retourna à son travail. Pourtant bien plus tard à la tombée de la nuit, qui sait ou il passa. De nombreux paysans applaudissèrent au discours du père, d'autres, suivant la foule, firent des applaudissements timides. Du côté de Johannie, la femme indiqua qu'il y avait de gros arbres à couper pour établir des poutres principales solides aux maisons.

La jeune fille regarda la réaction du peuple avec étonnement. Elle n'imaginait pas que certain d'entre eux pouvaient penser comme elle et son père. Elle remercia la dame puis alla rejoindre son père devant l'homme à genoux. Parlant pour que l'homme puisse être rassuré.

- Va, si c'est là ce que tu crois être la solution à tous tes problèmes. Pour ma part, je suis venu aider et c'est aussi ce que veut mon père. Je ne te ferai rien et lui non plus (pointe Desthaross). Le roi ne viendra pas et je le sais, la seule chose qu'il osera faire c'est d'envoyer ses chiens de garde.

Johanniel se retourna vers son père un sourire aux lèvres.

- Il y a des troncs d'arbre à abattre si tu veux et il faudra les assembler pour en faire une nouvelle maison.

Deshtaross, Un sourire fier au lèvres, ce tourna vers sa fille et l'embrassa sur le front.

-Alors je vais toute suite abbatre quelque troncs d'arbre. Tu voudrai m'aidez par la suite à assemblé la maison avec quelque paysan? J'aurai besoin d'aide surment pour tenir les poutres le temps que je place les murs.

le Vampire ce tourna vers la grande hache planté dans un troncs. Il fît un bref sourire a sa fille, Fier d'avoir mît sa cruauté de côté pour un simple moment. Car pour sur il ne voulait pas la laissé someillé trop longtemps dans lui, Car il le savait très bien que plus il la laissait dormir, plus elle sortira avec puissance. D'un sens, qui sait, Peut-être que c'était son idée.

Il arracha la hache planté dans le troncs avec aissance et commença a abbatre un arbre. Trois à quatre coup et c'était déja fini. Il tracha par la suite l'arbre en plusieurs billôts de bois bien rond. C'est alors qui'il répéta l'action j'usqua ce qu'on lui disent de c'essez.

Alors qu'il donnait un coup dans un arbre, un bruit retentissant de métal frappant contre le métal se fit entendre.

Peux pas laisser ma canne en quelque part sans qu'on tente de la trancher en morceaux!

Jean arriva à côté de Desthaross, couvert de sciure et une scie à la main.

'Me disais aussi,y'a que toi qui peut faire protester ma canne aussi fort!

Il serra la main de Desthaross et fit un bonjour de l'autre main à Johanniel.

J'avais demandé de l'aide pour la construction des chaumières, mais je ne croyais pas tomber sur vous deux!

Puis il rammassa la scie qui lui avait échappé pendant la poignée de main.

Ternès qui avait vu toute la scène approcha de Destaross et lui dit

Avez-vous du travail pour moi? J'aimerais bien aidez le peuple moi aussi...

balzer qui venait juste d'arriver. vois les gens qui travaillaient.il se dit que si il voulait conaitre les gens de se royaume il avait pas mieu que de les aider à travailler. il s'aprocha donc du group pour dire

bonjour jeune gens puisent vous aider dans votre travaille.

il les regarda a tour de role en attentant leurs réponse.

Desthaross posa sa hache au sol et donna une vigoureuse poignée de main à Jean avant de s'adresser à celui-ci.

-Jean mon bon ami, tu sais bien que Johanniel porte aide à tous et puisque je passais par là elle m'a demander d'aider aussi, impossible de lui refus quoi que ce sois.

Puis voyant Tèrnes arriver Desthaross repris sa hache bien en mains en fixant ce dernier, convaincus qu'il venait s'en prendre à lui. Mais lorsque qu'il posa sa question le vampire eu l'air surpris une fraction de seconde avant de répondre, sourire méprisant au lèvres.

-Tu pourrais te planter au milieu du village cher Terne (la faute du nom est voulu), tu nous éclairais lorsque la nuit viendra.

Et lui lançant un regard méprisant il se tourna ensuite vers le nouveau et le jaucha de la tête au pied avant de lui pointer la villageoise qui avait indiquer ce qu'il fallait faire à Johanniel.

-Va voir cette dame, elle te dira quoi faire pour aider.

Sur ces mots il se retourna vers Jean.

-Bon je vais continuer mon travail...

Il se dirigea vers un arbre et d'un seul coup spectaculaire il l'abattit. N'ayant pas l'air de bonne humeur il continua à abattre les arbres et les transformer en poutres avec une force et un air sauvage, on aurait dit qu'il s'acharnait sur un corps ennemis.

