À la recherche de la seconde partie de Tissop

Merel revenait tout juste d'aller voir Ligtenfein lorsqu'il su aussitôt ce qu'il avait à faire. Merel n'avait aucune idée qui de Postillon ou de Postiche avait la pierre lunaire, alors il décida de se faire de grosses recherches sur le cas de Postiche aujourd'hui, à savoir s'il était réellement mort et, quelle que soit la réponse, trouver la maison de Postiche pour voir s'il était chez lui ce jour-là.

La balançoire blanche dansait au-dessus des feuilles oranges belles et mortes qui s'étendaient pudiques au-dessus du temple oublié. Les fioles produisaient encore des bulles irisé de tout l'arbre chromatique qui s'envolaient doucement au gré du vent et des esprits des bois et éclataient dans un tintement serein et chaque couleur résonnait d'une note seule. Un vieux perchoir à perroquet servait désormais de nez à un vielle arbre mort qui mentait à ses pousses voisines en leur promettant qu'il resterait encore un peu leur dérober le soleil qui leur était dû en l'automne sombre et à conter des histoires de marronnier amoureux et bouleau lâche et paresseux. La maison d'été de Postiche CroqueMaillet était vide et baigné à l'aube de l'hiver d'un silence envoûtant et mystérieux, brisé d'une mélodie éclatante des bulles oubliés.

L'écho des rumeurs d'une maison d'hiver, sanctuaire secret d'une vie absurde d'un homme au sourire forteresse d'ivoire, étant le seul autre bruit à pouvoir troubler le paisible de l'endroit endormi. Il suffisait de moins qu'une question, et les curieux ne tardait pas à s'épancher de cette écho relayé par les hères et bois d'une forêt assoupie. Nul besoin de la poser.

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