À la prison.

Bien qu'il venait presque tout les jours, Katrak entrait rarement dans la cellule de celui qu'il aimait appeler Steingrim. À chacune de ses visites, il prenais soin d'apporter de la nourriture consistante, soit de la viande fraîche, et du pain. il laissait lesdites provisions a la porte, au cas ou.

Mais cette fois-ci était différente. il voulais parler, redonner du moral a l'homme extraordinaire qu'il avait face a lui. il n'y avais aucune raisons pour que cet homme extraordinaire se laisse aller a l'abandon, pas un homme destiné au trône, pas un meneur d'homme comme lui!

Prenant bien soin de laisser toutes ses armes a l'extérieur, même celles qu'il cachait sur lui, il entra, avec la permission du gardiens.

en déposant la nourriture a coté de l'homme, il dit:

Il faut manger, pour rester fort. ce n'es pas un homme faible que votre peuple veut revoir, mais un homme fier et fort, qui a tout fait pour sa patrie. il faut savoir laisser son orgueil de coté parfois, pour le bien de sa famille, de ses amis.

Animateur Nombre de messages : 332 Date d'inscription : 01/03/2010

Osvaldr Steingrim était maintenant singulièrement plus maigre que la dernière fois que Katrak avait eu l’occasion de discuter avec lui. Dans un coin de sa cellule s’entreposaient périodiquement tous les repas que les gardiens venaient lui porter. Tous étaient encore dans leurs contenants, et était installer en pyramide, comme dans un inventaire. Le roi déchus avait le regard perdu sur le sol de sa prison, la mâchoire serré, les yeux haineux.

-J’ai demandé aux gardes de me parler de mes amis, Guerrier. Aesa et Adalstein ont été abattus. Votre roi m’avais promis qu’ils avaient tous survécus. Encore une preuve de votre lâcheté, comment pouvez-vous suivre un homme qui as si peu de scrupule et d’honneur.

Il n'y avais aucune intérogation dans son ton de voie, que de l'Affirmation...Steingrim ferma ses paupières un instant, comme s’il accusait un grave coup. De lourds cernes sous ses yeux témoignaient du peu de sommeil qu’il se permettait.

-Mon peuple souffre. Il n’a plus de roi, et il n’a plus de héros. Nous ne sommes même pas mort, nous sommes déshonorés.

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