À la recherche d'idées lucides.

*Dahé venait de sortir sans un au-revoir de l'auberge. Blessé et fiévreux, il était sortit en espérant que l'air frais de la nuit éclairsirait ses pensées. Il fit quelques pas négligeant en direction de la forêt en regardant le ciel. Les étoiles s'alumaient et s'éteignaient sous l'effet des point obscursissant sa vu. Il huma l'air brièvement avant de se diriger d'un pas résolu vers le cimetière.*

*En vacillant quelque peut, Dahé atteint le cimetière. Il prit apuis sur un arbre à la base duquel il s'assit. L'air frais lui fesais une tel bien. Il regarda le ciel à nouveau, mais cette fois aucun point noir n'obscurcit sa vision. Ses yeux se fermèrent lentement tandis qu'il s'assoupissait.*

*Voyant que Dahé s'était assis sous un arbre, il se dirigea vers lui et voyant qu'il s'était endormi, s'accota au même arbre mais de l'autre côté, sortit alors son argent et commenca a tourner et retourner la seule pièce qu'il avait sur lui. Il continua a se reposer tout en jetant des coups d'oeil autour de lui et surtout a Dahé, attendant une réaction de sa part, aussi minime soit-elle.*

*Dahé entrouvrit un oeuil en entendant Xanatas arriver. Le guerrier feint le someil, sa tête penchant vers l'avant pour cacher un surnois sourir. En ne se fiant que sur son ouïe, il imagina le nouvel arivant s'assire derrière lui. Le bruissement de la bourse de Xanatas leva en Dahé une crainte. Il releva la tête et agripa sa mace.*

"C'est un tic nerveux ou quoi?"

*Il ouvrit les yeux. Ceux ci bien abitués à l'obsurité ne manquèrent de voir la baguette de Jean qui s'approchait. Il replia ses jambes et se hissa au tronc de manière à y garder le dos collé.*

*remit la pièce dans sa poche de veste puis se releva pour aller faire face a Dahé et lui répondre: *

Un tic? Vous me prenez pour qui? Le premier fou venu qui n'aurait qu'un petite pièce? Vous saurez que seul les faibles ont des tics, moi, ne me qualifiant pas de faible, je ne m'expose pas a un quelque problème de santé si puéril. Et vous? Un problème de santé mentale?

*Dahé était rassuré de voir que son interlocuteur ne jouait qu'avec une pièce et non une dague comme il l'avait craint. Du même coup, il était particuliairement étoné de la réponse de Xanatas.*

Je n'ai jamais insinué que vous étiez fou ou faible, et je ne crois pas l'être.

*Le guerrier marqua une pause à ce moment. Son visage qui exprimait la stupéfaction jusque là, démontrait, maintenant, une malsaine assurance.*

D'un autre côté, ne dit-on pas "Le vrais fou est celui qui se croit saint d'esprit."?

Et pourquoi ne serais-ce pas ma facon de voir les choses qui importent et pas la votre? Si je me croit sain d'esprit, ne le suis-je pas, si je me croit moi même bien sur!

Et si je me croit en me disant que je suis fou, ne suis-je pas fou de me penser fou? Dans ce cas, nous serions tous fous, que nous nous pensions saint d'esprit ou fou, nous serions fou de quelque manière!

Et vous comment analysez-vous votre santé mentale?

*Attendit une réponse de son interlocuteur avec un léger sourire aux lèvres*

*Dahé éclata d'un rire sonnore.*

Ce que vous croyez importe peu. Vous pouriez croire qu'on puisse marcher sur l'eau et vous couleriez tout de même. Ce qui importe, monsieur, c'est ce que les dieux en pensent. Maintenant, comme il faut agir en fonction de notre santé mentale, j'agit comme si j'était saint, mais je ne sait pas.

Seul ceux qui communiquent avec les dieux peuvent dire qui est fou et qui ne l'est pas. En revenche, plusieurs fous croient parler avec les dieux.

*Se frottant le menton sans faire attention a la remarque de Jean il répondit a Dahé*

Et si je vous disait avoir eu le privilège, pour le moins mérité, de me faire illuminer de par mon dieu!1 Qu'il m'a permi de rester sur cette terre malgré un sortilège puissant qui pèse toujours sur moi! Une malédiction que Emrys connait bien. *afficha alors un large sourire* Vous lui en parlerez, il se fera un paisir de vous en parler.

*Dahé observait Jean au moment où Xanatas repris la parole. Puis, fronçant les sourci il écouta le reste du message.*

Je ne vois pas pourquoi je ferait cela. Maintenant, bien que Jean semble se méprendre sur la nature de notre discussion, je dois admettre que je ne saurai me retenir d'émettre un commentaire désobligeant si je doit vous entendre encore longtemps. Si vous tenez à m'impressionner, gagnez l'attention de Narzul. Je n'ai que faire de la plupart des autres.

*Sur ce, il se retourna et commença à s'éloigner.*