Après une grosse soirée avec les gentilhommes d'Emlok, César sortit de l'auberge suivis de Melcore. Encore dans les vappes, il arriva à la lisière de la forêt et dit à Melcore:
Surveille pour que personne n'approche j'ai quelque chose de TRÈS important à faire. Il en va de ma survie et ma réputation...
César s'éloigne dans la forêt. Ici l'ombre règnait en maître absolue plus aucunne lumières même de la lune ne semblaient pouvoir percer les ténèbres qui hantait le lieux lugubre où ses pas le menaient. Sursautant quelque peu après un bruit sinistre et menacant César pour ce donner du courage récita une petite prière pour son Dieu à voix basse:
Je suis ce qui est.
Par la foi que j'ai dans la beauté de Tempus,
je développe la confiance.
Dans la douceur, j'ai la force donné par mon maitre.
Dans le silence, je marche avec Tempus l'éternel.
Dans la paix, je me comprends moi-même
et je comprends le monde tel que Tempus le voi.
Dans le conflit, je ne vois qu'une occasion
de choisir la paix et de faire la justice.
Dans le détachement, je suis libre.
Dans le respect de tout ce qui est vivant,
je respecte Tempus et je me respecte moi-même.
Dans l'éternité, j'ai de la soumission
et de l'adoration pour Tempus le puissant.
Dans l'amour, j'accepte inconditionnellement
l'évolution des autres car tempus nous a tous créer.
Dans le don, je ne fais que recevoir.
Dans la liberté, j'ai la puissance.
Dans mon individualité,
j'exprime la Force que le Divin m'a donné.
Dans le service, je donne ce que je suis devenu.
Je suis ce que je suis car tel est la volonté de l'éternel.
Dans la gratitude débordant de mon coeur
pour les incroyables dons que j'ai reçus,
je ressens et j'enseigne ma spécialité :
La Justice et l'allégresse divine de Tempus.
Et c'est ainsi, car tempus l'a décidé.
Puis finalement après quelques autres chant et prière à son Dieu: Tempus le puissant seigneur de la Justice Éternelle et de la Sainte Bontée; César trouva un arbres assez gros pour se dissimuler derrière et cacher son membre immense et légendaire (je parle bien sure de mon épée qui est le prolongement de ma main, donc c'est pour ça que j'utilise le terme "membre"). Il sortit son gros dard de sa cachette (je parle bien sur de ma dague légendaire que je suis le seul à pouvoir manier convenablement), puis le déposa par terre. Une fois ce gros objet sortis, il se senti à l'aise:
Merci au Grand et sublime Tempus!
Il s'installa convenablement, écarta les jambes, défis sa ceinture, prit un grand respire puis finalement...
pissa sur l'arbre, un sourire aux lèvres!