Nombre de messages : 35 Age : 34 Date d'inscription : 17/10/2006

Kaylan regardait les villagois construire depuis un bon moment. Il n'avait jamais été bon pour construire des maison. Aussi apres un moment de reflexion, il alla voir la femme que Desthaross avait pointé pour le travail.

Bonjour madame, j'aimerais moi aussi aider. Je vous offre mes services si vous voulez d'un bon chasseur pour aider a nourrir tout ce monde.

Il dit ces derniers mots en montrant d'un geste de la main tous les villageois. Il avait souvent chassé dans son passé et savait etre discret. Il ramenait la plupart du temps du gros gibier.

Le priant de Sylvar regardait la scène de loin, assis près d'un arbre, scrutant la scène pitoyable...
Il n'entendait pas ce que disait les gens, mais ça lui était bien égal, ce n'était pas trop compliqué à deviner...
Et puis, au lieu d'essayer de trouver des solutions, les gens faisaient encore un mauvais choix... Ils gaspillaient leur force au lieu d'essayer de toruver des bonnes solutions...Bande d'idiots...

Johanniel continuait son travail sourire aux lèvres, il y avait même une vague chanson pour ceux qui était autour d'elle. Elle apportait outilages et matériaux à ceux qui lui demandait et fesait exactement ce qu'on lui demandait.

Elle se tourna vers l'arrivage de nouvelles personnes leur fesant un sourire. Le soleil venait peut-être tout juste passer midi. Les travaux dureraient peut-être plusieurs jours même avec des guerriers aussi fort.

La prêtresse se doutait que pour ses efforts à l'ouvrage Sylvar l'avait remercié en lui envoyant d'autre personne plus forte. Elle ne l'oublirait pas. Tous ces gens de toutes les religions sont un exemple de se que peux faire Emlok ensemble.

Elle sentait bien que certain devait les voir agir et dire que se n'était pas leur combat car eux n'habiterait pas dans ses cabanes même la jeune c'était demandé si c'était bien de le faire. Elle se disait que peut-être se soir pourrait-elle partager une table avec eux.

La jeune continua son travail chantonnant certaine parole pour elle même.

Personnage: Hébert Lalancette

Un homme d'âge mûr, de forte ossature et portant la moustache s'approcha de Desthaross qui coupait du bois. Il s'arrêta à un mètre de lui, dans son dos, et posa son marteau sur son épaule droite.

" Vous m'excuserez mon p'tit Monsieur, mais on vois visiblement que le buchâge de bois, c'est pas vo't fort. Faut de l'expérience dans c'domaine là, s'agit pas juste de frapper un tronc n'importe comment! Si vous voulez vraiment vous rendre utile, mon p'tit Monsieur, vous feriez bien mieux d'aller aider à la construction de la maison. Tout ce que vous aurez à faire, c'est écouter c'qu'on vous dira de faire, pis l'faire. Tout l'monde peut faire ça, clouer des clous, mais ça va aller plus vite si on est plus! Laissez les arbres pour les experts, ce sera mieux pour tout l'monde."

Puis, il lui fît signe de venir vers la maison en construction, lui tendant son marteau à une main.

le priant de Sylvar commençait à avoir faim, et en avait marre de regarder les gens travailler alors il se leva et se dirigea vers le chantier de construction...Salua quelques paysans au passage et regarda d'un regard sombre Desthaross...
Puis, il tourna son regard vers Ternès...

-Au lieu de perdre ton temps ici, suis-moi, j'ai à te parler...

ouais,viens donc m'aider Desthaross,on a encore de la charpente à placer avant le coucher...

au fait, j'aimerais savoir ou est passé le jouet que je t'ai prêté voilà presque une lunaison...

balzer remercia Desthaross, qui trouvait mistérieu. et partie voir la villageoise qu'on lui avait poiter pour lui demander se qu'il pourait faire pour les aiders. après lui avoir dit quoi fair il se mi au travail. il s'arrêtait souvent pour regarder le group de gens dont il savait aprocher tout a leur.
il se demandait qui etait la mistérieu personne qui l'avait répondu et porquoi il avait l'air facher.

Desthaross arrêta de bûcher un moment pour écouter l'homme qui s'avait approcher de lui. Lorsque ce dernier eu finit de parler le vampire planta sa hache dans l'arbre le plus près et pris le marteau qu'on lui tendait avant de se diriger vers la bâtisse en construction. Mais lorsqu'Arcel passa près de lui avec un regard sombre il ne pu s'empêcher de lui rendre une expression de mépris puis alla au travail en écoutant ce qu'il fallait faire.

Ternès regarda Le Sylvar et alla dans un coin plus tranquile pour entendre se que Le sylvar avait a lui dire.

» Un nouveau villageois
» Quand elle quitta, avec lui...