{Prendre note que ceci n'est pas mon personnage qui parle mais le héraut de notre groupe. Petite introduction}
Par une journée sombre sous les nuages et un vent froid comme la mort, vous savez celle qui vous donne des frissons jusqu'au os, un homme au visage blanc neige avec quelque tatouage noir comme une nuit sans lune arriva de la forêt interdite. Son visage laissais des traces des derniers massacres : cicatrices, sang coulant encore, des yeux pochés par les horreur commis par son maitre ainsi qu'un regard vide de vie. L'homme portait des vêtements sombre à l'allure louche, une armure de cuir noir, des armes ensanglantées, un chapeau haut-de-forme à l'allure d'un croque-mort de combat. Il déroula un parchemin et entrouvrit la bouche pour y laisser sortir une voix creuse et ténébreuse.
- Peuple du royaume d'Emlok, les narzuls se multiplient comme des cafards, le chevalier de l'inquisition Sarriel arrivera bientôt avec sa troupe d'élite en ces terres pour la mettre à feu et à sang pour son propre plaisir, si vous abattez un Narzul attendez vous à en voir d'autre se relever pour lui.
Durant son discourt les gens pu apercevoir des dents jaunes foncé, il ne porta aucun regard à la vermine, de plus le message était presque dit machinalement comme si se n'était pas la première fois qu'il le disais à haute voix devant une foule.
-Donc vermine, charognard et larves rampantes, la mort deviendra une délivrance, excessivement lente, douloureuse et sanguinaire sous les instrument des bourreaux sadique du chevalier à l'âme noire. Ils tueront tout sans remord pour vous détruire totalement jusqu'à se que la folie vous emporte.
Un sourire malsain et dérangé apparu à ses lèvres laissant voir sa dentition très loin d'être parfaite.
-Craigniez le bruit des chaines contre le métal ainsi que l'obscurité comme la peste, car se bruit vous avertira que Sarriel est dans les parages et sa présence reste plus dévastatrice que la peste noir elle même...
L'homme arrêta de parler pour regardé la réaction des larves se tenant devant lui, il laissa tombé le bout de papier puis fit volte face pour disparaître dans la même direction qu'il venait d'arrivé.